la présidente de "nous sommes église" excommuniee
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la présidente de "nous sommes église" excommuniee
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il s'agit de l'excommunication des époux heizer
martha heizer,autrichienne est la presidente de "nous sommes église " ,ils avait celebres une messe sans pretre
ce qui est intéressant c' est de lire le point de vue du journal golias et les commentaires de ceux qui veulent une église moderne a l' esprit du monde
Le Vatican a donc annoncé que « le diocèse d’Innsbruck a confirmé l’excommunication de Martha Heizer et de son mari pour avoir célébré la messe sans prêtre. La célébration de l’Eucharistie par une personne n’ayant pas reçu l’ordination sacerdotale est une infraction particulièrement grave qui, selon le droit de l’Eglise, entraîne l’excommunication latae sententiae, autrement dit automatique » ! Le communiqué romain précise que, ni le pape ni le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi ne sont intervenus. C’est l’évêque d’Innsbruck qui a lu le décret aux époux Heizer… mais puisque la sentence relève d’une automaticité, il n’est sans doute pas responsable non plus. Il ne pouvait pas faire autrement, le pauvre !
Alors que le pape François préparait son voyage en Terre Sainte, peu de médias ont relevé l’excommunication de Martha Heizer, autrichienne, présidente du Mouvement
« Nous sommes Eglise », et de son mari, qui ont osé faire mémoire de la Cène sans prêtre. Le contraste est pourtant éclairant. Trop éclairant, éblouissant même
au point de rendre aveugle nombre de journalistes et de chrétiens ? D’un côté le pape donne l’image d’une Eglise du dialogue. De l’autre, c’est une Eglise de l’anti communication ! Comme s’il était plus facile de communiquer avec l’autre de l’Eglise qu’à l’intérieur de la communauté, peut-être parce que la première démarche ne nous oblige pas à une conversion radicale. Le Magistère cache la motivation de ses décisions sous l’autorité de ce qu’a dit le Christ, confondant sans vergogne la parole de Dieu et les traditions humaines. Le Christ n’a jamais créé de ministres ordonnés mais il a voulu une Eglise ordonnée à la fraternité.
Certes, il ne s’agit pas d’être fondamentaliste en refusant les inventions de la communauté chrétienne, nécessaires en fonction des besoins nouveaux, que ce soit au niveau des dogmes ou de l’organisation institutionnelle. La création des diacres et l’abandon des prescriptions mosaïques sont des exemples de la liberté que Jésus a laissée à son Eglise. Pourtant, deux questions sont posées avec urgence par cette excommunication. La première concerne l’autorité dans l’Eglise. Les anglicistes parleraient de leadership ou de management. La seconde est celle de l’ouverture
à une pensée plurielle dans une société démocratique marquée par le relativisme. On voit bien que les deux sont liées et le problème fondamental est celui de la probité. Or, trop souvent, les chrétiens qui rêvent d’une Eglise ancrée dans les Paroles de Son Seigneur et inculturée dans la postmodernité soupçonnent, non sans raison, une hypocrisie qui vise d’abord à défendre ceux qui détiennent le pouvoir.
La semaine dernière, nous évoquions le cas de l’évêque de Quimper, suspendu sans que ne soient données les vraies raisons de son départ. Aujourd’hui, comment imaginer que le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi ne puisse pas être à l’origine de l’excommunication des époux Heizer ? L’intraitable cardinal Müller est le
gardien d’une orthodoxie désuète. Que l’on se souvienne de sa réitération de la doctrine de l’indissolubilité du mariage ou de sa lutte contre les religieuses américaines jugées trop féministes et trop indépendantes. Nous venons d’apprendre que le jésuite Michael Amaladoss, un des plus grands théologiens indiens, vient d’être réduit au silence par celui que certains appellent déjà le « panzerkardinal » ! Et nul ne peut douter qu’il agit de concert avec le pape François. Les prêtres et les évêques sont des serviteurs, selon la pensée officielle. Leur agir montre, le plus souvent, qu’ils tiennent à leur pouvoir et que, ceux et celles qui dans l’Eglise leur désobéissent, subissent leur coup de crosse. Et ils agissent avec grande
subtilité prétextant le respect d’une règle qui leur a été donnée par le Christ et feignant une compassion qui n’est que le masque de leur hypocrisie. François est bien dans la ligne de ses deux prédécesseurs. Le changement, ce n’est pas pour maintenant !
il s'agit de l'excommunication des époux heizer
martha heizer,autrichienne est la presidente de "nous sommes église " ,ils avait celebres une messe sans pretre
ce qui est intéressant c' est de lire le point de vue du journal golias et les commentaires de ceux qui veulent une église moderne a l' esprit du monde
Le Vatican a donc annoncé que « le diocèse d’Innsbruck a confirmé l’excommunication de Martha Heizer et de son mari pour avoir célébré la messe sans prêtre. La célébration de l’Eucharistie par une personne n’ayant pas reçu l’ordination sacerdotale est une infraction particulièrement grave qui, selon le droit de l’Eglise, entraîne l’excommunication latae sententiae, autrement dit automatique » ! Le communiqué romain précise que, ni le pape ni le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi ne sont intervenus. C’est l’évêque d’Innsbruck qui a lu le décret aux époux Heizer… mais puisque la sentence relève d’une automaticité, il n’est sans doute pas responsable non plus. Il ne pouvait pas faire autrement, le pauvre !
Alors que le pape François préparait son voyage en Terre Sainte, peu de médias ont relevé l’excommunication de Martha Heizer, autrichienne, présidente du Mouvement
« Nous sommes Eglise », et de son mari, qui ont osé faire mémoire de la Cène sans prêtre. Le contraste est pourtant éclairant. Trop éclairant, éblouissant même
au point de rendre aveugle nombre de journalistes et de chrétiens ? D’un côté le pape donne l’image d’une Eglise du dialogue. De l’autre, c’est une Eglise de l’anti communication ! Comme s’il était plus facile de communiquer avec l’autre de l’Eglise qu’à l’intérieur de la communauté, peut-être parce que la première démarche ne nous oblige pas à une conversion radicale. Le Magistère cache la motivation de ses décisions sous l’autorité de ce qu’a dit le Christ, confondant sans vergogne la parole de Dieu et les traditions humaines. Le Christ n’a jamais créé de ministres ordonnés mais il a voulu une Eglise ordonnée à la fraternité.
Certes, il ne s’agit pas d’être fondamentaliste en refusant les inventions de la communauté chrétienne, nécessaires en fonction des besoins nouveaux, que ce soit au niveau des dogmes ou de l’organisation institutionnelle. La création des diacres et l’abandon des prescriptions mosaïques sont des exemples de la liberté que Jésus a laissée à son Eglise. Pourtant, deux questions sont posées avec urgence par cette excommunication. La première concerne l’autorité dans l’Eglise. Les anglicistes parleraient de leadership ou de management. La seconde est celle de l’ouverture
à une pensée plurielle dans une société démocratique marquée par le relativisme. On voit bien que les deux sont liées et le problème fondamental est celui de la probité. Or, trop souvent, les chrétiens qui rêvent d’une Eglise ancrée dans les Paroles de Son Seigneur et inculturée dans la postmodernité soupçonnent, non sans raison, une hypocrisie qui vise d’abord à défendre ceux qui détiennent le pouvoir.
La semaine dernière, nous évoquions le cas de l’évêque de Quimper, suspendu sans que ne soient données les vraies raisons de son départ. Aujourd’hui, comment imaginer que le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi ne puisse pas être à l’origine de l’excommunication des époux Heizer ? L’intraitable cardinal Müller est le
gardien d’une orthodoxie désuète. Que l’on se souvienne de sa réitération de la doctrine de l’indissolubilité du mariage ou de sa lutte contre les religieuses américaines jugées trop féministes et trop indépendantes. Nous venons d’apprendre que le jésuite Michael Amaladoss, un des plus grands théologiens indiens, vient d’être réduit au silence par celui que certains appellent déjà le « panzerkardinal » ! Et nul ne peut douter qu’il agit de concert avec le pape François. Les prêtres et les évêques sont des serviteurs, selon la pensée officielle. Leur agir montre, le plus souvent, qu’ils tiennent à leur pouvoir et que, ceux et celles qui dans l’Eglise leur désobéissent, subissent leur coup de crosse. Et ils agissent avec grande
subtilité prétextant le respect d’une règle qui leur a été donnée par le Christ et feignant une compassion qui n’est que le masque de leur hypocrisie. François est bien dans la ligne de ses deux prédécesseurs. Le changement, ce n’est pas pour maintenant !
Bobestparti- C'est la Béatitude Éternelle du Ciel !
- Messages : 3757
Date d'inscription : 24/04/2010
Re: la présidente de "nous sommes église" excommuniee
@ Robert Adelaide :
pour cet article très pertinent !
Et bon débarras pour ce couple luciférien !
L'Administrateur
pour cet article très pertinent !
Et bon débarras pour ce couple luciférien !
L'Administrateur
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