Aimez-vous, les uns les autres (Message reçu par JNSR - 10 décembre 1996)

Invité Ven 10 Fév 2012 - 15:11

Aimez-vous, les uns les autres

Message de Jésus à J.N.S.R. le mardi 10 décembre 1996

"J.N.S.R." :

"Mon Dieu, voulez-Vous me parler ? Seigneur, je Vous écoute".

JÉSUS :

"Les enfants de ce Temps vivent dans la violence et ne savent plus goûter à la Paix. Ils vivent repliés sur eux-mêmes et ne savent ni écouter le frère qui souffre, ni partager sa peine. Ils ne savent pas s'unir pour mettre en commun le pain et l'eau; ainsi l'un mange et boit trop, et l'autre pas assez. Chacun vit pour soi, chacun cache sa misère ou sa joie, car personne ne participe à la peine ou à la joie de l'autre. Plus rien ne rattache les uns aux autres. Où est la Vérité ? Dieu a été rejeté ainsi; tout a été rejeté; la grande Chaîne d'Amour s'est brisée de partout...

Si le Riche devenait encore plus riche, il trouverait ne pas avoir encore suffisamment. Si le Pauvre devenait encore plus pauvre, même sa vie deviendrait une offense à cette humanité déchue !...

Comment devrais-Je réparer ce qui tombe dans l'abîme à cause du manque d'Amour et de Charité ! Comment certains peuvent-ils encore se regarder vivre dans une telle opulence, s'enrichir sans scrupule aux dépens des petits ! Comment peuvent-ils vivre sans se soucier de leurs frères ? Leurs greniers sont remplis de nourriture et leurs bourses pleines d'argent : pensent-ils, un seul instant, que tout ceci est passager et qu'en une seule nuit, Je peux détruire tout ce qu'ils ont amassé. Faut-il que Je détruise tous leurs biens terrestres pour sauver leurs âmes, leur apprendre qu'il existe une richesse qu'ils ne peuvent pas se payer avec tous leurs biens terrestres et leur argent : le matériel a détruit tout le spirituel, ils ne Me voient plus !... Leur argent, ils le croient à l'abri, il dort en divers lieux qui sont destinés à faire fructifier, encore et encore, leur avoir; des banques...

Savez-vous que toute cette fortune de papier, ou de métal, qu'elle soit à la vue de tous ou bien cachée; tous ces biens qui dorment au soleil ou dans l'ombre, savez-vous qu'ils vont devenir votre propre jugement ?

Depuis que vous vous connaissez, vous n'avez fait qu'amasser, sans partager, sans vous soucier que tout vient de Dieu !
Vous ne M'avez jamais vu souffrir dans le misérable; le mendiant, le malade, l'affamé, le pauvre errant : vous ne M'avez pas reconnu en eux, et Moi Je vous oublierai; car vous avez grossi comme une pâte remplie de mauvais levain, débordante sur toute votre personne, jusqu'à étouffer les sentiments d'humanité.

Vous êtes descendus plus bas que les animaux qui, par instinct, aiment leur maître qui les nourrit : vous, vous ne rendez jamais Grâces à Dieu.

Jusqu'à quand croyez-vous que vous allez pouvoir contrôler toute votre richesse ? Elle ne sert qu'à servir votre corps, à embellir vos demeures et contenter votre cupidité : amasser pour amasser !... Pouvez-vous vivre éternellement sur votre Terre et continuer à jouir de tous vos biens matériels ?

Si vous aviez compris combien Je vous aime, vous auriez pu apprécier à sa juste valeur votre pain quotidien et Me demander Pardon pour la nourriture que vous jetez sans l'apprécier : vous auriez ainsi compris le vrai sens du partage. Sans aucune obligation, vous auriez alors cherché comment venir en aide à celui qui a tout perdu.

La misère du Monde est tombée dans certains pays appauvris et misérables. La terre et les hommes sont devenus la solitude, la désolation, la tristesse, la famine et les maladies du Monde entier. A eux seuls, ils ont réuni sur eux la Plaie qui devait frapper le Monde entier. Sur eux seuls s'est abattu le fléau de l'égoïsme du Monde. En eux seuls, ils portent la marque de ce manque de Charité envers nos frères, de ce manque d'Amour envers Dieu. Par eux seuls, et par Amour pour eux, J'accomplirai le Miracle qui viendra sauver toutes ces âmes déchues qui ne voient rien.

Vous savez juger et définir la distance qu'il y a de votre pays au leur et vous dites : "que puis-je faire, moi seul et si loin,"...

Jugez plutôt l'éloignement de votre coeur et votre indifférence !

Vous ne ressentez qu'une impuissance... Car si Je vous avais vus venir à Moi pour M'implorer de venir en aide à ceux qui ont préféré vivre l'Amour dans le partage de la misère, de la souffrance et de leur solitude, alors J'aurais agi en votre nom; mais vos coeurs étaient secs...

Eux marchent déjà vers Mon Banquet Royal.
Pleurez plutôt sur vous qui marchez vers la Mort
avec vos Bourses remplies de papier et de métal sans valeur pour Moi,
car ils seront le poids qui vous empêche d'avancer
jusqu'à la Porte de Ma grande Salle.

Vous ne la franchirez pas, car Je ne vous laisserai pas pénétrer : Je ne vous connais pas! Alors, aujourd'hui encore Je vous demande : " Faut-il que vous voyiez, avec vos yeux de chair, une flambée de tout cet argent que vous cachez, car, devenu papier, il flambera !

Faut-il que vous trouviez le sol de votre pays aussi sec que vos cœurs ? Faut-il que Je ferme le ciel pour retenir toutes les eaux après avoir subi des débordements incontrôlables sur vos fleuves, jusqu'à noyer les racines de vos arbres et de toutes récoltes, après avoir vu les mers et les océans envahir les terres jusqu'à les rendre incultes à cause du sel qui s'est déposé sur elles comme une manne maudite ?

Non, ce ne sera pas encore, comme vous osez le dire "une fatalité"; Je vous avertis : tout cela vient à cause de votre manque d'Amour; votre manque de Foi vous rend aveugles et insensibles à la souffrance de tous vos frères; ils vivent dans une insupportable misère, misère créée par votre manque de Charité qui fait de vous des êtres en train de perdre leur âme.

Oui, pleurez sur vous, pauvres enfants qui avez oublié et méprisé le Premier Commandement de Dieu :

"Tu adoreras Dieu Seul et tu L'aimeras par-dessus tout
et tu aimeras ton prochain comme toi-même".

Par pitié Je vous, demande de revenir à Moi; Je vous appelle tous à revenir dans Mon Eglise et vivre comme le petit Enfant de la Crèche : votre Doux JESUS vous appelle à venir partager le Pain de Dieu avec MARIE et JOSEPH.

Au pied de l'Autel, à genoux devant Mon Prêtre,
ouvrez votre bouche : Dieu Se laisse manger,
et la main qui M'offre à vous est bénie par Mon Père et Votre Père.

Respectueusement, venez partager avec tous vos frères
le Pain de l'Incarnation de Dieu; en vos âmes JESUS veut vivre,
grandir en vous, souffrir, mourir et ressusciter avec vous,
enfants bénis du Père.

Dieu vous aime.
Aimez-vous les uns les autres
comme Dieu vous aime.
Amen.
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