BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?

Les cardinaux Cupich et McElroy promeuvent l'appel "urgent" du Synode pour une gouvernance féminine. Les cardinaux Robert McElroy et Blase Cupich, tous deux nommés personnellement au synode par le pape François, ont une fois de plus insisté sur le besoin "urgent" d'explorer le rôle des femmes dans la gouvernance et le leadership de l'Église.


31 octobre 2023

VATICAN CIY (LifeSiteNews) -- Les cardinaux Robert McElroy et Blase Cupich ont donné leur avis sur le processus du Synode sur la synodalité, disant qu'il est "impossible" pour l'Église de soutenir et mentionnant un besoin de "reconnaître officiellement" les femmes en tant que "pasteurs". Les deux cardinaux ont été nommés personnellement au synode par le pape François.

La réunion du Synode sur la synodalité d'octobre 2023 s'étant achevée samedi, les membres n'ont plus à pratiquer autant le secret autour des discussions qu'ils l'ont fait au cours des quatre dernières semaines.

Pas de retour en arrière possible

S'adressant au magazine jésuite America, M. Cupich a fait l'éloge de l'expérience "synodale" en particulier. "Le document n'est pas aussi important que l'expérience que nous avons vécue", a-t-il déclaré. "Je pense que le document essaie de transmettre cette expérience.

Il a souligné que le document de synthèse du synode - tel que rapporté par LifeSite ici - cherche à restructurer tous les futurs synodes " plutôt que de revenir à ce que nous faisions auparavant ".

M. Cupich a défendu les électeurs laïcs au synode, ce qui a suscité de nombreuses critiques sur le fait que le synode n'était pas un synode du point de vue canonique. Il a déclaré qu'il n'était pas "nécessaire de revenir en arrière. Nous avons fait de réels progrès et les évêques ont apprécié la présence des laïcs".

Ces thèmes ont été repris par le cardinal, ainsi que par le cardinal Robert McElroy de San Diego, dans une interview commune accordée au National Catholic Reporter (NCR). Citant le fait que les catholiques sont tous baptisés, M. Cupich a affirmé que le vote des laïcs était essentiel pour l'avenir de l'Église : "Nous avons tous de l'autorité et cela signifie que nous avons tous quelque chose à dire".

"Il me semble impossible de revenir en arrière", a convenu M. McElroy.

En effet, ces déclarations font écho aux thèmes du rapport de synthèse du synode, qui ouvre la voie à un mode permanent de fonctionnement "synodal" dans l'Église. En conséquence, lors de la présentation du rapport le 28 octobre, le rapporteur général, le cardinal Jean-Claude Hollerich, a donné une nouvelle indication sur le fait que le processus n'était pas susceptible de se terminer. "Le processus commence vraiment à la fin du processus", a-t-il déclaré.

Le rôle des femmes en tant que "pasteurs" ?

Dans le cadre des discussions synodales, l'accent a été mis sur le rôle des femmes dans l'Église. L'Instrumentum Laboris a appelé les participants au synode à examiner la question du diaconat féminin, citant le baptême commun comme preuve d'une dignité commune. Bien que le document de synthèse ne propose rien de concret sur la question, il appelle à la poursuite de la "recherche théologique et pastorale" sur le diaconat féminin et demande que les résultats des commissions de 2016 et 2020 sur le sujet soient présentés lors de la réunion d'octobre 2024.

Malgré cela, de nombreux appels ont été lancés dans le rapport synodal pour que davantage de femmes assument des rôles de gouvernance dans l'Église, un sujet jugé "urgent".

À ce propos, M. Cupich a déclaré à l'Amérique que "nous parlons ici d'un véritable changement de paradigme". L'objectif du synode était de traiter également "de la manière dont vous incluez les femmes dans les prises de décision importantes, comment vous les placez dans la vie de la communauté de sorte que leur leadership soit considéré, respecté et protégé."

Interrogé sur la possibilité de nouveaux rôles ou ministères pour les femmes, M. Cupich a déclaré à America :

Il pourrait y en avoir, mais je dirais, en parlant à certains évêques, qu'ils me disent déjà qu'ils ont des femmes qui servent "en tant que pasteurs", qui sont à la tête de communautés parce qu'ils n'ont pas assez de prêtres. Mais elles n'en ont pas le titre. Comment reconnaître officiellement cette situation, plutôt que de la considérer comme une sorte d'exception ?

Je pense qu'il faut se poser la question : Ces rôles des laïcs dans la vie de la communauté aujourd'hui sont-ils simplement une question de substitution temporaire en raison de la pénurie de prêtres ? Ou y a-t-il quelque chose dans leur baptême qui, en fait, leur permet de jouer ces rôles non seulement de manière temporaire, mais comme faisant réellement partie du ministère qui appartient à leur baptême ?

Mgr Cupich a ajouté que les objectifs du synode ne concernaient pas uniquement les femmes diacres, précisant qu'une question restait en suspens : "comment tirer parti de leurs dons et de leurs charismes ? C'est un programme qui n'est pas encore achevé".


Le cardinal McElroy a également salué l'accent mis par le document synodal sur la gouvernance féminine, déclarant que de tous les sujets abordés, c'était le "seul qui soit qualifié d'urgent".

Comme LifeSite l'a rapporté, les discussions synodales ont inclus des tentatives pour changer la compréhension du diaconat, ce que les deux cardinaux ont confirmé à NCR. Le synode a discuté de la question de savoir si le diaconat devait être "réimaginé", ont déclaré les cardinaux.

Le cardinal McElroy a déclaré qu'"il y avait un fort sentiment que [le diaconat] devrait se concentrer non pas sur les choses liturgiques, mais plutôt sur le service des pauvres et des marginalisés", et que cela soulevait la question du maintien du diaconat en général.

Le cardinal de San Diego s'est déjà prononcé en faveur de l'accès des femmes au diaconat. Reconnaissant cela, il a déclaré qu'avec de telles questions soulevées sur le rôle des diacres, "il pourrait y avoir une voie ici qui serait très prometteuse et qui, je pense, revigorerait à bien des égards importants le diaconat dans son ensemble et pourrait peut-être fournir une voie".

Pour sa part, Cupich a déclaré à NCR que le processus d'ordination d'un séminariste au diaconat avant la prêtrise devrait peut-être être réévalué. Il a cité les amendements de 2009 du pape Benoît XVI au droit canonique concernant (en partie) le rôle des diacres, comme étant à l'origine de l'appel à "réimaginer" le diaconat.

Le diaconat n'est pas une simple question théologique", a déclaré M. Cupich, "il est légitime de se demander si le diaconat n'est pas une question d'éthique. "Il est légitime de se demander, si c'est le cas, pourquoi nous ordonnons des candidats à la prêtrise au diaconat. C'est une question légitime à poser. Et si, si vous commencez par cela, alors peut-être pourrez-vous commencer à réimaginer ce qu'est le diaconat".

Alors que de tels arguments militants ont été et continueront d'être avancés dans le cadre du synode, l'Église catholique s'est clairement prononcée sur l'impossibilité d'ordonner des femmes diacres.

Dans sa lettre apostolique Ordinatio Sacerdotalis de 1994, le pape Jean-Paul II a écrit : "Je déclare que l'Église n'a aucune autorité pour conférer l'ordination sacerdotale à des femmes et que ce jugement doit être définitivement tenu par tous les fidèles de l'Église".

Puis en 2018, l'actuel préfet de la CDF, le cardinal Ladaria Ferrer S.J., a défendu l'enseignement de l'Ordinatio sacerdotalis comme portant la marque de l'"infaillibilité", Jean-Paul II ayant "confirmé formellement et rendu explicite, de manière à éliminer tout doute, ce que le Magistère ordinaire et universel a longtemps considéré au cours de l'histoire comme appartenant au dépôt de la foi."

SOURCE :

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Bergoglio veut abolir le célibat sacerdotal afin de créer le chaos qui mène à l’autodestruction de l’Église !

Bergoglio possède un plan astucieux pour éliminer progressivement le célibat afin de créer le chaos et d’achever la destruction de l'Église. Lors de sa toute première Journée Mondiale de la Jeunesse en 2013, il a exhorté toutes les personnes présentes : « Créez le chaos ! ». A bord de l'avion, il approuvait alors l'homosexualité en disant : « Qui suis-je pour juger (un homosexuel) ? ». Aujourd’hui, dix ans plus tard, nous constatons qu’il ne s’agissait pas d’une simple déclaration ponctuelle, mais que c’est par là qu’il a lancé son programme perturbateur au sein de l’Église. Le chaos qu’il crée délibérément est destiné à dissimuler les changements profonds qu’il apporte et envisage d’effectuer afin d’accomplir la transformation de l’Église catholique en une Anti-Église mondialiste du Nouvel Âge.

Qu’est-ce que le chaos ? Le chaos est l’anarchie, la confusion, où les appels à la justice et à la vérité restent lettre morte. Tout est sens dessus dessous et il n’y a pas de limites au crime et à la fraude. L’esprit du mensonge et de la mort, le diable, est le créateur du chaos. Dieu, en revanche, a établi son ordre qui nous protège. Bergoglio crée délibérément le chaos afin de tromper les catholiques et leur faire perdre de vue l’objectif, à savoir le salut de l’âme. Le chaos les amène à se préoccuper de questions insignifiantes, tandis que Bergoglio poursuit des changements graduels mais irréversibles, au détriment à la fois temporaire et éternel des âmes.

Malheureusement, nous devons admettre que même le Concile Vatican II a provoqué le chaos. Les autels ont été détournés du tabernacle, ou les tabernacles ont été déplacés vers la chapelle latérale. Ce chaos avait un but. L’esprit du néomodernisme a subtilement pénétré les disciplines théologiques. Les piliers les plus fondamentaux de la foi ont été remis en question : la mort rédemptrice du Christ sur la croix, Sa résurrection historique et réelle ainsi que l’inspiration divine de l’Écriture. En même temps, ce chaos a créé un espace de respect pour le paganisme et ses cultes. Les croyants ont adopté la fausse opinion publique selon laquelle le christianisme et le paganisme sont des voies de salut valables et ce, de façon égale.

Dans son entretien avec Messori en 1984, le Cardinal Ratzinger a déclaré qu’après Vatican II, la fascination pour ce qui était oriental a pris le dessus. La spiritualité chrétienne a cédé sa place au yoga ou à la méditation zen et à la diffusion d'une littérature pseudo-spirituelle. La vie spirituelle a cédé la place aux psychologies modernes, ce qui a conduit à l’effondrement des motivations de la vie religieuse. Les maisons religieuses féminines en ont le plus souffert. Les religieuses étaient enseignantes dans les écoles catholiques américaines. Avec la perte des vocations et le départ des religieuses, les écoles deviennent la propriété de l'État. Le Cardinal Ratzinger a souligné le désastre du Québec catholique au Canada, où le nombre de religieuses a rapidement diminué après le Concile, et où il n'y avait presque pas de nouvelles vocations.

Il devint de bon ton d'inviter des moines bouddhistes dans les monastères au nom d'un soi-disant renouveau de la spiritualité, qu'ils soient bénédictins, xavériens, jésuites... Cela conduisit à une anti-mission au sein de l'Église. Dans ce chaos, il était impossible de défendre la doctrine orthodoxe. Le soi-disant respect des autres religions, c'est-à-dire des cultes païens, ne permettait pas l'observance du Premier Commandement. Les hérésies du modernisme se répandaient, mais au lieu de défendre la foi, les prêtres devaient se préoccuper de la réforme de l'espace liturgique et de la liturgie. Dans ces conditions de confusion, insister sur le fait que Jésus est le seul Sauveur fut considéré comme une insulte proférée envers les autres religions. Le péché originel et personnel, le sacrifice rédempteur du Christ sur la croix, c’est-à-dire les vérités les plus essentielles, ont été mis de côté.

La mission fut remplacée par une anti-mission païenne. La spiritualité chrétienne céda la place au travail social. Cet esprit du monde et du paganisme ouvrit la porte à l'immoralité. La formalité remplaça la relation vivante avec Dieu. La moralité chrétienne, sans la motivation d’une foi vivante, devint un fardeau intolérable.

À travers le Synode sur la synodalité, Jorge Bergoglio perfectionne les conditions du chaos ultime, et l'abolition du célibat sacerdotal est l'un des moyens d'y parvenir. Pendant ce temps, Bergoglio réalisera sans aucune entrave son intention de transformer l’Église en une Anti-Église du Nouvel Âge. Cela a été précédé par son dévouement à Satan au Canada, ainsi que par l'intronisation du démon Pachamama au Vatican.

Un prêtre prie après le Notre Père pendant la messe : « Seigneur, nous prions… afin qu'avec l'aide de Ta miséricorde, nous soyons toujours libres du péché et à l'abri de toute détresse, en attendant la bienheureuse espérance et la venue de notre Sauveur, Jésus Christ ».

Bergoglio, cependant, veut que nous soyons tous des esclaves du péché. Il veut que nous soyons en danger au milieu de toute détresse. Il n'attend pas la venue de notre Sauveur, mais prépare le terrain pour un faux sauveur.

Quant au célibat, nous, évêques orientaux, pouvons à juste titre mettre en garde le sacerdoce occidental contre son annulation. D’un autre côté, nous connaissons également la question du célibat des prêtres dans l’Église occidentale. Un prêtre est exposé à une pression extraordinaire du monde. En outre, la préparation sacerdotale est insuffisante et le prêtre se sent le plus souvent abandonné au sein d’une paroisse. L’abolition du célibat n’est pas une solution à cette crise, et ce n’est en aucun cas la volonté de Dieu. Cela ne résoudrait pas la question d’une spiritualité sacerdotale, et ne conduirait pas non plus à un renouveau de l’Église.

La seule solution à cette situation est le retour aux principes spirituels sains, au rétablissement de l'ordre, qui protège les prêtres et les dispose à la vie spirituelle. Cependant, un prêtre ne peut pas s’en occuper seul. Il a besoin d'une communauté. Une solution pour chaque prêtre consiste à commencer une vie semi-religieuse. Un groupe de 4 à 7 prêtres se réunit chaque dimanche soir dans l'une des paroisses et passe 1 jour et demi à prier, à contempler la Parole de Dieu dans une communauté fraternelle et à célébrer l'Eucharistie. Ce sont les principes des premiers chrétiens (comp. Actes 2, 42).

Les prêtres se réunissent le dimanche soir et se séparent le mardi après-midi. Quant à la prière, il est souhaitable de passer 3 heures en prière communautaire et pendant la quatrième heure, à la suite de la lecture des textes liturgiques du dimanche, il faut prier avec la Parole de Dieu sur l'Écriture Sainte. Il est possible d'écrire les pensées qui vous viennent à l'esprit pendant la prière sur le texte correspondant. Une fois l’heure passée, chacun peut bénéficier du partage de tout ce que l’Esprit de Dieu a révélé aux autres. Le bénéfice spirituel sera également ressenti par les croyants lors de l'homélie dominicale.

Une condition essentielle pour renouveler les familles est ce qu'on appelle l'église à domicile, qui possède sa routine de prière. Elle repose sur les piliers d'une prière du soir régulière, de 20h00 à 21h00. Un programme de prière différent est préparé pour chaque jour. La partie de la routine de prière d’une église de maison est la sanctification du septième jour, lorsque la majeure partie du temps est consacrée à Dieu, à l’âme, à la famille et à la communion fraternelle. C’est ainsi que l’on peut construire une base solide pour un renouveau de l’Église.

Quel chaos et quelles conséquences catastrophiques entraînerait l’annulation du célibat ? En supprimant le célibat, Martin Luther a transformé les évêques et les prêtres en simples pasteurs. Jorge Bergoglio, cependant, transformerait les évêques et les prêtres en sodomites et adorateurs de Satan. Sortez, mon peuple, de la Babylone de Bergoglio ! (Apocalypse 18, 4).

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr        + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 24 octobre 2023

SOURCE : Reçu via un courriel du Patriarcat Catholique Byzantin.

Une note du Vatican aux évêques allemands affirme que le sacerdoce est réservé aux hommes et que les actes homosexuels sont un péché. Le document mentionne "l'ordination sacerdotale réservée aux hommes" comme une question qui ne peut être modifiée, citant l'Ordinatio Sacerdotalis de Jean-Paul II, qui déclare "que l'Église n'a aucune autorité pour conférer l'ordination sacerdotale aux femmes et que ce jugement doit être définitivement tenu par tous les fidèles de l'Église".


24 novembre 2023

(LifeSiteNews) - Le Vatican a adressé une lettre à la Conférence épiscopale allemande (DBK) dans laquelle il affirme l'enseignement traditionnel de l'Église sur les femmes prêtres et les actes homosexuels.

Le 24 novembre, le journal catholique allemand Le Tagespost publié une note rédigée par le Dicastère pour la Doctrine de la Foi (DDF) qui confirme la doctrine catholique sur le sacerdoce exclusivement masculin et le caractère pécheur des actes homosexuels.

Un journaliste de Le Tagespost a déclaré à LifeSiteNews que la note était une pièce jointe à une lettre envoyée par le secrétaire d'État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, adressée à la secrétaire générale de la DBK, la laïque Beate Gilles.

Selon le Die Tagespost, La note de trois pages est une proposition rédigée par le DDF, approuvée par de nombreux autres dicastères et destinée à servir de base aux réunions entre les évêques allemands et les représentants du Vatican prévues en 2024.

La note précise que "certaines [propositions de la Voie synodale] comportent des aspects qui ne peuvent être mis en discussion, mais aussi des aspects qui peuvent être discutés plus en profondeur".

Le document mentionne "l'ordination sacerdotale réservée aux hommes" comme l'une des questions qui ne peuvent être modifiées, citant la lettre apostolique de Jean-Paul II. Ordinatio Sacerdotalis qui affirme "que l'Église n'a aucune autorité pour conférer l'ordination sacerdotale aux femmes et que ce jugement doit être définitivement tenu par tous les fidèles de l'Église".

"Nous sommes confrontés à une décision contraignante, qui est également soumise à la juridiction du Pape, avec des conséquences disciplinaires précises...", affirment les auteurs de la note, soulignant que ceux qui tentent d'"ordonner" sacramentellement une femme encourent la peine de l'excommunication.

"Une autre question sur laquelle une église locale n'a pas la possibilité d'adopter un point de vue différent concerne les actes homosexuels", indique le document. "Même si l'on reconnaît que, d'un point de vue subjectif, il peut y avoir divers facteurs qui nous invitent à ne pas juger les gens, cela ne change en rien l'évaluation de la moralité objective de ces actes".

"L'enseignement constant de l'Église souligne que 'l'évaluation morale objective des relations sexuelles entre personnes du même sexe est établie de manière précise et certaine. Une autre question qui n'est pas discutée ici est celle du degré d'imputabilité morale subjective de ces relations dans chaque cas particulier. [NOTIFICATION concernant certains écrits de FR. MARCIANO VIDAL, C.Ss.R.]”

D'après à katholisch.de Le 25 octobre, la DBK a confirmé l'authenticité de la lettre du 25 octobre, qui est restée confidentielle pendant près d'un mois et qui pourrait avoir été divulguée par un dénonciateur.

Plus des deux tiers des évêques allemands ont approuvé des documents hérétiques au cours des assemblées synodales qui se sont tenues ces quatre dernières années. L'année dernière, 71% des évêques allemands a voté pour d'un texte qui disait, "La sexualité entre personnes de même sexe - qui se concrétise également par des actes sexuels - n'est donc pas un péché qui sépare de Dieu et ne doit pas être jugée comme intrinsèquement mauvaise."

Plus de 80% des évêques allemands a approuvé un texte appelant à une modification de la doctrine immuable de l'Église sur les ordinations féminines.

Confusion causée par le pape François sur les ordinations féminines et l'homosexualité

Alors que la note rédigée par le DDF confirme l'enseignement de l'Église sur deux questions clés que la Voie synodale hérétique cherche à remettre en question, le pape François lui-même a provoqué une confusion massive sur ces questions. Il a pris des mesures apparemment contradictoires au cours des dernières années.

En octobre, François a confirmé l'enseignement catholique concernant les femmes diacres, en déclarant dans une longue interview que "les ordres sacrés sont réservés aux hommes".

Cependant, dans le passé, François a ouvert la porte à la confusion sur cette question en établissant deux commissions chargées d'examiner la question des femmes diacres. La première était une commission de 12 membres dans le but d'étudier la question des femmes diacres en août 2016 ; la commission comprenait un éminent défenseur des droits de l'homme, pour ordonner des femmes diacres et le cardinal Luis Ladaria Ferrer comme président. La seconde a été mise en place en 2020 à la lumière du Synode des Amazones de 2019. Les rapports de ces deux commissions n'ont pas encore été publiés.

En outre, le document final du Synode des évêques, qui s'est tenu en octobre, était ambiguë sur la question des femmes diacres. Il semble laisser la porte ouverte à d'autres discussions sur le sujet.

Entre-temps, le pape a également envoyé des signaux contradictoires concernant la moralité des actes homosexuels. En réponse aux dubia aux questions posées par cinq cardinaux concernant les "bénédictions" d'unions homosexuelles, François a donné une réponse ambiguë qui semblait donner au clergé le pouvoir d'accepter ou de refuser de "bénir" des unions homosexuelles en se fondant sur la "prudence pastorale".

Les Archevêques de Berlin et l'Évêque de Spire ont introduit des "bénédictions" pour les unions homosexuelles dans leur diocèse, en citant les paroles du pape François comme justification. En outre, l'évêque belge Johan Bonny a publiquement réclamé que le pape François approuve les projets des évêques belges de "bénir" les couples de même sexe. Le pontife romain n'a réprimandé aucun de ces trois évêques.

François a constamment promu des évêques et des prêtres pro-LGBT qui sapent l'enseignement de l'Église sur la sexualité, comme l'infâme Père James Martin.

Il a souvent occupé des postes de réunions publiques avec des groupes pro-LGBT "catholique" qui rejettent ouvertement la doctrine de l'Église sur l'homosexualité, comme le "Réseau mondial des catholiques arc-en-ciel". Non seulement François n'a pas réprimandé ces groupes, mais il les a même encouragés à poursuivre leur travail et les a remerciés pour leur "ministère".

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Le pape François institue à nouveau des femmes « lecteurs » au Vatican, poursuivant ainsi la « rupture avec la tradition catholique ». Le liturgiste Dr. Kwasniewski a écrit que la modification du droit canonique par le pape François pour autoriser les femmes à être lecteurs "commet une double erreur catégorique en confondant la dignité des baptisés avec la dignité du ministère liturgique actif".


par Michael Haynes

21 janvier 2024

VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) - Le pape François a institué dimanche au Vatican des hommes et des femmes dans les ministères de lecteur et de catéchiste, poursuivant ainsi la pratique qu'il avait entamée à la suite des changements apportés au droit canonique en 2021, qui ont été décrits comme poursuivant "le modèle de rupture avec la tradition catholique".

Le 21 janvier, le pape François a institué deux femmes comme lectrices, ainsi que sept femmes et deux hommes comme catéchistes. Ces personnes viennent de pays tels que la Jamaïque, le Brésil, la Corée, le Tchad, Trinité-et-Tobago, la Bolivie et l'Allemagne.

"En devenant lecteurs, c'est-à-dire annonceurs de la parole de Dieu, vous êtes appelés à collaborer à cet engagement primordial dans l'Église et vous serez donc investis d'une fonction particulière, qui vous met au service de la foi, qui a sa racine et son fondement dans la parole de Dieu", a déclaré François aux lecteurs au cours de la cérémonie d'exhortation.

"Vous proclamerez la parole de Dieu dans l'assemblée liturgique", a poursuivi François. "Vous éduquerez les enfants et les adultes dans la foi et vous les guiderez pour qu'ils reçoivent dignement les sacrements ; vous porterez l'annonce missionnaire de l'Évangile du salut aux hommes qui ne le connaissent pas encore."


La cérémonie s'est déroulée le dimanche de la Parole de Dieu, désignation que le Pape a donnée à ce dimanche particulier de l'Église catholique. Novus Ordo en 2019.

"Frères et sœurs, que le dimanche de la Parole de Dieu nous aide à revenir avec joie aux sources de notre foi, qui naît de l'écoute de Jésus, Parole vivante de Dieu", a déclaré François au cours de son homélie. "Qu'il nous aide, nous qui sommes assaillis de paroles sur l'Église, à redécouvrir la parole de vie qui résonne dans l'Église.

L'institution des femmes en tant que lectrices et acolytes est une nouveauté moderne résultant des changements apportés au droit canonique de l'Église par le pape François en 2021, comme indiqué dans son motu proprio Spiritus Domini. Un motu proprio ultérieur, plus tard la même année - Antiquum ministerium - prévoyait l'institution formelle de femmes en tant que catéchistes, ce qui a donné lieu à l'adoption d'une loi sur l'égalité entre les hommes et les femmes. première institution de femmes dans les rôles en 2022.

Si la pratique des femmes jouant un rôle public dans la liturgie est répandue depuis de nombreuses années au sein de l'Église catholique, elle n'en est pas moins importante. Novus OrdoFrancis' 2021 motu proprios a formalisé la pratique et ouvre officiellement aux femmes des rôles autrefois réservés aux hommes.

Cette décision a également alimenté les spéculations sur la possibilité d'avoir à l'avenir des femmes diacres, ce que l'Église catholique considère comme impossible, mais qui n'empêche pas les militants, tant clercs que laïcs, de réclamer constamment des femmes diacres.

La démarche du Pape a été accueillie et défendue par le Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, qui a déclaré que François s'appuyait sur une "pratique bien établie dans l'Église", qui avait "confirmé que les ministères laïcs, fondés sur le sacrement du baptême, peuvent être confiés à tous les fidèles aptes, hommes ou femmes, selon ce qui est déjà implicitement indiqué par le canon 230 du Code de droit canonique, que le pape a modifié pour l'occasion".


En 2021, François a écrit au cardinal Luis Ladaria Ferrer, alors préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF). expliqué que Spiritus Domini s'inscrivait dans la ligne de pensée de Vatican II et du controversé Synode sur l'Amazonie de 2019 : "dans l'horizon de renouveau tracé par le Concile Vatican II, on ressent toujours plus aujourd'hui l'urgence de redécouvrir la coresponsabilité de tous les baptisés dans l'Église, et en particulier la mission des laïcs."

Tout en admettant l'impossibilité de l'ordination des femmes, François a déclaré que l'admission des femmes "pour les ministères non ordonnés est possible, et aujourd'hui il semble opportun de dépasser cette réserve".

"Cette réserve, a-t-il dit, avait son sens dans un contexte spécifique mais peut être reconsidérée dans de nouveaux contextes, en ayant toujours comme critère la fidélité au mandat du Christ et la volonté de vivre et d'annoncer l'Évangile transmis par les Apôtres et confié à l'Église afin qu'il soit religieusement écouté, pieusement sauvegardé, fidèlement proclamé".

François a également mis l'accent sur des thèmes qui ont plus récemment refait surface dans le cadre du Synode sur la synodalité, tout en affirmant que "le choix de conférer également aux femmes ces charges, qui impliquent stabilité, reconnaissance publique et mandat de la part de l'évêque, rend plus efficace dans l'Église la participation de tous à l'œuvre d'évangélisation".

Rédaction peu de temps après la publication de Spiritus Domini Peter Kwasniewski, liturgiste et théologien, a averti que la modification du droit canonique par le pape pour pousser les femmes dans les ministères liturgiques "s'inscrit parfaitement dans ce schéma plus large de rupture avec la tradition catholique".

Dans son réponse sous forme de livre En ce qui concerne le rôle des femmes et l'enseignement catholique traditionnel réservant les ministères liturgiques aux seuls hommes, M. Kwasniewski a déclaré que les changements apportés par le pape en 2021 - en particulier en ce qui concerne l'institution de femmes comme lecteurs et acolytes - représentent "un changement tectonique à la fois dans la théologie et dans la pratique".

Alors que François s'est largement inspiré des textes du pape Paul VI et de Vatican II, M. Kwasniewski a écrit que les innovations étaient contraires à l'Écriture :

Le service liturgique des femmes dans la liturgie eucharistique, en tant que lectrices, acolytes et servantes de l'autel, a été totalement exclu du raisonnement théologique de l'ensemble des traditions de l'Ancien et du Nouveau Testament et de la tradition bimillénaire orientale et occidentale de l'Église.

Il a accusé ce changement d'aller à l'encontre de l'unité de l'Église, avertissant qu'il introduisait implicitement une catégorie de "citoyens de seconde zone" parmi les fidèles :

Le motu proprio Spiritus Domini commet donc une double erreur catégorique en confondant la dignité des baptisés avec la dignité du ministère liturgique actif. D'une part, elle implique que seuls les baptisés qui assument les ministères institués accomplissent pleinement leur vocation laïque propre : ils deviennent clercs, dans la mesure du possible, afin d'être pleinement laïcs.

D'autre part, cela implique que les laïcs qui choisissent simplement de recevoir les dons de la grâce fournis par la liturgie - d'être, en d'autres termes, comme la Vierge Marie - sont des citoyens de seconde zone dans l'Église, des hommes et des femmes qui n'ont pas embrassé leur vocation à être "engagés", à "exercer" leurs droits, à "participer" à un rôle de leadership.

Le liturgiste a suggéré que Spiritus Domini et la modification du droit canonique qui l'accompagne "n'ont de sens que dans le contexte d'une liturgie qui a perdu son caractère de tradition". raison d'être et s'efforce d'être quelque chose pour tout le monde".

En effet, alors que François affirmait que ses modifications du droit canonique contribueraient au rôle universel d'évangélisation, Kwasniewski a attesté que les laïcs étaient encouragés à assumer des rôles qui ne leur étaient pas propres :

Malgré le discours du pape François sur la "coresponsabilité" des fidèles ordonnés et laïcs, nous pouvons dire que la véritable responsabilité des laïcs n'est pas d'assumer des tâches... à l'intérieur l'église mais en s'attaquant au monde à l'extérieur l'église. Inversement, les prêtres ne devraient normalement pas s'investir de manière significative dans les affaires séculières, même si elles sont très intéressantes.

Le modèle horizontal de la prêtrise - populaire après le Concile Vatican II - conduit à la pire forme de cléricalisme, dans lequel le clergé doit se mêler de tout (y compris de ce qui est plus approprié aux laïcs) et dans lequel les laïcs, à leur tour, se sentent obligés d'imiter le clergé et d'assumer des fonctions quasi-cléricales pour avoir de la valeur ou pour contribuer à la vie de la paroisse.

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Jeudi 30 novembre, le pseudo-pape a reçu les membres de la Commission théologique internationale. Il a délibérément souligné qu'il n'aimait pas le fait qu'il n'y ait que cinq femmes parmi eux, ajoutant : « Les femmes ont une capacité différente de réflexion théologique... ».

Bergoglio a délibérément poussé la féminisation pernicieuse à des postes clés au sein de l’Église, même si elle a déjà porté des fruits désastreux pour la société et pour les femmes et les familles elles-mêmes dans le monde entier.

Citation de Bergoglio : « L’Église est femme. Et si nous ne savons pas ce qu’est une femme, quelle est la théologie d’une femme, nous ne comprendrons jamais ce qu’est l’Église ».

Bergoglio en tant que faux prophète (Ap 16) présente un nouveau paradigme pour l'Église. Il dit : « nous ne comprendrons jamais ce qu’est l’Église si nous ne savons pas ce qu’est une femme ». Mais alors, ni les Apôtres, ni les Prophètes, ni les Docteurs de l’Église n’ont compris ce qu’est l’Église. C'est seulement maintenant que Bergoglio a compris la théologie de la femme, celle qui est assise sur une bête (Ap 17), et a ainsi compris l'anti-Église, la synagogue de Satan. Il montre une nouvelle voie synodale vers cet objectif, avec son dévouement sans précédent à Satan au Canada (2022), sa promotion de l’anti-évangile sodomite et son intronisation de la femme Pachamama dans la basilique Saint-Pierre. La théologie de cette femme, que Bergoglio a comprise, constitue une apostasie totale et manifeste du Christ. Bergoglio devrait savoir que l’Église est le Corps mystique du Christ, et non une femme.

Bergoglio a un objectif clair : transformer l’Église en une synagogue de Satan. C’est là l’essence du faux mysticisme de Bergoglio, couplé à sa pseudo-révélation de la théologie de la femme. La Bible dit d'elle : « Cette femme était vêtue de pourpre… Elle tenait à la main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. … Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus » (Apocalypse 17, 3-6).

Citation de Bergoglio : « L’un des grands péchés que nous avons commis est de « masculiniser » l’Église. Et cela n’est pas résolu par la voie ministérielle ; c'est autre chose. Le problème est résolu de manière mystique, de manière royale ».
Le faux prophète Bergoglio est en train d’inventer de nouveaux grands péchés, notamment la masculinisation de l’Église. Mais il ne considère pas le péché scandaleux de la sodomie comme étant un péché, et préconise même de bénir les unions pécheresses des sodomites. Il dit que le soi-disant péché de masculinisation de l’Église sera résolu de manière mystique. En fait, cette voie synodale mystique LGBTQ constitue une perte de raison et un déni des lois et commandements de Dieu. La voie prétendument royale de Bergoglio mène à la damnation éternelle. L'Évangile met en garde contre cela (Mt 7, 13).

Citation de Bergoglio : « La pensée de Balthasar m’a apporté tant de lumière : le principe pétrinien et le principe marial ».
Que signifient le principe pétrinien et le principe marial dans la pensée hérétique de Bergoglio ? A-t-il déjà la vision qu'à l'avenir le siège pétrinien sera occupé par une femme ? Le véritable principe marial est diamétralement opposé à la féminisation et à la propagande LGBTQ de Bergoglio. La Mère de Jésus se considère comme une esclave du Seigneur (he doule Kyriou) et est un modèle que toute femme chrétienne doit suivre dans l’humilité, dans le respect des commandements de Dieu et dans une vraie piété. Les féministes, lesbiennes et transsexuelles contemporaines promues et privilégiées par Bergoglio n’ont rien à voir avec le principe marial d’obéissance à Dieu et à Ses commandements.

L’Apôtre dit : « Que la femme écoute l'instruction en silence, avec une entière soumission... Je ne permets pas à la femme d'enseigner, ni de prendre de l'autorité sur l'homme; mais elle doit demeurer dans le silence... Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite ; et ce n'est pas Adam qui a été séduit, c'est la femme qui, séduite, s'est rendue coupable de transgression » (1Ti 2, 11-14). «Toutefois, de même que le serpent séduisit Eve par sa ruse, je crains que vos pensées ne se corrompent » (2Co 11, 3).

Citation de Bergoglio : « … mais les deux principes sont là. L’Église mariale est plus importante que l’Eglise pétrinienne, car il y a l’Église épouse, l’Église femme, sans être masculine ».

Le prophète Esaïe évaluerait les déclarations pseudo-mystiques de Bergoglio en disant : « Un charabia insensé, un babillage insensé, une syllabe ici, une syllabe là » (Ésaïe 28, 10). Bergoglio aime créer un tel chaos. Au milieu de ce chaos, il utilise alors la manipulation psychologique afin de réaliser ce qu'il veut, aujourd'hui l'ordination des femmes. Son objectif consiste à provoquer une perturbation interne de l’Église.

Bergoglio fait ces déclarations stupides après avoir déjà publié son motu proprio « Ad theologiam promovendam », dans lequel il a clairement indiqué que sa principale préoccupation était un changement de paradigme. À la fin de ce motu proprio, Bergoglio écrit : « Tout ce que j'ai décrété dans cette Lettre apostolique donnée par le biais d’un motu proprio, j'ordonne que cela ait une force stable et durable, malgré toute disposition contraire ».

Par cette déclaration, il détruit pratiquement tous les enseignements antérieurs de l'Église basés sur l'Évangile et la Tradition.

Finalement, le pseudo-pape a conclu son discours impromptu en disant : « Et vous me demanderez : où mène cette discussion ? Rendre l’Église moins masculine ».

Bergoglio a répondu lui-même à cette question. Il s’agit de promouvoir les féministes, les lesbiennes et les transsexuelles à des postes clés au sein de l’Église.

Jésus a confié la fonction pastorale à ses douze apôtres, et non aux femmes. De la même manière, il a nommé Pierre, un homme et non une femme, à la tête de l’Église. Bergoglio veut imposer dans son anti-église la règle de la prostituée de l’Apocalypse (Ap 17). Il utilise trois moyens principaux pour transformer l’Église catholique en une synagogue de Satan dotée de l’esprit de l’Antéchrist :

Le premier est l’abolition de la structure hiérarchique de l’Église.

Bergoglio cherche à abolir l'autorité épiscopale en introduisant des conseils dits synodaux (pastoraux), auxquels est attribuée la plus haute compétence, comme nous le voyons déjà en Allemagne. Le pouvoir, au sein de l’Église, est principalement détenu par les sodomites, les lesbiennes, les transsexuels, etc. Ils emploieront des termes et des expressions religieuses et forceront chaque prêtre, ainsi que le tout dernier croyant, à transformer l’enseignement du salut du Christ en ce qu’on appelle le parcours synodal doté d’anti-lois et de l’esprit de l’antéchrist. C'est le chemin qui mène à la destruction éternelle.

Mais la plus grande tragédie n’est pas Bergoglio et son programme de suicide de l’Église, mais plutôt que les évêques et les prêtres ne parviennent pas à se séparer de cet hérétique archaïque et ne cessent pas de mentionner son nom au cours de la liturgie ! Ils répètent aveuglément, tel un mantra : nous ne pouvons pas briser l’unité car nous ressemblerions à des schismatiques. Il s’agit d’une trahison du Christ et de l’Église conduisant à l’autodestruction de la fonction pétrinienne. En fait, aujourd’hui, l’Église n’a pas de pape ; elle est en état de sede vacante, parce qu'une personne qui s'est exclue de l'Église ne peut en être le chef. C'est l'enseignement de saint Bellarmin et des autres docteurs et pères de l'Église.

Le deuxième moyen est la légalisation de la sodomie associée à la bénédiction des unions sodomites. C’est de l’apostasie et une rébellion publique contre Dieu !

Le troisième moyen est l'ordination des femmes. Cela met fin au sacrement du sacerdoce et à la sainte liturgie.

Bergoglio ne reculera pas ; effrontément et par étapes, il incorpore ses hérésies dans l'Église tout entière. Il utilise l'astuce dont parle le cardinal Müller. Il met en pratique les hérésies et fait hypocritement appel à la pastorale. Il ne répond pas aux objections sérieuses. Une fois que les hérésies sont implantées et que rien ne peut être fait, il publie un document hérétique contraignant pour toute l'Église. Cette rébellion criminelle contre Dieu doit alors être acceptée par tous en une fausse obéissance. Bergoglio peut commettre ces fraudes parce que les évêques ne remplissent pas leur devoir fondamental, qui est d'assumer la coresponsabilité de toute l'Église. Ils négligent de défendre les enseignements du Christ contre les hérétiques. Aujourd’hui, la réponse adéquate est de se séparer, leurs diocèses et eux-mêmes, du parcours synodal hérétique LGBTQ.

Les instructions pour la renaissance de l’Église catholique sont simples :

1) L'évêque et son diocèse se séparent de l'archi-hérétique Bergoglio et de sa secte. Ceci constitue le devoir sacré de l’évêque.
2) Les prêtres établissent un système de discipulat. Ils devraient consacrer un jour et demi chaque semaine à la prière, à la parole de Dieu et à la communion fraternelle en groupes de quatre à sept prêtres. Après un certain temps, ils choisissent 4 à 7 hommes dans leur paroisse avec lesquels ils prieront deux heures, une fois par semaine. Pendant environ une heure, ils devraient partager avec eux leur expérience actuelle du combat spirituel. Ces disciples seront les piliers de la paroisse et gagneront d’autres disciples.

Il s’agit de la voie menant à la renaissance interne et externe de l'Église.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques Secrétaires

Le 18 décembre 2023

SOURCE : Reçu via un courriel du Patriarcat Catholique Byzantin.

Une « évêque » anglicane s’adresse au pape François et à ses cardinaux conseillers sur le « rôle des femmes dans l’Église »…. Le diacre Nick Donnelly a écrit que les catholiques « ne pouvaient pas avoir un signal plus fort que Bergoglio planifie la fausse ordination des femmes diacres, avec une trajectoire vers la fausse ordination des femmes prêtres et évêques ». Les catholiques "ne pourraient avoir un signal plus fort que Bergoglio planifie la fausse ordination de femmes diacres, avec une trajectoire vers la fausse ordination de femmes prêtres et évêques", a écrit le diacre Nick Donnelly.


par Michael Haynes

6 février 2024

VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) - Une femme prélat anglicane a prononcé un discours devant le pape François et son Conseil des cardinaux lundi, dans le cadre des discussions du groupe sur le "rôle des femmes dans l'Église".

Le 5 février, le Vatican a libéré des images et de rares détails sur la réunion du Conseil des cardinaux qui se tient actuellement au Vatican, révélant que trois femmes se sont adressées au groupe au cours de leurs discussions.

Selon les informations fournies par Vatican News, le "Révérend Dr Jo Bailey Wells, évêque de l'Église d'Angleterre et secrétaire général adjoint de la Communion anglicane" était l'une des trois femmes qui ont pris la parole lors de la réunion.

Sœur Linda Pocher, fille de Marie Auxiliatrice et professeur de christologie et de mariologie à la Faculté pontificale des sciences de l'éducation Auxilium de Rome, et Giuliva Di Berardino, femme consacrée de l'Ordo Virginum du diocèse de Vérone, enseignante et responsable de cours de spiritualité et d'exercices spirituels, se sont jointes à M. Wells pour s'adresser au groupe.


Le C9 - c'est le nom du groupe - poursuit l'examen du "rôle des femmes dans l'Église", un sujet dont il a commencé à discuter en décembre 2023. Le moment choisi pour ces discussions est significatif, étant donné que la Conférence de 2023 sur le rôle des femmes dans l'Église est en cours. Synode sur la synodalité - rapport intermédiaire a lancé un appel "urgent" pour que le droit canonique soit modifié afin de permettre aux femmes de jouer un rôle plus important dans la gestion des affaires publiques.

Ces thèmes du Synode ont émergé sous la forme d'appels à des femmes diacres, un sujet qui rend la présentation de Wells au pape et à son groupe C9 encore plus significative. Bien qu'aucune information précise n'ait été donnée sur la nature de son intervention, toute la carrière de Mme Wells dans l'Église anglicane a été marquée par sa position au premier plan dans la mise en œuvre des ordres féminins.

Qualifiée de "pionnière dans la diffusion de l'égalité entre les sexes", Mme Wells a commencé sa formation théologique au Corpus Christi College de l'université de Cambridge avant même que l'Église anglicane n'ait voté l'autorisation de nommer des femmes prêtres.

Wells a été nommé diacre anglican en 1995 et prêtre en 1996, quatre ans seulement après l'arrivée des femmes prêtres et seulement deux ans après l'ordination de la première femme. Après que les femmes "évêques" ont été autorisées en 2014 et créées pour la première fois en 2015, Wells a été nommée évêque de Dorking.

Elle a décrit son désir d'avoir des femmes prêtres comme n'étant pas "tant une question féministe qu'une question d'interprétation biblique - sur laquelle, il me semble, il y a de la place pour des divergences".

Comme indiqué dans un rapport de 2017 entretien qu'elle a donné à son alma mater, après son ordination Wells :  est devenue la première femme doyenne au Royaume-Uni, au Clare College. En 2013, elle est devenue aumônier de l'archevêque de Canterbury, la première femme à occuper cette fonction. Et lorsque l'année dernière [2016] elle a été consacrée évêque suffragant de Dorking - sous la direction de l'évêque de Guildford, Andrew Watson, un autre ancien élève de Corpus (m1979) - elle est devenue seulement la dixième femme dans l'histoire de l'Église dans l'épiscopat, et la première de notre Collège.

Wells est maintenant une figure clé dans la sphère œcuménique en tant qu'évêque pour le ministère épiscopal dans la Communion anglicane et, en tant que tel, a interagi étroitement avec le Saint-Siège sur un certain nombre d'événements interreligieux, tels que le Congrès des dirigeants du Kazakhstan.

Commentaire sur sa présence devant le pape et le C9, le diacre Nick Donnelly a écrit que les catholiques "ne pouvaient pas avoir un signal plus fort que Bergoglio planifie la fausse ordination des femmes diacres, avec une trajectoire vers la fausse ordination des femmes prêtres et évêques".

Comme l'a fait remarquer Mme Wells elle-même, le passage des femmes prêtres aux femmes évêques dans l'Église d'Angleterre n'était qu'une "question de temps".

"Je pensais que nous devions attendre notre heure pour avoir suffisamment de femmes prêtres ayant l'expérience adéquate pour être perçues comme offrant un leadership. Ensuite, cela devient du bon sens, cela devient une évidence aveuglante parce que le leadership est entravé sans elles", a-t-elle déclaré en 2017.

Des inquiétudes similaires ont été exprimées par des catholiques - clercs et laïcs - à propos des projets du Synode sur la synodalité et de son appel en faveur d'une gouvernance féminine accrue. En effet, la campagne en faveur des femmes diacres continue Le cardinal Blase Cupich a ainsi plaidé en faveur de la reconnaissance des femmes "pasteurs" qui sont déjà "à la tête de communautés parce qu'elles n'ont pas assez de prêtres".

Le pape François a créé une commission de 12 membres d'étudier la question des femmes diacres en août 2016, et la commission comprenait un éminent défenseur des droits de l'homme. L'Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution sur les droits de l'homme, avec l'ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF), le cardinal Luis Ladaria, s.j., et a adopté une résolution sur les droits de l'homme. Avec une autre commission élaborée en 2020, le rapport du Synode de 2023 demandait que les résultats des deux études soient présentés lors des réunions du Synode d'octobre 2024.

Le pape Jean-Paul II, dans sa lettre apostolique de 1994 Ordinatio Sacerdotalis Il a condamné l'ordination des femmes en écrivant : "Je déclare que l'Église n'a aucune autorité pour conférer l'ordination sacerdotale à des femmes et que ce jugement doit être définitivement tenu par tous les fidèles de l'Église".

Le pape polonais a également cité la lettre de 1975 du pape Paul VI à l'archevêque anglican de Canterbury, dans laquelle le pape écrivait que "l'exclusion des femmes de la prêtrise est conforme au plan de Dieu pour son Église".

L'ancien préfet de la CDF, le cardinal Gerhard Müller, a expliqué cette lettre, renvoie au diaconat également.

"Il ne fait cependant aucun doute que cette décision définitive du pape Jean-Paul II est bien un dogme de la foi de l'Église catholique et que c'était déjà le cas avant que ce pape ne définisse cette vérité contenue dans l'Apocalypse en 1994", a déclaré le cardinal Müller au Dr Maike Hickson de LifeSite.  

Il a également noté que "l'impossibilité pour une femme de recevoir validement le sacrement de l'ordre dans chacun des trois degrés [diacre, prêtre, évêque] est une vérité contenue dans la Révélation et elle est donc infailliblement confirmée par le Magistère de l'Église et présentée comme devant être crue".

SOURCE :

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Bergoglio a l'intention de modifier fondamentalement le concept des ordres sacrés, en plaçant à côté du sacerdoce (réservé aux hommes) des formes de ministère "non ordonné" pour les femmes, en vue de leur ordination sacramentelle", a déclaré l'archevêque Viganó.


par Emily Mangiaracina

8 Février 2024

(LifeSiteNews) - L'archevêque Carlo Maria Viganò a déclaré que l'invitation du pape François à une femme prélat anglicane pour parler au Conseil des cardinaux de "l'égalité des sexes et du rôle des femmes dans l'Église" indique son intention d'éventuellement "ordonner" des femmes.

Dans un message posté sur X mardi, l'archevêque Viganò a écrit, "Bergoglio a l'intention de changer fondamentalement le concept des ordres sacrés, en plaçant à côté du sacerdoce (réservé aux hommes) des formes de ministère 'non ordonné' pour les femmes, en vue de leur ordination sacramentelle"

Le dénonciateur du Vatican a anticipé l'objection selon laquelle François "ne veut pas faire des femmes diacres ou prêtres, et encore moins des femmes évêques, et qu'il s'agit là de spéculations émises par ceux qui sèment la division parmi les fidèles".

"Si c'est le cas, pourquoi Bergoglio a-t-il invité une 'évêque' anglicane, c'est-à-dire une femme hérétique, schismatique et non validement ordonnée, à la réunion du Conseil des cardinaux pour parler de 'l'égalité des sexes et du rôle des femmes dans l'Église' ? a-t-il demandé.

L'évaluation de l'archevêque est partagée par Le diacre Nick Donnelly, qui a écrit concernant Jo Bailey Wells devant le pape et le C9 que les catholiques "ne pouvaient pas avoir un signal plus fort que Bergoglio planifie la fausse ordination des femmes diacres, avec une trajectoire vers la fausse ordination des femmes prêtres et évêques".

Mgr Wells, un "évêque" de l'Église d'Angleterre qui a été décrit comme "un pionnier dans la propagation de l'égalité entre les sexes", a prononcé un discours devant le pape François et son Conseil des cardinaux lundi.

Le C9 - c'est le nom du groupe - poursuit l'examen du "rôle des femmes dans l'Église", un sujet dont il a commencé à discuter en décembre 2023. Le moment choisi pour ces discussions est significatif, étant donné que la Conférence de 2023 sur le rôle des femmes dans l'Église est en cours. Synode sur la synodalité - rapport intermédiaire a lancé un appel "urgent" pour que le droit canonique soit modifié afin de permettre aux femmes de jouer un rôle plus important dans la gestion des affaires publiques.

Un membre laïc votant du Synode sur la synodalité a partagé l'année dernière, qu'"un grand nombre d'évêques" sont maintenant "prêts à faire des pas clairs" vers l'"ordination" des femmes via une discussion sur les "femmes diacres".

Helena Jeppesen-Spuhler, membre de la délégation suisse à l'Assemblée européenne du Synode, a précisé que si elle ne pensait pas que des "femmes prêtres" étaient désormais possibles, elle considérait que la possibilité d'une "ordination" des femmes au diaconat était à l'ordre du jour.

"Il y a maintenant un grand nombre d'évêques qui sont prêts à prendre des mesures claires", a déclaré M. Jeppesen. "Le sacerdoce des femmes ne sera pas introduit immédiatement, mais le diaconat des femmes devrait être sérieusement discuté lors de l'assemblée de Rome.

En ce qui concerne le "rôle des femmes" dans l'Église catholique en général, M. Jeppesen a déclaré qu'"il est apparu clairement dans pratiquement tous les rapports nationaux que l'Église doit enfin aller de l'avant".

Des catholiques, tant clercs que laïcs, se sont inquiétés du fait que l'appel du Synode sur la synodalité en faveur d'une gouvernance féminine accrue pourrait signaler l'intention de la hiérarchie de l'Église d'"ordonner" des femmes. En effet, la campagne en faveur des femmes "diacres" continue Le cardinal Blase Cupich a ainsi plaidé en faveur de la reconnaissance des femmes "pasteurs" qui sont déjà "à la tête de communautés parce qu'elles n'ont pas assez de prêtres".

Le pape François a créé une commission de 12 membres d'étudier la question des "femmes diacres" en août 2016, et la commission comprenait un éminent défenseur des droits de l'homme. "l'ordination de femmes au diaconat. Avec une autre commission élaborée en 2020, le rapport du Synode de 2023 demandait que les résultats des deux études soient présentés lors des réunions du Synode d'octobre 2024.

Le théologien et spécialiste de la liturgie Peter Kwasniewski a expliqué dans son livre Ministres du Christ que non seulement les "femmes prêtres" mais aussi les "femmes diacres" sont impossibles parce que "tous les services liturgiques dans le sanctuaire de l'église représentent le Christ, le 'diacre' suprême".

M. Kwasniewski a souligné que les ordres mineurs, y compris le diaconat, ne peuvent être séparés du sacerdoce, mais qu'ils "orientent progressivement l'âme du clerc mineur vers la réception éventuelle du sacerdoce sacré lui-même, en le préparant non seulement au niveau naturel par l'accomplissement des devoirs sacrés, mais aussi au niveau surnaturel par l'attribution spirituelle des pouvoirs sacerdotaux".

Alors qu'au Ciel, il existe une hiérarchie purement "sainte", sur terre, "...nous devons marcher à la vue de signes Il serait non seulement trompeur mais faux de mettre en place, dans l'Église sur terre, des signes de gouvernance ecclésiale [...] sans référence explicite à l'Homme-Dieu", a expliqué M. Kwasniewski.

Le pape Jean-Paul II a affirmé cette vérité lorsqu'il a condamné les tentatives d'"ordination" des femmes dans sa lettre apostolique de 1994 Ordinatio Sacerdotalis et écrit : "Je déclare que l'Église n'a aucune autorité pour conférer l'ordination sacerdotale aux femmes et que ce jugement doit être définitivement tenu par tous les fidèles de l'Église.

L'ancien préfet de la CDF, le cardinal Gerhard Müller, a expliqué cette lettre, renvoie au diaconat également, et exprime un "dogme" de la foi catholique.

Il a également noté que "l'impossibilité pour une femme de recevoir validement le sacrement de l'ordre dans chacun des trois degrés [diacre, prêtre, évêque] est une vérité contenue dans la Révélation et elle est donc infailliblement confirmée par le Magistère de l'Église et présentée comme devant être crue".

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