Toi qui te prends pour le nombril du monde... les orgueilleux, le Diable vous attend - J

289- les orgueilleux, le Diable vous attend - Jésus

Publié le 31/03/2012 à 09:52 par petitremy

289 - Les orgueilleux, le Diable vous attend - Jésus

** Oh ! vous qui êtes en présence de votre Jésus par cet écrit, c'est moi, l'Être de votre être, qui se fais entendre à cet instrument pour vous. Comme je vous aime, mes bien-aimés élus ! Par ces mots, je vous rappelle que vous êtes tous appelés à être en moi, à vivre en moi, en vous abandonnant en ma Divine Volonté. Si vous acceptez de tout me remettre, votre vie deviendra ma Vie ; vous vivrez éternellement en votre Jésus-Christ, le Fils du Dieu Vivant.

- Réalisez-vous que vous êtes par moi enfants de Dieu ? Vous n'êtes pas des personnes du hasard, vous avez été choisis pour être les élus du Royaume, de mon Royaume puisque je suis Roi. Lisez bien ces mots que je dicte à ma Fille du Oui à la Divine Volonté : « Moi, le Ressuscité, le Roi du Ciel et de la terre, j'ai mis tout mon Être à vouloir vous sauver par amour pour mon Père. J'ai souffert pour vous, les élus de mon Père. Afin que vous puissiez venir dans le Royaume de mon Père, je vous ai précédés. Tout est prêt pour votre venue dans mon Royaume, le Ciel est ouvert. Oui, tous ceux qui diront oui : vous y entrerez. » Voici venir bientôt à vous celui qui dicte ces paroles qui se gravent dans le Ciel pour l'éternité. Nul d'entre vous ne sera oublié, seuls ceux qui refuseront de dire oui n'y entreront pas.

- Toi qui te prends pour le nombril du monde, moi, Jésus, je t'avertis, âme de peu de foi, que je vais te montrer ce qui est en toi. Toi qui te prends pour le maître de ton être, tu verras ma grandeur et, face à ton Créateur, tu t'assigneras toi-même ton dû car, vois-tu, tu verras ce que tu es devenu à cause de ton orgueil. Tu te donnes des airs de grandeur et tu me regardes de ta hauteur mais, moi, je te vois, je sais qui tu es et ce que tu vaux ; ne te montre pas plus fin qu'un autre, nul ne te voit comme, moi, je te vois. L'extérieur n'est que ton miroir alors que ton intérieur est ton tout. Que cherches-tu à te prouver lorsque tu refuses de croire en Dieu ? Crois-tu que cela te vaudra le bonheur éternel ? N'est-ce pas ce que tu cherches, le bonheur ? Lorsque tu te dis être ouvert à tout, ton esprit ne peut te faire comprendre que ce que, toi, tu veux comprendre, car tu as arrêté ton intelligence de croître en la mettant au service des choses de la terre. Lorsque tu ne vois plus la beauté de tout ce que Dieu a mis sur la terre, où peux-tu puiser tes connaissances pour parler avec intelligence ? Tu ne peux parler que de tes biens à toi, rien d'autre.

- Sors pour marcher dans la rue et regarde ton prochain, et si tu vois un manque de goût vestimentaire, des cheveux mal peignés, des ongles mal entretenus, des chaussures démodées, c'est que tu ne peux le voir que d'après ta perception. Tu as le regard bien court ! Pour toi, il n'y a que toi qui comptes ; la façon de t'habiller et de te coiffer démontre aux autres que tu as réussi, mais pas eux. Tu entres dans un endroit public et, du coin de l'oeil, tu peux voir ceux qui se tournent sur ton passage et tu te gonfles de satisfaction. Qui t'a dit que ta personne est agréable à regarder ? Aurais-tu lu dans leurs pensées ? Qui t'a donné autant de pouvoir, sinon l'orgueilleux Satan ? Ne sais-tu pas qu'il n'y a que lui qui nourrit l'orgueil ? Il peut voir à cent mille lieues un enfant qui se pavane ; il se presse pour aller vers lui afin de lui en mettre plein la vue. Ne te dis pas plus fin que les autres, car ta finesse vient de ton aveuglement à ne pas te voir tel que tu es : un être fait d'après ce monde. Il est bien aise celui qui peut tout s'offrir alors que le plus petit, lui, ne le peut pas, car il n'en a pas les moyens. Oh ! que celui qui est humble est protégé du regard malicieux de l'infâme Satan !

- Mes enfants, ne soyez pas des êtres épris de vous-mêmes. Qu'adviendra-t-il de vous lorsque vous serez devant moi, alors que je vais vous montrer votre intérieur ? Rien de ce que vous êtes à l'extérieur n'entrera en vous, vous serez dépouillés de tout ce qui vous rend si orgueilleux : vous et moi, seuls avec vos oeuvres. Petits orgueilleux de ce monde, voyez comme est grand mon amour pour vous. Le jour où vous serez devant vos oeuvres, je vais vous montrer mon amour et tout ce que j'ai fait pour vous, là, vous verrez ce que j'ai permis pour vous protéger de l'orgueil. Toutes les fois que vous avez voulu avoir raison et que vous n'avez pas pu avoir le dernier mot, vous avez souffert, n'est-ce pas ? C'est votre orgueil qui vous faisait souffrir et Dieu permettait à votre orgueil de vous faire souffrir pour que vous le ressentiez, ainsi vous découvriez que vous n'étiez pas à l'abri du Tentateur. Combien de fois vous vous êtes crus supérieurs à moi en voulant montrer aux autres que vous étiez maîtres de la situation ? Moi, je vous ai tenus dans l'impossibilité d'accomplir ce qui vous tentait pour que vous ne puissiez pas réussir ; oui, vos désirs de tout avoir au moment où, vous, vous le vouliez, de la manière que, vous, vous le vouliez, auraient fait votre perte. Oh ! que de fois j'ai dû vous rabaisser pour vous protéger contre votre vous-même. Qui veut voir, voit ; qui veut entendre, entend.

- Oh ! orgueil, comme ta faute est grande ! Tu as fait de mes enfants des êtres froids et vils envers les autres et tu as fait sortir d'eux la vanité que tu avais toi-même mise en eux pour qu'eux montrent aux autres, qui se sont trouvés sur leur passage, qu'ils étaient des êtres inférieurs. Mes enfants, pour vous sauver de vous-mêmes, vous devez rejeter hors de vous cet orgueil qui veut votre perte. En venant à moi, je déverserai en vous des grâces d'humilité. C'est par des actes humbles que vous vous retrouverez tels que vous devez être. Il faut que vous preniez conscience de ce qui vient ; il est de mon amour de vous avertir que votre orgueil fera votre perte. Réagissez ! Allez voir ma Mère, elle vous aidera ; elle a tout reçu de nous, la Divine Volonté. Par sa petitesse et son humilité, ma sainte Mère se disait le vermisseau de la terre. Sa grandeur est à la mesure de ce que fut sa petitesse. Nous l'avons fait Reine du Ciel et de la terre. Vous tous, sachez qui vous êtes. Qui se voit petit se verra grand et celui qui se voit grand se verra plus petit que le plus petit parmi les créatures les plus viles de ce monde.

- Et toi, mon enfant, qui refuses d'avoir de la compassion pour ton prochain, je te traiterai de la même manière que, toi, tu as traité ton prochain. Parce que tu t'élèves au-dessus de tes frères et de tes soeurs pour mieux les abaisser, moi, ton Dieu, j'élèverai le plus frêle d'entre eux pour te montrer qu'il est plus grand que toi. Tu seras devant ce que, toi, tu auras voulu être. Face à ton propre comportement, tu recevras ce que tu auras cherché à avoir. Si tu veux ignorer mes avertissements, tu t'en frapperas la poitrine. Tout ce que tu auras fait au plus petit de mes enfants, tu en recevras la mesure. Mesure bien tes pensées et tes actes, s'ils donnent de bons fruits, ce sont ces fruits que tu verras. Quand le temps viendra où tu te présenteras devant ton Dieu, tu seras seul avec ce que tu auras produit. Ce temps vient, il est prêt ; si toi, tu ne te prépares pas, ce ne sera pas parce que je ne t'aurai pas averti. Je t'ai prévenu par ma sainte Maman ; ne nie pas ses apparitions, car tu connais ceux de Fatima et de Lourdes.

Mes enfants, vous qui ne voulez voir et entendre que ce qui vous plaît, plaise à vous de comprendre, car voici venir ma Présence en votre être. Nul, oui je dis bien, nul n'y échappera, car le temps de ma venue en chacun de vous est arrivé. Ce sont mes derniers rappels. Voici arriver bien vite le jour où la lumière percera les ténèbres et la lumière jaillira en vous mais, avant, mes enfants, faites pénitence, pénitence, pénitence ! Amen.