RÉVÉLATIONS DE L'ESPRIT SAINT À L'ÉGLISE DE NOTRE TEMPS - L'ABBÉ MARLIÈRE !
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Isaïe
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La nuptialité divine
37ème RÉVÉLATION DE L'ESPRIT SAINT :
LA NUPTIALITÉ DU PÈRE AVEC SON FILS (la nuptialité divine) :
Maintenant il nous faut faire en sorte que son Plan d'Origine se réalise. Cependant seuls nous ne pouvons rien faire, sans moi, vous ne pouvez rien faire a dit le Christ en Jean 15, 5. Ce n’est qu’en entrant en relation avec le Père, en participant à sa Nuptialité avec son Fils et en communiant à la Kénose de son Fils, dans un même Esprit, que l'on peut se re-créer d'abord puis renaître ou naître de leur Esprit, dès maintenant..dans l'instant !
LA NUPTIALITÉ DU PÈRE AVEC SON FILS (la nuptialité divine) :
Maintenant il nous faut faire en sorte que son Plan d'Origine se réalise. Cependant seuls nous ne pouvons rien faire, sans moi, vous ne pouvez rien faire a dit le Christ en Jean 15, 5. Ce n’est qu’en entrant en relation avec le Père, en participant à sa Nuptialité avec son Fils et en communiant à la Kénose de son Fils, dans un même Esprit, que l'on peut se re-créer d'abord puis renaître ou naître de leur Esprit, dès maintenant..dans l'instant !
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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La nuptialité divine
La nuptialité divine c'est l'amour nuptial du Père pour son Fils et l'amour nuptial du Fils pour son Père, celui qui «veut que l'autre «soit», et qui est si parfait, qu'il spire ou fait surgir l'Esprit Saint, l'amour géniteur, à laquelle on peut participer dans une célébration eucharistique par dons et accueils d'Amour : échanges.
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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Le phénomène de l'Objectivation
38ème RÉVÉLATION DE L’ESPRIT SAINT :
LE PHÉNOMÈNE DE L’OBJECTIVATION :
Et leurs yeux s'ouvrirent...(Genèse 3, 7).
Le phénomène de l’objectivation n'est pas une théorie comme la théorie de l'évolution mais bien une réalité. Il fait partie de notre réalité existentielle. Ce phénomène vient contredire ou vient en opposition à certaines affirmations de la science contemporaine avec sa théorie de l’évolution et la sélection naturelle des espèces en ce qu'il ne considère pas l'homme (le personnage) comme le produit final de l'évolution d'espèces animales. Toujours appuyé par la la Parole de Dieu, il diverge d'opinion avec la science actuelle en ce qui a trait à l'apparition de la vie sur terre, de l'homme et de son univers (Jean, 1,1 - Col. 1, 15 à 17 - Gn 3, 22).
Au commencement était le Verbe, par lui tout a été fait et sans lui rien n'a été fait de ce qui a été fait. (Jean, 1, 1).
Il est l'image du Dieu invisible, le premier né de toute créature, car en lui tout a été créé au ciel et sur la terre, les choses visibles et les invisibles. (Col. 1, 15-17).
Et Yahweh Dieu dit : Voici que l'homme est devenu comme l'un de nous pour la connaissance du Bien et du mal. (Gn. 3, 22).
LE PHÉNOMÈNE DE L’OBJECTIVATION :
Et leurs yeux s'ouvrirent...(Genèse 3, 7).
Le phénomène de l’objectivation n'est pas une théorie comme la théorie de l'évolution mais bien une réalité. Il fait partie de notre réalité existentielle. Ce phénomène vient contredire ou vient en opposition à certaines affirmations de la science contemporaine avec sa théorie de l’évolution et la sélection naturelle des espèces en ce qu'il ne considère pas l'homme (le personnage) comme le produit final de l'évolution d'espèces animales. Toujours appuyé par la la Parole de Dieu, il diverge d'opinion avec la science actuelle en ce qui a trait à l'apparition de la vie sur terre, de l'homme et de son univers (Jean, 1,1 - Col. 1, 15 à 17 - Gn 3, 22).
Au commencement était le Verbe, par lui tout a été fait et sans lui rien n'a été fait de ce qui a été fait. (Jean, 1, 1).
Il est l'image du Dieu invisible, le premier né de toute créature, car en lui tout a été créé au ciel et sur la terre, les choses visibles et les invisibles. (Col. 1, 15-17).
Et Yahweh Dieu dit : Voici que l'homme est devenu comme l'un de nous pour la connaissance du Bien et du mal. (Gn. 3, 22).
Dernière édition par Omega3 le Sam 31 Juil 2010 - 16:54, édité 5 fois
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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Le phénomène de l'Objectivation
Le monde actuel est donc apparu avec l’éveil des sens du personnage de chair et de sang, au sortir de l’Éden. L'univers actuel n’a pas précédé l’homme, mais il est apparu en même temps que lui. Il est apparu avec ce pouvoir perceptif que possèdent les sens de l'homme de faire naître plus ou moins consciemment l’objet sensible dans une relation qui s’établit entre eux (y compris le sens interne) et chaque présence de l'Éden, par laquelle ils requièrent à cette présence de «manifester» son «étant» sensible (son «objet»).
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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Le phénomène de l'Objectivation
Avec ses sens et son esprit, l’homme perçoit désormais la réalité de l'Éden d’une autre façon qu'il l'a concevait à l'Origine : non plus par intuition ou par connaissance intuitive liée à la sensibilité spirituelle de sa personne, mais bien par la connaissance sensible ou objective liée à la sensibilité physique de son personnage qui maintenant objective les présences de la création d'Origine, les fait devenir «objets»..les matérialise..les fait paraître..les fait devenir visibles.
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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L'incarnation en acte
39ème RÉVÉLATION DE L'ESPRIT SAINT :
L’INCARNATION EN ACTE :
(S'incarner signifie «prendre chair»). Il ne faut pas confondre l'incarnation en acte (active, actuelle ou en action) avec l'incarnation historique du Fils de Dieu en Jésus le personnage (et le Verbe a pris chair), alors qu'il est venu en ce monde par l'intermédiaire de la Vierge Marie (art. 461 du C.E.C.). Il ne faut pas confondre également l'incarnation en acte avec l'incarnation ontologique, intemporelle, qui, elle, s'est réalisée en Éden, à l'Origine, alors que le Verbe créateur (toujours le Christ) a pris chair humaine (ontologique) de la Vierge Marie ontologique, et que grâce à elle, on a tous été créés, on est parus (à noter que le Verbe rédempteur, le Christ, était déjà né de la Vierge Marie en Éden avant de naître sur terre (Jésus) et que la nature humaine est celle de la personne, autant celle de la Personne du Christ que de la nôtre).
La vraie incarnation du Christ c'est l'incarnation en acte. C’est un homme semblable à tous les autres, un personnage nommé Jésus, dont la nature humaine en la Personne du Christ, cette nature humaine (ou cette humanité) que le Christ a assumée et pour laquelle Jésus a souffert en mourant sur la croix dans sa kénose rédemptrice, qui est élevée au niveau de sa nature divine, et qui renaît, ressuscite à la vie éternelle, à la Vie.
L’incarnation en acte chez la personne humaine c'est sa nature humaine, celle de son corps spirituel, qui est transformée, qui prend forme et qui est élevée au même niveau que la nature divine du Christ à la mesure de ses actes d’Amour, tout comme pour l’incarnation en acte de Jésus-Christ. Et c'est le Christ qui est venu nous enseigner comment l’on peut renaître ou naître à la vie éternelle grâce à l’Amour ou à l'amour divin qu’il a eu pour nous. Et c'est cette incarnation en acte qui se poursuit encore de nos jours. Elle est toujours actuelle dans l'Église en tant que Corps mystique du Christ, (le Royaume en devenir), en chacun de ses fidèles. L’incarnation en acte est une divinisation. Elle est active en chaque personne, dans la nature humaine de son corps spirituel, en chaque personne qui accueille l'amour nuptial et qui le met en pratique dans sa vie de tous les jours : qui accepte la Volonté du Père de suivre son Fils, celui qui «veut que l'autre «soit», par le renoncement à son personnage.
L'incarnation en acte ce n'est pas la renaissance de la Personne du Christ ou de la personne humaine selon l'ancien concept grec de la personne (corps mortel + âme), mais bien selon le nouveau concept de la personne (corps spirituel + âme).
L'incarnation en acte pour la personne humaine est une re-création suivie d'une renaissance, d'une résurrection. C’est pour Dieu le Fils (le Christ, le Messie) sa nature humaine, son humanité, celle de son Corps spirituel, devenu Corps de résurrection qui renaît, ressuscite avec tous ceux qui lui sont incorporés pour l’Éternité.
Les Fils et les Filles de Dieu peuvent renaître par lui, avec lui et en lui, car Dieu le Fils ne fait que ça : il meurt à lui-même, à sa divinité, et renaît continuellement. Par Amour pour nous (par son «vouloir que l'on «soit») il meurt à lui-même et renaît continuellement et éternellement à la Vie grâce à l'Amour des deux autres personnes divines. Il est donc toujours en état de mourir à lui-même et de renaître. Il est toujours en train de naître. Ses disciples peuvent donc tous renaître avec lui dans le temps des hommes par le fait qu'en tant que personnes elles sont toutes incorporées à son Corps spirituel devenu Corps de résurrection ou Corps mystique (Royaume) - par le fait qu'ils font tous partie de son humanité - par le fait que Jésus-Christ possède à la fois la nature humaine et la nature divine (à noter que c'est pour cette raison que Jésus-Christ est vraiment Dieu et vraiment homme - art. 464 du C.E.C.). Et c'est la raison pour laquelle le Verbe éternel (le Christ) a pris chair, s'est objectivé, s'est incarné historiquement pour montrer à ses disciples l’exemple à suivre pour renaître dans son Royaume, pour renaître à l'Amour par l'Amour.
L’INCARNATION EN ACTE :
(S'incarner signifie «prendre chair»). Il ne faut pas confondre l'incarnation en acte (active, actuelle ou en action) avec l'incarnation historique du Fils de Dieu en Jésus le personnage (et le Verbe a pris chair), alors qu'il est venu en ce monde par l'intermédiaire de la Vierge Marie (art. 461 du C.E.C.). Il ne faut pas confondre également l'incarnation en acte avec l'incarnation ontologique, intemporelle, qui, elle, s'est réalisée en Éden, à l'Origine, alors que le Verbe créateur (toujours le Christ) a pris chair humaine (ontologique) de la Vierge Marie ontologique, et que grâce à elle, on a tous été créés, on est parus (à noter que le Verbe rédempteur, le Christ, était déjà né de la Vierge Marie en Éden avant de naître sur terre (Jésus) et que la nature humaine est celle de la personne, autant celle de la Personne du Christ que de la nôtre).
La vraie incarnation du Christ c'est l'incarnation en acte. C’est un homme semblable à tous les autres, un personnage nommé Jésus, dont la nature humaine en la Personne du Christ, cette nature humaine (ou cette humanité) que le Christ a assumée et pour laquelle Jésus a souffert en mourant sur la croix dans sa kénose rédemptrice, qui est élevée au niveau de sa nature divine, et qui renaît, ressuscite à la vie éternelle, à la Vie.
L’incarnation en acte chez la personne humaine c'est sa nature humaine, celle de son corps spirituel, qui est transformée, qui prend forme et qui est élevée au même niveau que la nature divine du Christ à la mesure de ses actes d’Amour, tout comme pour l’incarnation en acte de Jésus-Christ. Et c'est le Christ qui est venu nous enseigner comment l’on peut renaître ou naître à la vie éternelle grâce à l’Amour ou à l'amour divin qu’il a eu pour nous. Et c'est cette incarnation en acte qui se poursuit encore de nos jours. Elle est toujours actuelle dans l'Église en tant que Corps mystique du Christ, (le Royaume en devenir), en chacun de ses fidèles. L’incarnation en acte est une divinisation. Elle est active en chaque personne, dans la nature humaine de son corps spirituel, en chaque personne qui accueille l'amour nuptial et qui le met en pratique dans sa vie de tous les jours : qui accepte la Volonté du Père de suivre son Fils, celui qui «veut que l'autre «soit», par le renoncement à son personnage.
L'incarnation en acte ce n'est pas la renaissance de la Personne du Christ ou de la personne humaine selon l'ancien concept grec de la personne (corps mortel + âme), mais bien selon le nouveau concept de la personne (corps spirituel + âme).
L'incarnation en acte pour la personne humaine est une re-création suivie d'une renaissance, d'une résurrection. C’est pour Dieu le Fils (le Christ, le Messie) sa nature humaine, son humanité, celle de son Corps spirituel, devenu Corps de résurrection qui renaît, ressuscite avec tous ceux qui lui sont incorporés pour l’Éternité.
Les Fils et les Filles de Dieu peuvent renaître par lui, avec lui et en lui, car Dieu le Fils ne fait que ça : il meurt à lui-même, à sa divinité, et renaît continuellement. Par Amour pour nous (par son «vouloir que l'on «soit») il meurt à lui-même et renaît continuellement et éternellement à la Vie grâce à l'Amour des deux autres personnes divines. Il est donc toujours en état de mourir à lui-même et de renaître. Il est toujours en train de naître. Ses disciples peuvent donc tous renaître avec lui dans le temps des hommes par le fait qu'en tant que personnes elles sont toutes incorporées à son Corps spirituel devenu Corps de résurrection ou Corps mystique (Royaume) - par le fait qu'ils font tous partie de son humanité - par le fait que Jésus-Christ possède à la fois la nature humaine et la nature divine (à noter que c'est pour cette raison que Jésus-Christ est vraiment Dieu et vraiment homme - art. 464 du C.E.C.). Et c'est la raison pour laquelle le Verbe éternel (le Christ) a pris chair, s'est objectivé, s'est incarné historiquement pour montrer à ses disciples l’exemple à suivre pour renaître dans son Royaume, pour renaître à l'Amour par l'Amour.
Dernière édition par Omega3 le Dim 29 Aoû 2010 - 13:10, édité 4 fois
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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L'unité générique, la binité, la Trinité, la plurinité
40ème RÉVÉLATION DE L'ESPRIT SAINT :
L’UNITÉ GÉNÉRIQUE, LA BINITÉ, LA TRINITÉ, LA PLURINITÉ :
L’unité est différente de l’union. Dans notre monde l’unité générique est inconcevable. L’unité générique c’est d'abord la création d’Origine alors que tout est un, alors que toutes les présences sont en unité. C’est la plurinité d'Origine, le Royaume, le Corps mystique du Christ, la communion des saints. L’unité générique est un mystère tout comme l'Amour. C’est cette unité qui unit les trois personnes divines entre elles, la Trinité. On ne peut se représenter cette unité générique qui fait que plusieurs personnes, toutes différentes métaphysiquement, n’en forment qu’une seule, tout comme on ne peut se représenter ce qui unit la Trinité.
Dans notre monde spatio-temporel, (d'espace et de temps), il n’y a que des unités numériques qui forment une pluralité numérique.
Dans la création du premier couple en Éden, deux personnes étaient en binité, c’est-à-dire qu’elles n’en formaient qu’une seule, à la ressemblance de la Trinité. Il ne faut pas confondre binité et dualité. Ils étaient deux en une seule chair signifie qu’ils étaient deux personnes en une seule chair prime ou encore de matière spirituelle, et non de matière comme celle que nous connaissons actuellement (non de chair et de sang). La binité est de création c’est-à-dire qu'elle a été créée à la ressemblance de Dieu. Il n’y a pas de nombre ou de pluralité numérique en Éden. Tout est un, en unité, en binité (bi-unité) ou en plurinité (pluri-unité), sur le même modèle que la Trinité (tri-unité), trois personnes divines en une seule, un Mystère. Dans le mariage chrétien, les couples sont invités à re-créer les binités de personnes qu’ils étaient dans la création originelle.
L’UNITÉ GÉNÉRIQUE, LA BINITÉ, LA TRINITÉ, LA PLURINITÉ :
L’unité est différente de l’union. Dans notre monde l’unité générique est inconcevable. L’unité générique c’est d'abord la création d’Origine alors que tout est un, alors que toutes les présences sont en unité. C’est la plurinité d'Origine, le Royaume, le Corps mystique du Christ, la communion des saints. L’unité générique est un mystère tout comme l'Amour. C’est cette unité qui unit les trois personnes divines entre elles, la Trinité. On ne peut se représenter cette unité générique qui fait que plusieurs personnes, toutes différentes métaphysiquement, n’en forment qu’une seule, tout comme on ne peut se représenter ce qui unit la Trinité.
Dans notre monde spatio-temporel, (d'espace et de temps), il n’y a que des unités numériques qui forment une pluralité numérique.
Dans la création du premier couple en Éden, deux personnes étaient en binité, c’est-à-dire qu’elles n’en formaient qu’une seule, à la ressemblance de la Trinité. Il ne faut pas confondre binité et dualité. Ils étaient deux en une seule chair signifie qu’ils étaient deux personnes en une seule chair prime ou encore de matière spirituelle, et non de matière comme celle que nous connaissons actuellement (non de chair et de sang). La binité est de création c’est-à-dire qu'elle a été créée à la ressemblance de Dieu. Il n’y a pas de nombre ou de pluralité numérique en Éden. Tout est un, en unité, en binité (bi-unité) ou en plurinité (pluri-unité), sur le même modèle que la Trinité (tri-unité), trois personnes divines en une seule, un Mystère. Dans le mariage chrétien, les couples sont invités à re-créer les binités de personnes qu’ils étaient dans la création originelle.
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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L'ÊTRE, L'AVOIR ET L'EXISTENCE
41ème RÉVÉLATION DE L’ESPRIT SAINT :
L’ÊTRE, L’AVOIR ET L’EXISTENCE :
L'être, c'est ce qui a valeur d'Éternité divine. Ainsi l'Éden «est», mais «n'existe» pas. Seul le Bien «est» ; le mal «existe», mais «n'est» pas. L’enfer existe, mais n’est pas. Dieu n’a pas créé l’enfer.
Il y a l'être et l’Être. L'être est reçu sans avoir été choisi, ni voulu. C'est la création. L'Être est reçu par suite d'un choix libre. C'est l'élection. L'Être est un dû. L'être c'est ce que Dieu crée par son amour créateur, à sa ressemblance, ce qui est de création (la création est une venue à l'être, l’élection est une venue à l’Être). Ainsi en est-il du corps que l'on «est» et de l'amour que l'on «est». L'être et l'Être c'est cet élan de vie ou de Vie que Dieu crée ou engendre.
Cependant Dieu ne donne pas l'être mais seulement l'existence à nos mauvais choix (il leur accorde l'existence). Dieu ne crée pas le mal. Il ne connaît pas le mal. Il ne crée que le Bien. Dans notre existence présente seule la Parole de Dieu nous indique ce qui est Bien et ce qui est mal.
Dans le Monde de l'Être, «l'Être» est une définition subtile. Elle implique l'Être en tant que Personne et «l'Être» en tant que Vie ou vie divine. Elle implique également une manière «d'Être» comme l'instant ou le temps de Dieu dans son Monde. L’Être implique l'identité de chaque personne humaine qui devient personne divine, c'est-à-dire ce qu'elle est dans son Être.
L'avoir n'a qu'une existence précaire ou éphémère. Il ne dure pas. Ainsi en est-il du corps que l'on «a». Il passera comme tout ce qui est éphémère.
L’existence c’est le temps que le personnage passe dans le monde des hommes. Elle est évanescente, provisoire, éphémère. Elle ne dure pas. Elle ne dure que le temps que nous passons sur terre. Elle disparaîtra comme tout ce qui est non-gratuité.
Exister, c’est «apparaître» dans les «commencements», dans le temps et le monde des hommes, en Bien comme en mal : le signe. En ce sens nos «actes» (ce qui ne se voit pas), sous nos «actions» (ce qui se voit ou qui apparaît) sont le plus souvent un mélange de Bien et de mal, où Dieu seul peut faire le discernement, car il «voit» parfaitement le Bien et le Bien seul. À la Lumière de Dieu nous verrons et le Bien et le mal (à cause de cette «science» du Bien et du mal que nous avons acquise par la faute originelle) et nous nous jugerons en conséquence. Ce qui existe en mal et que nous ne rectifions pas en Bien, restera à jamais de l’ordre de l’existence (ce qui n’accède pas à l’Être de Dieu).
L’ÊTRE, L’AVOIR ET L’EXISTENCE :
L'être, c'est ce qui a valeur d'Éternité divine. Ainsi l'Éden «est», mais «n'existe» pas. Seul le Bien «est» ; le mal «existe», mais «n'est» pas. L’enfer existe, mais n’est pas. Dieu n’a pas créé l’enfer.
Il y a l'être et l’Être. L'être est reçu sans avoir été choisi, ni voulu. C'est la création. L'Être est reçu par suite d'un choix libre. C'est l'élection. L'Être est un dû. L'être c'est ce que Dieu crée par son amour créateur, à sa ressemblance, ce qui est de création (la création est une venue à l'être, l’élection est une venue à l’Être). Ainsi en est-il du corps que l'on «est» et de l'amour que l'on «est». L'être et l'Être c'est cet élan de vie ou de Vie que Dieu crée ou engendre.
Cependant Dieu ne donne pas l'être mais seulement l'existence à nos mauvais choix (il leur accorde l'existence). Dieu ne crée pas le mal. Il ne connaît pas le mal. Il ne crée que le Bien. Dans notre existence présente seule la Parole de Dieu nous indique ce qui est Bien et ce qui est mal.
Dans le Monde de l'Être, «l'Être» est une définition subtile. Elle implique l'Être en tant que Personne et «l'Être» en tant que Vie ou vie divine. Elle implique également une manière «d'Être» comme l'instant ou le temps de Dieu dans son Monde. L’Être implique l'identité de chaque personne humaine qui devient personne divine, c'est-à-dire ce qu'elle est dans son Être.
L'avoir n'a qu'une existence précaire ou éphémère. Il ne dure pas. Ainsi en est-il du corps que l'on «a». Il passera comme tout ce qui est éphémère.
L’existence c’est le temps que le personnage passe dans le monde des hommes. Elle est évanescente, provisoire, éphémère. Elle ne dure pas. Elle ne dure que le temps que nous passons sur terre. Elle disparaîtra comme tout ce qui est non-gratuité.
Exister, c’est «apparaître» dans les «commencements», dans le temps et le monde des hommes, en Bien comme en mal : le signe. En ce sens nos «actes» (ce qui ne se voit pas), sous nos «actions» (ce qui se voit ou qui apparaît) sont le plus souvent un mélange de Bien et de mal, où Dieu seul peut faire le discernement, car il «voit» parfaitement le Bien et le Bien seul. À la Lumière de Dieu nous verrons et le Bien et le mal (à cause de cette «science» du Bien et du mal que nous avons acquise par la faute originelle) et nous nous jugerons en conséquence. Ce qui existe en mal et que nous ne rectifions pas en Bien, restera à jamais de l’ordre de l’existence (ce qui n’accède pas à l’Être de Dieu).
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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L'«être»
Le dogme de l’Église catholique sur la création dit :
Dieu a créé le monde - les êtres spirituels et les êtres matériels - quant à toute leur substance (De foi).
Et cette «substance», c’est une «présence»..de l’«être». Dans le Monde de l’«être», Dieu crée la «présence» des choses derrière les choses présentes de notre monde. L’«être» qu’Il crée dans son Monde (en Éden) de-vient «existence» dans notre monde.
Mais ce qui est le plus important c’est que Dieu nous confie son propre pouvoir de Créateur. Il nous donne l'immense pouvoir de se donner l’«être» soi-même, de se mettre soi-même au Monde, d’être nos propres père et mère.
Dieu nous offre de partager son immense pouvoir d'être créateur tout comme lui-même est seul vrai Créateur.
Et cette «substance», c’est une «présence»..de l’«être». Dans le Monde de l’«être», Dieu crée la «présence» des choses derrière les choses présentes de notre monde. L’«être» qu’Il crée dans son Monde (en Éden) de-vient «existence» dans notre monde.
Mais ce qui est le plus important c’est que Dieu nous confie son propre pouvoir de Créateur. Il nous donne l'immense pouvoir de se donner l’«être» soi-même, de se mettre soi-même au Monde, d’être nos propres père et mère.
Dieu nous offre de partager son immense pouvoir d'être créateur tout comme lui-même est seul vrai Créateur.
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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LA NATURE HUMAINE
La nature humaine et non l’espèce humaine n’est qu’une relation, une «présence», à la Pensée du Père et à l’Acte créateur et rédempteur du Fils, tout comme la relation du Fils à son Père est une relation unique, une Présence a sa Pensée et à cet Acte d'Être, ce qu’on appelle la nuptialité divine.
Isaïe- Sixième Demeure : C'est la Nuit de l'esprit. Je pratique l'abandon, la patience, la pauvreté.
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