Mater Dolorosa (message de Marie à J.N.S.R. le 8 Octobre 1996)

Invité Dim 11 Mar 2012 - 9:17

Mater Dolorosa
Message de Marie à J.N.S.R. le mardi 8 Octobre 1996
Ste Benoîte, Vierge et Martyre, † en 362

"J.N.S.R." : "Sainte Vierge MARIE ! Si je reçois de votre part des révélations qui ne sont pas encore connues, vont-ils me croire ?

MARIE :

"Sois obéissante et confiante; écoute-les et médite-les en ton coeur; elles sont pour toi, d'abord, comme le cadeau que fait une mère à son enfant; ensuite, partage-les avec tous tes frères, Mes enfants de la Terre.

Reste petite. Dieu a vu ton regard, celui de ton coeur; tu Le regardais avec ton âme émerveillée par Sa beauté et tu voulais réparer ce que d'autres ont cassé et détruit avec leur manque de Foi.

JESUS a commencé à réparer, en toi, le vase qui devait contenir la Parole de Dieu; ce vase doit être sans imperfection, sinon la Parole n'est pas à son aise. Ma fille, pardonne à ceux qui ne savent pas pardonner; et aime pour ceux qui ne savent pas aimer.

Celui qui a entrepris la longue Marche depuis le début, a rencontré tous les obstacles et il a compris comment faire pour les éviter : il a appelé Dieu et il a trouvé la Foi.

Celui qui a pris cette Marche vers le milieu de sa vie, a été guidé par un plus ancien; il a suivi ses conseils et il a reçu la Foi.

Mais celui qui commence à marcher aujourd'hui, seul, ne désirant ni conseil ni aide de personne, se guidera par ce qu'il croit voir, ce qu'il entend, ce qu'il touche un peu partout...

Ainsi sont Mes enfants de ce Temps trop matérialiste :
ils avancent le jour à la lumière de leur propre connaissance,
ils craignent d'avancer lorsque le jour s'efface et rend toutes choses confuses;
ils craignent les obstacles et ne savent pas les contourner;
alors ils y buttent et se perdent.

Ils n'ont pas demandé l'Aide de Dieu.
Ils n'ont pas voulu entendre les anciens.
Ils ont perdu la Foi.

A tout âge l'homme, qui ne veut pas l'Amitié de Dieu, se sert d'un support : sa jeunesse lui procure la force et la confiance en lui-même; là, il est au début de sa marche.

Dans sa maturité, il sera soutenu par sa vaillance et son courage pour vaincre l'adversité. Il est au milieu de sa marche.

Que lui restera-t-il, seul dans sa vieillesse ? Il ressemble à cet enfant qui a commencé sa marche dans une grande confusion et il est perdu s'il n'appelle pas Dieu.

La Foi, l'Espérance et la Charité
vous sont nécessaires pour entreprendre
depuis le début jusqu'à la fin la grande Marche.
Demandez la Foi en Dieu !

Le jeune tendra la main à l'adulte et l'adulte au vieillard; cette immense chaîne d'Amour soutiendra toutes les générations, les soudant entre elles et au support de l'Amour Infini où la Miséricorde et la Paix de Dieu unissent vos mains, vos coeurs et vos esprits à Celui qui vous donne la Foi qui sauve,

la Foi vivante qui vous soutient, la Foi, Don inestimable du Tout-Puissant, sans laquelle l'homme est aveugle, sourd et muet... Heureux l'homme qui est soutenu par la gentillesse spontanée de sa mère. Plus heureuse encore est la femme qui est portée par l'Amour véritable de son fils.

Depuis l'Annonciation jusqu'au Golgotha J'ai été la douce Colombe immaculée qui volait autour de Mon Fils Bien-Aimé, silencieuse et effacée, prête à joindre mes mains dans la Prière.

Ma Prière, qui s'adressait au Père d'Amour pour que s'accomplisse Sa Sainte Volonté dans tout mon être, cette Prière se terminait dans un silence profond : la Colombe arrêtait son vol; sa respiration s'unissait à celle de Son Fils Bien-Aimé :

"Père ! Protège Ton Fils.
Garde-Le. Protège-Le jusqu'à Son Heure.
Ne Le laisse pas souffrir avant que s'accomplisse Ton dessein".

Invité Dim 11 Mar 2012 - 9:31

Je regardais Mon tendre Enfant dans Son sommeil; la Colombe voulait adoucir Sa peine :

Mon Enfant souffrait déjà pour ce Monde
qui vivait sans connaître ni reconnaître Son Père des Cieux.

Le Père d'Amour Me donna de partager le poids
qui, déjà, s'abattait sur Ses frêles épaules.

JESUS dormait
à l'abri de mes ailes déployées sur Son Corps adorable.
Le Saint Esprit vivait en Moi, comme Moi Je vivais en Lui :
Nous devenions un abri pour protéger le sommeil
de l'Enfant-Dieu dans sa plus tendre enfance.

La Colombe immaculée vivait dans l'Esprit du Père.
L'Esprit du Père était en Moi;

JÉSUS jouait comme tous les enfants; Il recherchait la tendresse de Son père, Joseph, qui Lui apprenait de belles choses. Le travail doit être pour l'homme une source de joie lorsqu'il est bien accompli pour servir l'homme qui est enfant de Dieu. JESUS Se servait de Ses mains, si douces à regarder, pour effectuer les petits travaux que Joseph Lui apprenait à faire; Il était heureux d'être utile à Son père Joseph.

JÉSUS regardait tout ce qui vivait autour de Lui : les hommes, les animaux, les plantes; Enfant, Il savait écouter les voix de ceux qui parlent et les voix de ceux qui se taisent. Ce ne sont pas toujours celles qui font le plus de bruit, qui méritent notre attention.

Il Se dirigeait vers ceux dont le regard de misère, le sourire de résignation, les larmes à demi essuyées par un rapide revers de main, étaient ces voix intérieures; ces voix qui se taisent, JÉSUS les entendait déjà.

Joseph partageait cette détresse avec son Enfant-Roi; pour répondre à tant d'appels silencieux, les heures du jour ne suffisaient plus et Joseph apportait, dans sa Prière pleine d'Humilité et d'Amour, un réconfort au divin Coeur de son petit JESUS qui supportait déjà la peine du pauvre.

Le Père Tout-Puissant nous permettait, à Joseph comme à Moi, Sa Fille Bien-Aimée, de prier la nuit pendant le sommeil de JÉSUS pour atténuer les souffrances d'Amour qui pénétraient dans le divin Coeur de notre Enfant Bien-Aimé.

Oui, JESUS commençait à comprendre la souffrance
avant même de savoir marcher,
avant même d'avoir vu le jour sur votre Terre, sur Ma Terre.

Oui, pour tout cela, Je suis la Mater Dolorosa
du Fiat de l'Annonciation jusqu'au Fiat de la Sainte Croix.

Mais le Père Tout-Puissant ne permettait pas que JÉSUS entre déjà dans la souffrance totale du Monde depuis la Faute Originelle.

Même si JESUS la voyait, le Père enveloppait Sa Sainte enfance d'un voile tenu par Ses Anges afin de limiter Sa douleur de cette vision. Aucun enfant de cet âge ne pouvait posséder la sensibilité de JESUS pour les affligés, les malades et les malheureux qu' Il voyait autour de Lui; Il était déjà Amour et Compassion.

"C'est JÉSUS, l'enfant de MARIE et Joseph", disaient les habitants de notre Pays. "C'est le divin Sacré Coeur confié à MARIE Sa Sainte Mère et à Joseph, son père nourricier" chantaient les Anges autour de la mangeoire qui contenait le Trésor du Monde.

L'enfance de JÉSUS fut protégée.
MARIE et Joseph s'étaient unis dans la Prière adressée au Père Eternel
qui accorda aux deux grands Saints d'éclairer de leur joie
la sainte enfance et même l'adolescence du Fils de Dieu. Amen.

La Sainte Mère de Dieu vous parle.
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Mater Dolorosa (message de Marie à J.N.S.R. le 8 Octobre 1996)

Mater Dolorosa (message de Marie à J.N.S.R. le 8 Octobre 1996)

La Colombe immaculée vivait dans l'Esprit du Père. !