Voici le temps pour l'ouverture du second Sceau, car les guerres vont augmenter.

Attentat de Stockholm: 4 morts, 12 blessés
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 07/04/2017 à 20:48 Publié le 07/04/2017 à 20:31
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L'attentat d'aujourd'hui à Stockholm a fait quatre morts et douze blessés dont neuf graves, parmi lesquels des enfants, a indiqué la police suédoise.
» EN DIRECT - Attentat au camion-bélier à Stockholm: le chauffeur en fuite
Un premier bilan, livré par les autorités sanitaires du pays, faisait état d'un mort et de quinze blessés.
"Les hôpitaux de la région peuvent confirmer à présent qu'une personne est morte à l'hôpital (...) 15 adultes et enfants blessés sont hospitalisés. Neuf d'entre eux sont grièvement blessés", ont-elles écrit dans un communiqué en début de soirée.

L'EI tue des dizaines de civils fuyant Mossoul
Par Le Figaro.fr avec ReutersMis à jour le 07/04/2017 à 21:04 Publié le 07/04/2017 à 21:01
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Des membres du groupe Etat islamique ont tué des dizaines de civils cherchant à fuir Mossoul ces derniers jours, rapportent des témoins. Plusieurs de ces habitants ont été pendus à des poteaux électriques.
» Lire aussi - Irak : toujours plus nombreux, les civils fuient les combats à Mossoul
L'Etat islamique est retranché dans une partie de Mossoul-Ouest, où il livre une résistance acharnée aux forces irakiennes lancées depuis octobre dernier à la reconquête de la métropole du nord de l'Irak, capturée par les djihadistes en juin 2014.
Un homme contacté par téléphone a dit à Reuters qu'il avait trouvé le cadavre mutilé d'un proche pendu à un poteau électrique dans le quartier de Tenek, avec trois autres hommes jeunes. "Leur aspect était choquant. On n'a pas pu les décrocher et ils étaient là depuis deux jours", a-t-il dit.
Le conseil de sécurité de la région du Kurdistan a déclaré que le nombre de personnes tuées par les djihadistes lundi et mardi s'élevait à 140. Dans la vieille ville, plus de 40 civils ont été tués alors qu'ils cherchaient à fuir, a déclaré un habitant du quartier de Farouk, où se situe la mosquée Al Nouri, toujours contrôlée par l'EI.

Sénégal: au moins 22 morts dans un incendie
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 13/04/2017 à 16:41 Publié le 13/04/2017 à 14:16
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Au moins 22 personnes ont péri hier au Sénégal dans un incendie d'origine inconnue sur le site d'un rassemblement religieux musulman dans la région de Tambacounda.
La catastrophe s'est produite à Médina Gounass, à environ 530 km au sud-est de Dakar, où affluent chaque année des centaines, voire des milliers de fidèles musulmans pour la "daaka", retraite spirituelle organisée pendant une douzaine de jours.
"Le bilan ce matin est de 22 morts et 87 blessés", dont une vingtaine dans un état grave, a déclaré un responsable au groupement national des sapeurs-pompiers, précisant que ce décompte était provisoire. Selon lui, les blessés ont été évacués à l'hôpital régional de Tambacounda, à près de 80 km au nord de Médina Gounass.
Parmi les blessés, outre les brûlés, dont certains sévèrement atteints, figurent des victimes de la bousculade ou de chocs avec des objets sur le site, a indiqué cette source, précisant ignorer l'origine du feu.
L'incendie a été rapporté aujourd'hui par plusieurs médias locaux, selon lesquels le sinistre s'est déclaré hier après-midi alors que des centaines de fidèles étaient rassemblés sur le site du "daaka", à l'écart des habitations mais comportant de nombreux abris provisoires faits de paille, environnés de moyens de locomotion, bagages, matériels de cuisine en plein air.
Le feu s'est rapidement propagé, faisant des victimes parmi les pèlerins et des dégâts importants, selon la presse locale. Certains journaux et sites ont notamment publié des photos d'animaux morts calcinés.
Selon le journal privé Le Quotidien, avec au moins 22 morts, "c'est le bilan le plus lourd en pertes humaines qu'un incendie ait jamais causé dans ce site de retraite spirituelle annuelle. En 2010, un incendie du genre avait causé six morts et plusieurs blessés".

Les États-Unis larguent leur plus grosse bombe en Afghanistan
Par Le Figaro.fr avec agencesMis à jour le 13/04/2017 à 18:59 Publié le 13/04/2017 à 18:44
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Le Pentagone annonce que les Etats-Unis ont utilisé leur plus puissante bombe non nucléaire en Afghanistan.
Une bombe GBU-43, surnommée "la mère des bombes", aurait été larguée dans la province de Nangarhar, dans l'est du pays, visant des tunnels utilisés par l'État islamique.
C'est la première fois qu'une bombe de ce type est utilisé.

Irak: 15 civils exécutés par l'EI à Mossoul
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 25/04/2017 à 17:34 Publié le 25/04/2017 à 17:33
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Des membres du groupe Etat islamique (EI) se faisant passer pour des forces de sécurité irakiennes ont "exécuté" au moins 15 civils qui les accueillaient avec joie dans le centre de Mossoul, ont indiqué aujourd'hui des responsables.
» Lire aussi - Irak : toujours plus nombreux, les civils fuient les combats à Mossoul
Vêtus d'uniformes de la police, des jihadistes sont entrés lundi dans des secteurs de la vieille ville et, prétendant être des forces fédérales, ils ont commencé à voir la réaction des habitants en semant la peur au sein de la population, ont déclaré le Commandement conjoint des opérations et un responsable local.

Pakistan: l'explosion d'un minibus fait 10 morts
Par Le Figaro.fr avec ReutersMis à jour le 25/04/2017 à 15:02 Publié le 25/04/2017 à 07:40

Dix personnes au moins ont péri et plusieurs autres ont été blessées dans un attentat à la bombe qui a visé aujourd'hui un minibus dans le nord-ouest du Pakistan, a rapporté un responsable des zones tribales de la région.
» Lire aussi - Pakistan : un attentat à la bombe fait plusieurs morts à Lahore
La bombe, télécommandée, avait été posée en bordure d'une route à Kurram Agency, non loin de la frontière afghane. "Lorsque les passagers sont arrivés, la bombe télécommandée a été activée", a déclaré le responsable, Shahid Ali Khan.

Cinq morts dans l'est séparatiste de l'Ukraine
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 03/05/2017 à 19:09 Publié le 03/05/2017 à 19:06

Quatre soldats ukrainiens et un civil ont été tués au cours des dernières 24 heures dans l'est de l'Ukraine, les plus lourdes pertes en une journée depuis une trêve instaurée le 1er avril, ont annoncé aujourd'hui les autorités.
» Lire aussi - Ukraine: cinq morts dans l'Est séparatiste
Le quartier général des opérations de l'armée ukrainienne a indiqué que trois de ses soldats sont morts près de Debaltseve, un noeud ferroviaire situé entre les deux "capitales" séparatistes de Donetsk et Lougansk qui avait été le théâtre d'intenses combats en 2015.
L'un d'entre eux a été tué par l'explosion de la grenade qu'il avait lancée contre des soldats séparatistes, alors qu'il était blessé et sur le point d'être fait prisonnier. Les deux autres soldats sont morts dans des combats à proximité.
Un porte-parole militaire, Andriï Lysenko, a indiqué que le quatrième soldat tué l'a été dans des affrontements à Avdiïvka, une ville contrôlée par Kiev à proximité de Donetsk.
Les rebelles ont pour leur fait part de la mort d'un civil, tué dans une attaque ukrainienne à une quinzaine de kilomètres au sud de Donetsk. Les séparatistes ont de leur côté annoncé la mort de 10 soldats au cours du mois d'avril, ce qui en fait un des mois les moins coûteux en terme de vies humaines depuis le début du conflit, il y a trois ans.
Au total, l'Ukraine a fait part de la mort de 19 soldats depuis l'entrée en vigueur d'une nouvelle trêve dans l'est séparatiste du pays le 1er avril. Avril a toutefois été marqué par la mort d'un médecin américain qui collaborait à la mission d'observation de l'OSCE dans l'est du pays. Il a été tué quand le véhicule dans lequel il se trouvait a roulé sur une mine anti-char.
De nombreuses trêves ont été conclues entre forces de Kiev et séparatistes prorusses dans l'Est, sans jamais parvenir à faire définitivement cesser les combats. Plus de 10.000 personnes, civils et militaires des deux camps, ont trouvé la mort dans l'est de l'Ukraine depuis le déclenchement du conflit en 2014.

Syrie: 4 morts dans l'explosion d'une bombe
Par Le Figaro.fr avec ReutersMis à jour le 03/05/2017 à 09:24 Publié le 03/05/2017 à 09:20

L'explosion d'une bombe a tué au moins quatre personnes et en a blessé beaucoup d'autres dans une ville syrienne tenue par les rebelles près de la frontière turque, rapporte aujourd'hui l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
La bombe a visé la localité d'Azaz, qui sert depuis longtemps de base arrière à plusieurs groupes rebelles, dont certains ont le soutien de la Turquie.
Cette attaque n'a pas été revendiquée. Selon l'OSDH, qui s'appuie sur un réseau d'informateurs présents sur le terrain, il s'agit vraisemblablement d'un attentat à la voiture piégée.

Syrie: plus de 50 morts dans une attaque de l'EI
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 18/05/2017 à 15:17 Publié le 18/05/2017 à 15:13

Plus de 50 personnes, en majorité des combattants pro-régime, ont été tuées aujourd'hui dans une attaque du groupe djihadiste État islamique (EI) contre deux villages de la province de Hama, dans le centre de la Syrie, a affirmé une ONG.
Cinquante-deux personnes ont péri dans l'attaque, dont 15 civils, 27 miliciens pro-régime et 10 personnes non identifiées qui "sont soit des civils, soit des miliciens", a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Le groupe Etat islamique revendique l'attentat de Manchester
Par Le Figaro.fr avec agencesMis à jour le 23/05/2017 à 13:57 Publié le 23/05/2017 à 13:46

Le groupe Etat islamique a revendiqué aujourd'hui l'attentat de Manchester par la voix de son agence de propagande Amaq.
Le communiqué, publié par l'EI sur les réseaux sociaux, précise qu'un "des soldats du califat a placé une bombe dans la foule" lors du concert. Le groupe djihadiste menace également d'autres attaques.
L'attaque, survenue après un concert d'Ariane Grande hier soir, a fait 22 morts et une soixantaine de blessés.

Côte d'Ivoire: trois morts lors d'affrontements
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 23/05/2017 à 12:37 Publié le 23/05/2017 à 12:35

Trois personnes ont été tuées mardi lors d'affrontements à Bouaké entre policiers et ex-rebelles démobilisés qui bloquaient l'entrée de la ville, réclamant des primes similaires à celles des mutins qui ont ébranlé la Côte d'Ivoire la semaine dernière.
» Lire aussi - Des soldats mutins sèment le trouble en Côte d'Ivoire
Trois corps ensanglantés ont été amenés au Centre hospitalier universitaire de Bouaké, peu après un assaut des forces de police qui ont dispersé vers 7h des manifestants qui bloquaient depuis la veille l'entrée sud de la ville, selon la même source.

Yémen: sept combattants d'al-Qaida tués
Mis à jour le 23/05/2017 à 09:59 Publié le 23/05/2017 à 09:46

L'armée américaine a annoncé avoir tué aujourd'hui au Yémen sept combattants d'al-Qaida lors d'une attaque impliquant des troupes au sol. Le raid, effectué avec l'appui des autorités yéménites, a été mené aux premières heures de la journée sur un campement de djihadistes dans la province de Marib, à l'est de la capitale Sanaa.
"Des raids tels que celui-ci donnent un aperçu des dispositions, des capacités et des intentions d'al-Qaida dans la péninsule arabique (Aqpa), ce qui nous permet de continuer à poursuivre, perturber et éradiquer Aqpa", a annoncé le centre de commandement américain au Moyen-Orient (Centcom).

Attaque des talibans contre une base afghane, 15 soldats tués
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 26/05/2017 à 12:51 Publié le 26/05/2017 à 12:42

Au moins quinze soldats afghans ont été tués dans une attaque des talibans contre une base militaire dans la province de Kandahar, la deuxième de ce type cette semaine, a indiqué aujourd'hui le ministère de la Défense.

Philippines : les combats font 85 morts en une semaine
La lutte engagée par les autorités contre le groupe État islamique dans le sud du pays a notamment coûté la vie à 19 civils, a annoncé dimanche l'armée.
SOURCE AFP
Publié le 28/05/2017 à 09:17 | Le Point.fr

Rodrigo Duerte s'adresse à des militaires philippins, le 27 mai 2017. © PRESIDENTIAL PHOTOGRAPHERS' DIVI / AFP/ KING RODRIGUEZ
La ville de Marawi est plongée dans le chaos. Les islamistes inspirés par le groupe djihadiste État islamique (EI) qui combattent les forces de sécurité dans le sud des Philippines ont tué 19 civils, a annoncé dimanche l'armée, portant à au moins 85 morts le bilan des affrontements en près d'une semaine. Ces violences ont amené le président philippin Rodrigo Duterte à décréter mardi la loi martiale à Mindanao, deuxième plus grande île de l'archipel.
Les autorités ont annoncé que les activistes islamistes avaient tué 19 civils à Marawi, ville à majorité musulmane de 200 000 habitants dans le nord-ouest de Mindanao. Parmi eux, trois femmes et un enfant retrouvés morts dans une université. « Ce sont des civils, des femmes. Ces terroristes sont contre le peuple. Nous avons découvert les corps en menant une opération de recherches » samedi, a déclaré le colonel Jo-ar Herrera, porte-parole régional de l'armée. Un photographe a par ailleurs rapporté avoir vu dimanche huit corps sur une route dans les faubourgs de Marawi, des habitants les identifiant comme des employés d'une rizerie et d'une école de médecine. Jo-ar Herrera a précisé que l'armée enquêtait sur ces décès.
« Toute la ville est captive »

Les combats de Marawi ont éclaté après un raid des forces de sécurité contre une cache supposée d'Isnilon Hapilon, considéré comme le chef de l'EI aux Philippines. Les États-Unis ont mis sa tête à prix pour cinq millions de dollars. C'est également un des dirigeants d'Abou Sayyaf, groupe islamiste spécialisé dans les enlèvements crapuleux. Mais les forces de sécurité ont essuyé un échec retentissant. Des dizaines de combattants sont accourus pour les repousser, avant de partir saccager la ville en brandissant des drapeaux noirs de l'EI. Ils ont également pris un prêtre et 14 personnes en otage dans une église et mis le feu à des bâtiments.
Outre les 19 civils, 13 militaires, 2 policiers et 51 activistes islamistes ont péri dans les combats, au cours desquels l'armée a effectué des bombardements sur des zones résidentielles où elle pensait que les combattants étaient retranchés. La plupart des habitants de la ville ont fui. « Nous voulons éviter les dommages collatéraux, mais ces rebelles nous forcent la main en se retranchant dans des maisons privées, des bâtiments publics et autres installations », a déclaré le porte-parole de l'armée, Restituto Padilla.
« Leur refus de se rendre fait que toute la ville est captive. Il est donc de plus en plus nécessaire d'utiliser des frappes aériennes chirurgicales pour nettoyer la ville et mettre au plus vite un terme à cette rébellion. » Rodrigo Duterte et les chefs de l'armée ont affirmé que la plupart des combattants islamistes appartenaient au groupe Maute qui a prêté serment à l'EI. Mais le président a aussi accusé des criminels locaux de soutenir le groupe Maute à Marawi.

Niger: six soldats tués dans une attaque
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 01/06/2017 à 14:35 Publié le 01/06/2017 à 14:32
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Six soldats nigériens ont été tués hier soir lors d'une "attaque terroriste" contre la ville d'Abala à environ 200 km au nord de Niamey, près de la frontière malienne, a indiqué aujourd'hui une source sécuritaire.

"Il y a six morts dans cette attaque terroriste" dont quatre membres de la Garde nationale et deux gendarmes, a précisé cette source sécuritaire, arrivée ce matin sur le lieu de l'attaque. "Peu après 19 heures locales (18 heures GMT), des hommes lourdement armés venus à bord de quatorze voitures tout terrain" ont attaqué la position militaire dans cette zone théâtre de nombreuses attaques djihadistes, a précisé cette source.
» Lire aussi - Des djihadistes massacrent 22 soldats au Niger
Cette source sécuritaire a précisé que des combats étaient "en cours (cet après-midi) entre les terroristes et les forces nigériennes" près du Mali et que "des avions militaires" étaient engagés "dans les opérations de ratissage et de poursuites".