BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
+26
Solstice
Bois de Croix
ToutPourJésus
AnneLéa
René-1
grenouille-de-bénitier
JEREMIE
Ginou Saliba
anas
stjeanlagneau
Bobestparti
Admin
sylvia
sycier
fabienne
Enihparés
Violaine
1976Nomis
Octavio.Rosario
Gilles
Marlène
Octo
BENEDICTE
Anonymus
AeLux
pax et bonum
30 participants
Page 26 sur 29
Page 26 sur 29 • 1 ... 14 ... 25, 26, 27, 28, 29
Que pensez-vous de l'intervention de Mgr Aubry sur le Diaconat féminin ?
Re: BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
MGR BONNEMAIN DE L'OPUS DEI : "LA SIMULATION DE LEUCHARISTIE N'EST PAS UN PROBLÈME SÉRIEUX"
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
11 septembre 2023
Mgr Joseph Bonnemain, évêque de l'Opus Dei à Coire, en Suisse, n'a émis qu'un "avertissement" à l'encontre de l'ancienne assistante pastorale Monika Schmid.
Pendant des décennies, Monika Schmid a perçu un salaire mensuel de plus de 10 000 euros. Lors de son départ à la retraite en août 2022, elle a coprésidé une eucharistie et a participé à la récitation de la prière eucharistique dans la posture de l'orante.
L'homme ayant présidé cette l'eucharistie, et d'autres complices de M. Schmid qui empochent des salaires similaires, ont également été "avertis", Mgr Bonnemain exprimant en même temps sa "confiance" en eux et les remerciant pour leur travail pastoral dévoué [et très bien rémunéré] pour le "bien du peuple".
Le soi-disant avertissement concernait le "non-respect d'importantes règles liturgiques". Pour Bonnemain, il n'y a pas eu d'autres "violations liturgiques graves" nécessitant une enquête ou une punition plus poussée.
Kath.ch (8 septembre) souligne que la CDF du Vatican a également jugé l'affaire "sans gravité" et l'a donc classée.
SOURCE :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
UN MEMBRE DU SYNODE VEUT DES FEMMES DIACRES, DES PRÊTRES MARIÉS ET LA COMMUNION POUR TOUS !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
MGR DE LA CRUZ
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
MGR DE LA CRUZ
23 septembre 2023
Le synode de François devrait discuter des prêtres mariés, de l'ordination [invalide] des femmes et de la communion pour tous les participants à l'eucharistie, a déclaré l'évêque Alfredo De la Cruz, 62 ans, de San Francisco de Macorís, en République dominicaine, lors d'un événement le 18 septembre (CatholicNewsAgency.com).
Mgr De la Cruz s'est distancié "de tout ce que signifie le fondamentalisme [= la foi catholique], de la croyance que la doctrine ne peut pas être touchée [= changée]".
Pour lui, l'Ezcharistie est un "lieu de rencontre pour tous les frères" et il estime qu'il n'est pas possible de dire : "Je rencontre mon frère, mais à un groupe je ne donne rien à manger et je les laisse affamés". Mais la communion n'est pas de la nourriture [= barbecue etc.], la messe n'est pas une "réunion", et recevoir la communion indignement, c'est recevoir son propre jugement.
SOURCE :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
L'ARCHEVÊQUE FERNANDEZ DÉCLARE QUE LE SYNODE N'OFFRIRA AUCUNE CONCLUSION SUR LES FEMMES DIACRES ET LES PRÊTRES MARIÉS !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
30 septembre 2030
L'archevêque Fernández déclare que le synode n'offrira "aucune conclusion" sur les femmes diacres et les prêtres mariés. Le futur cardinal a minimisé les attentes de changements majeurs, mais a laissé la porte ouverte à d'éventuels changements lors des prochains synodes.
VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) - Le nouveau préfet du Dicastère (anciennement Congrégation) pour la Doctrine de la Foi (DDF), le cardinal désigné Victor Manuel Fernández, a déclaré que la réunion du Synode sur la synodalité d'octobre 2023 ne cherchera pas de nouvelles "conclusions" sur des sujets tels que l'ordination des femmes ou le célibat clérical.
M. Fernández a fait cette déclaration dans un message diffusé sur les réseaux sociaux vendredi soir, heure locale, quelques heures avant de recevoir le chapeau rouge de cardinal lors du consistoire du 30 septembre. Après le consistoire du matin, une veillée de prière œcuménique aura lieu l'après-midi au Vatican. Des chefs religieux se joindront au pape pour prier pour le synode. Les participants au synode partiront ensuite pour une retraite spirituelle dans la soirée.
Dans cette optique, M. Fernández a écrit : "Nous pouvons dire que le Consistoire qui créera les cardinaux est quelque chose de secondaire par rapport à ce fait [le Synode] qui est beaucoup plus important pour l'Église".
L'ancien archevêque de La Plata a souligné le rôle novateur que les laïcs auront dans le synode, puisqu'ils pourront non seulement participer mais aussi voter.
"Maintenant, avec leur vote, plusieurs dizaines de femmes et d'hommes laïcs peuvent changer le cours d'un vote", a déclaré M. Fernández. "Pensons qu'il arrive que quelque chose n'aille pas de l'avant à cause d'une différence de quelques voix seulement.
Prévisions du préfet du DDF pour le Synode
À la veille du Synode, M. Fernández s'est efforcé d'atténuer toute idée de changement possible dans la pratique de l'Église, tout en laissant une place à "l'Esprit Saint", affirmant que "nous ne pouvons pas savoir quelle direction il [le Synode] prendra".
L'Instrumentum Laboris du Synode, publié en juin, met en avant des sujets tels que l'"ordination" diaconale des femmes, les prêtres mariés et la nécessité d'"accueillir" les "divorcés remariés, les personnes polygames, les personnes LGBTQ+". Il promeut également l'argument d'Amoris Laetitia selon lequel les divorcés et les "remariés" peuvent être admis à la Sainte Communion comme un point établi de "l'enseignement magistériel et théologique".
Comme LifeSite l'a rapporté, les 464 participants au Synode recevront une copie de ce texte, ainsi que de tous les textes précédents, et les nombreux jours du Synode seront consacrés à des discussions sur des sections particulières de l'Instrumentum Laboris.
Le problème est que le synode de cette année ne propose pas de traiter les quatre ou cinq questions débattues, ce qui pourrait se faire l'année prochaine, mais pas maintenant.".
Au lieu de cela, la réunion du Synode de 2023, selon M. Fernández, "est une réflexion plus générale mais non moins intéressante : quel type d'Église voulons-nous, qu'est-ce que le monde d'aujourd'hui attend de nous, quelle est l'Église que le Seigneur veut aujourd'hui pour éclairer le monde dans lequel nous vivons."
Alors que le Synode s'est concentré sur "l'écoute" et le "dialogue" à tous les niveaux de l'Église, et même en dehors, le Vatican a tenté ces derniers jours d'avertir les journalistes de ne pas s'attendre à une telle ouverture pour les réunions synodales d'octobre.
Lors d'un récent point de presse, les responsables du Vatican ont évité d'affirmer l'application du secret pontifical sur les discussions, promouvant plutôt un esprit de "silence", citant les écrits du défunt cardinal Carlo Maria Martini.
M. Fernández a répété ce thème. "Ce ne sera pas intéressant pour la presse", a-t-il déclaré à propos du synode.
Aussi intéressant et utile qu'il puisse nous paraître, il ne fera pas les gros titres des médias et des réseaux. Aux yeux du monde, cela peut ressembler à un échec ou à une réunion sans intérêt.
Il n'en sera pas ainsi pour nous si nous restons dociles à l'Esprit Saint. Le pape François le sait et dit toujours qu'il ne s'agit pas de gagner de l'espace mais de générer de nouveaux processus qui porteront leurs fruits on ne sait quand.
La minimisation des suggestions de changement
Bien que l'Instrumentum Laboris soulève la question du diaconat des femmes et du clergé marié, le cardinal désigné Fernández a laissé entendre que de tels sujets pourraient être soulevés, mais qu'ils n'aboutiraient pas à une conclusion.
"Bien que nous devions rester ouverts à ce que Dieu veut faire, je ne pense pas que nous discuterons ce mois-ci de questions telles que le célibat, l'ordination des femmes ou d'autres sujets de ce genre, a-t-il déclaré, parce que chacune de ces questions nécessiterait beaucoup d'études préalables, des discussions régionales, et ensuite, pour chacune de ces questions, au moins un ou deux synodes entiers.
"Ainsi, en ce qui concerne ces questions très débattues, il ne pourrait y avoir qu'une demande d'étude, mais pas de conclusions", a ajouté M. Fernández, faisant allusion à l'avenir.
En effet, comme LifeSite l'a rapporté, le préfet du Dicastère pour la communication du Vatican a également minimisé toute attente de grandes décisions lors de la réunion du Synode 2023, puisque ce type de résultats sera vu lors du Synode des évêques 2024 qui aura lieu à Rome en octobre prochain et qui servira de conclusion au Synode sur la synodalité.
En effet, le texte qui sera compilé à partir des réunions du Synode de ce mois d'octobre servira de base à la poursuite du processus, jusqu'à la réunion de 2024 à Rome.
Toutefois, ces déclarations pourraient ne pas suffire à un certain nombre de participants, les membres votants du Synode, qu'ils soient clercs ou laïcs, réclamant de plus en plus un renversement de la doctrine catholique sur les points qui seront débattus par le Synode.
SOURCE :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
L'ORDINATION DES FEMMES ET LA MESSE MAYA !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le courant libéral de l’Église catholique, à savoir les Sadducéens d’aujourd’hui, cherche à éliminer le sacrement du sacerdoce, et par conséquent aussi la papauté. Ils poussent l’opinion publique en faveur de l’ordination des femmes en tant que prêtres, soi-disant dans l’intérêt du renouveau de l’Église. Toute la tradition de l’Ancien et du Nouveau Testament est la preuve qu’il s’agit d’une fraude flagrante. Toute la tradition de l’Ancien et du Nouveau Testament est la preuve qu’il s’agit d’une fraude flagrante. De plus, les Sadducéens modernes, ainsi que les faux prophètes et les théologiens libéraux, promeuvent la légalisation ecclésiastique de la sodomie, des lesbiennes et de toutes les formes dépravées de paganisme adorant de faux dieux, c'est-à-dire des démons.
Le pseudo-pape Bergoglio a créé un précédent pernicieux pour toute l’Église, d’abord en se consacrant à Satan au Canada sous la direction d’un sorcier soufflant dans un sifflet en os de dindon sauvage et, deuxièmement, en profanant la basilique Saint-Pierre avec le démon Pachamama. Déjà le Concile de Vatican II, dans sa déclaration Nostra Aetate, avait fixé un programme suicidaire de respect des autres religions et, par le fait même, de leurs démons. C'est un grand péché commis contre le Premier Commandement. Cette tendance qui détruit la relation avec Dieu entraîne la légalisation de l’immoralité, c’est-à-dire la suppression des lois et des commandements de Dieu. Bergoglio réclame ouvertement une pseudo-conversion des évêques en accueillant les LGBTQ au sein de l’Église (janvier 2023).
La malheureuse réforme de Martin Luther, qui abolit le sacerdoce et la messe, fut une réponse directe à la vie dépravée et au mammonisme des prélats. Leur mauvais exemple n’a pas permis une véritable repentance ni un renouveau de la vie de foi. La moitié de l’Europe catholique se convertit au protestantisme en 20 ans. Mais la responsabilité de la division de l’Église n’incombe pas seulement à Luther ; la faute majeure incombe aux prélats qui ont empêché un véritable réveil. Ce n’est qu’avec la réforme de Luther que la porte de l’Église catholique, déjà réduite, s’est ouverte à une véritable réforme avec l’émergence d’ordres et de mouvements de réveil. La division de l’Église a eu des conséquences sanglantes sous la forme de guerres de religion, notamment la guerre de Trente Ans.
Aujourd’hui, cependant, de nombreux pasteurs protestants, en union avec les prélats catholiques, promeuvent le mariage homosexuel et la bénédiction des couples homosexuels. Ils ne créent pas l'unité en Christ mais en l'Antéchrist. Cela aboutit à la diabolisation de l’Europe. L’islamisation est la punition de Dieu pour cela. Elle est promue avec une véhémence particulière par les évêques allemands ainsi que par le pseudo-pape Bergoglio.
À cause des hérésies et de l’unité avec l’esprit du monde, le christianisme s’est presque évaporé en Europe. Introduire l’ordination féminine à ce moment critique au lieu d’effectuer une véritable pénitence, et prétendre que cela entraînera un renouveau du christianisme, est littéralement de la folie ! Les femmes prêtres, ou prostituées sacrées, étaient exclusivement associées au paganisme et aux sacrifices aux démons. Les femmes prêtres n’ont aucune justification dans le christianisme. Jésus a nommé des hommes, et non des femmes, comme prêtres. Cela a toujours été une loi non écrite de l’Église.
De nos jours, les efforts visant à ordonner des femmes sont directement liés à la promotion du paganisme par Bergoglio et à la féminisation destructrice du monde. Le pseudo-pape fait des diaconesses des sorcières amazoniennes, qui brûlent de l'encens aux démons païens plutôt qu'à Dieu. Il envisage en fait de les ordonner également prêtres.
En revanche, le début d’un véritable réveil consiste à appeler le péché un péché, l’hérésie une hérésie et l’immoralité une immoralité. Il est nécessaire de souligner à nouveau le fruit mortel du péché, à savoir la misère et le malheur sur Terre et la damnation éternelle. Cependant, les Sadducéens des temps modernes fuient la véritable repentance et la suite du Christ comme le diable est descendu de la croix. Le modèle de leur soi-disant renaissance de l’Église au moyen du parcours synodal LGBTQ vise à légaliser des péchés scandaleux qui jettent une malédiction sur l’Église et sur les nations. Ils enfoncent des clous dans le cercueil de l'Église, après en avoir déjà creusé la tombe.
Que dire du rite maya avec ce qu'on appelle le principal et l'encenseur, qui devrait être accompli surtout par les femmes ? Leur encensement et leur danse sont censés être approuvés par le Synode en tant que partie officielle de la messe. Il s'agit d'une introduction intentionnelle de l'esprit du paganisme et de l'expulsion du Saint-Esprit de la sainte liturgie. Une telle messe ne sera plus une adoration du vrai Dieu et le sacrifice du Christ ne sera pas rendu présent, mais ce sera un blasphème.
Discernons l'essence de la sainte liturgie. Ce n’est pas un symbole, mais le sacrifice du Christ sur le Calvaire rendu présent. Au centre de cette célébration, on ne trouve pas un sacrifice sanglant de taureaux et d’agneaux, mais le sacrifice sanglant du Fils de Dieu pour le pardon de nos péchés. Les sacrifices de sang animal dans l’Ancien Testament étaient censés empêcher les gens de faire des sacrifices de sang païens, et même humains. Les sacrifices païens signifient la soumission aux démons et sont liés à l'immoralité et aux perversions.
Au milieu de la saleté spirituelle et morale actuelle, nous devrions réaliser que Dieu devrait se voir offrir un pur sacrifice, et tel est uniquement le sacrifice du Christ sur la croix.
Dès l’époque du prophète Malachie, le Seigneur avait prédit : « Et en tout lieu on brûle de l'encens en l'honneur de mon nom et l'on présente des offrandes pures » (Mal. 1:11).
Deux des quatre premiers prêtres de l’Ancien Testament, les fils d’Aaron, ont payé de leur vie le fait que le feu de leurs encensoirs n’était pas l’encens qui aurait dû être utilisé pour adorer le Seigneur. Il est écrit : « Les fils d'Aaron, Nadab et Abihu, prirent chacun un brasier, y mirent du feu, et posèrent du parfum dessus; ils apportèrent devant l'Éternel du feu étranger, ce qu'il ne leur avait point ordonné. Alors le feu sortit de devant l'Éternel, et les consuma: ils moururent devant l'Éternel » (Lév. 10 : 1-2).
Lorsque Coré, Abiram et Dathan se rebellèrent contre Moïse, Moïse dit à Coré : « Écoutez donc, enfants de Lévi : Est-ce trop peu pour vous que le Dieu d'Israël vous ait choisis dans l'assemblée d'Israël, en vous faisant approcher de lui, afin que vous soyez employés au service du tabernacle de l'Éternel, et que vous vous présentiez devant l'assemblée pour la servir ? Il vous a fait approcher de lui, toi, et tous tes frères, les enfants de Lévi, et vous voulez encore le sacerdoce ! » (Nombres, 16 : 8-11).
Les libéraux actuels, dirigés par Bergoglio, s’unissent de la même manière que Coré contre le Seigneur. Ils promeuvent l’anti-évangile sodomite et attirent ainsi sur eux-mêmes l’anathème de Dieu – l’excommunication de l’Église (Ga 1 : 8-9). De plus, ils favorisent même la destruction du sacrement de l’ordre sacré en cherchant à ordonner des femmes, de facto des sorcières et des lesbiennes. Dans le cas de Coré, seul un sacerdoce de l’Ancien Testament était concerné. Ils offraient des sacrifices sanglants de moutons et de taureaux, ou de quelque chose qu'ils récoltaient. Cependant, le sacerdoce du Nouveau Testament est une offrande du très saint sacrifice. Il s’agit de présenter le sacrifice sanglant du Christ d’une manière non sanglante sur l’autel, pour le pardon des péchés. Le sacerdoce du Christ a entraîné la disparition du sacerdoce d’Aaron et des sacrifices d’animaux. Jésus a établi les ordres sacrés lors de la Dernière Cène. Il a choisi des apôtres, des hommes. Lors de la descente du Saint-Esprit, ils reçurent l'onction pour le sacerdoce du Nouveau Testament. Cette onction se transmet par la succession apostolique aux successeurs des apôtres, à savoir aux évêques et à leurs collaborateurs, les prêtres.
Quelle est alors l’essence du sacrifice du Nouveau Testament ? Il s’agit de rendre présent le sacrifice du Christ sur la croix. Comment cela se passe-t-il ? Par le prêtre, qui porte l'onction du Saint-Esprit. Le prêtre prononce les paroles de Jésus, par lesquelles il a établi son sacrifice non sanglant. C’est à ce moment-là qu’intervient la toute-puissance de Dieu. Par Sa toute-puissance, Dieu, qui a créé le monde visible et invisible, les innombrables galaxies à partir de rien, transforme désormais l'essence du pain et l'essence du vin en le véritable Corps du Christ et en Son véritable Sang. Le Saint-Esprit le fait par l'onction sacerdotale.
Une personne que Dieu n’a pas choisie par Son onction peut-elle prétendre à un office sacerdotal ? Non, elle ne le peut pas. Une personne qui est en rébellion contre le Saint-Esprit, qui viole les lois et les directives de Dieu et qui promeut les perversions sexuelles et l’anti-évangile sodomite, peut-elle revendiquer une fonction sacerdotale ? Non, elle ne le peut pas. Une femme peut-elle être ointe du Saint-Esprit pour la prêtrise ? Non, elle ne le peut pas. Ce n’est pas conforme à l’ordre de Dieu. Les Saintes Écritures précisent qu’offrir un sacrifice pour apaiser Dieu pour les péchés du peuple était lié au sacerdoce d’Aaron, qui était temporaire.
L’Écriture dit ce qui suit à propos de Jésus : « Tu es prêtre pour toujours, selon l’ordre de Melchisédech ». C'est un ordre différent d'un sacerdoce héréditaire selon l'ordre d'Aaron. « Car, le sacerdoce étant changé, nécessairement aussi il y a un changement de loi » (Hé 7:12).
Avec Jésus-Christ, l'Ancien Testament est remplacé par le Nouveau Testament.
Quel est le but des efforts actuels visant à changer le sacerdoce par l’ordination féminine ? Inévitablement, cela conduit à l’abolition du Nouveau Testament de notre Sauveur et à l’introduction du pseudo-testament de l’Antéchrist.
Si la secte de Bergoglio change maintenant le sacerdoce en promouvant l’ordination des femmes comme diacres et prêtres, la succession apostolique cessera d’exister. Selon Daniel, le sacrifice quotidien sera ainsi supprimé (Mt 24 :15 ; Dan 9 :27) et l’onction du Saint-Esprit sera remplacée par l’onction d’un esprit impur et démoniaque. Quel esprit promeut actuellement ce pseudo-sacerdoce féminin couplé à la légalisation ecclésiastique de la sodomie et de l'idolâtrie ? Ce n'est pas l'Esprit du Christ, mais l'esprit de l'Antéchrist.
C'est pourquoi nous entendons parler de l'adoption dans la messe d'éléments païens de la culture maya et d'autres cultes païens enracinés dans le culte des démons et de Satan. Il s'agit du feu de l'enfer (Jud 1, 7) plutôt que du feu du Saint-Esprit (Lc 3, 16). Les deux fils d’Aaron offrirent du feu et de l’encens sans autorisation devant l’Éternel, et ils furent tués. Quelle mort spirituelle douloureuse s’abattra sur l’Église catholique à cause de cet anti-sacrement !
De plus, la secte bergoglienne introduit l’anti-sacrement du mariage en bénissant les couples sodomites, lesbiens et queer. Le parcours dit synodal mène à l’autodestruction temporelle et à la damnation éternelle. Le contraire est le chemin étroit qui consiste à suivre le Christ. Il est Lui-même le Chemin, la Vérité et la Vie.
L'archi-hérétique Bergoglio, qui occupe le trône papal, a amené le christianisme à la croisée des chemins, où il faut aujourd'hui faire un choix. Soit pour revenir au solide enseignement de l’Évangile du Christ, qui apporte la bénédiction et la vie éternelle, soit pour embrasser l’anti-évangile de Bergoglio et de sa secte, qui aboutit à une autodestruction à la fois temporelle et éternelle. Dieu place désormais un choix devant les catholiques, comme il l’avait fait autrefois devant les Israélites : « J’ai mis devant vous la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction ; choisissez donc la vie » (Deut. 30:19).
+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires
Le 4 octobre 2023
SOURCE : Reçu par courriel du Patriarcat Catholique Byzantin. Merci.
Re: BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
MESSAGE DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST TRÈS IMPORTANT À RETENIR :
métys a écrit:Message de NSJC Via Valentina Papagna (Sydney, Australie) : Je n'ai jamais approuvé que des femmes viennent autour de Mon Autel - 25 Septembre 2022-
Notre Seigneur N'a Jamais Approuvé que les Femmes soient autour de l'Autel
Aujourd'hui, au cours de la Sainte Messe, juste avant la distribution de la Sainte Communion, alors qu'une jeune femme se rendait au Tabernacle pour apporter le Ciboire à l'Autel, notre Seigneur a dit : " Regardez cela. Une femme envoyée pour ouvrir Mon Lieu le plus Sacré et pour apporter Mon Saint Corps à l'Autel pour être distribué."" Je n'ai jamais approuvé que des femmes viennent autour de Mon Autel, et Je ne le ferai jamais ! Je choisis Mes Disciples, et cela restera à jamais. Maintenant, les femmes font pression pour venir à Mon Autel et Me servir. Ma colère est grande de voir tout cela. Prie pour elles, car quand le temps viendra, quand Je jugerai, Je jugerai sévèrement. Priez pour que Je puisse encore être miséricordieux envers elles pour toutes ces actes répréhensibles, les forçant à venir à Mon Autel".
Notre Seigneur me regardait, puis Il a dit très sévèrement : "Valentina, Mon enfant, ne Me fais jamais cela car tu M'offenserais grandement, au point que tu perdrais même ta vie ; ceci dans l'éternité."
Puis le Seigneur m'a demandé de réparer ces offenses. J'ai fait réparation immédiatement après la Sainte Communion, comme le Seigneur l'a demandé. Puis, Il m'a demandé à nouveau de faire réparation après la Sainte Messe devant le Saint Tabernacle, ce que j'ai fait.
Nous essayons de faire plaisir aux gens ici sur terre et de les placer dans une position plus élevée dans l'église. Mais se demandent-ils seulement : "Est-ce que nous plaisons à notre Seigneur en faisant cela ? Non, Dieu veut que les femmes restent humbles et ne soient pas autour de l'autel.
Plusieurs fois, notre Seigneur m'a dit : " Je ne veux pas de femmes autour de Ma Table Sacrée pour Me servir. "
Seigneur Jésus, aie pitié de nous.
SOURCE:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
@ Tous :
L'Ordination des femmes et la Messe Maya :
L'Administrateur
L'Ordination des femmes et la Messe Maya :
L'Administrateur
Re: BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
UN ÉVÊQUE SUISSE REFUSE DE PUNIR LES FEMMES QUI ONT TENTÉ DE CONCÉLÉBRER À LA MESSE !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
______________________________________________
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
______________________________________________
CONCERNANT CETTE HISTOIRE, LA VOICI DÉTAILLÉE ICI :
DEUX FEMMES TENTENT DE CONCÉLÉBRER LA MESSE DANS UNE ÉGLISE CATHOLIQUE EN SUISSE !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Monika Schmid tente de concélébrer la messe en Suisse
Deux femmes tentent de concélébrer la messe dans une église catholique en Suisse. Monika Schmid a été rejointe sur l’autel par deux prêtres, une autre femme et un diacre portant une étole aux couleurs de l’arc-en-ciel.
par Michael Haynes et Andreas Wailzer
1er Sep. 2022
EFFRETIKON, Suisse (LifeSiteNews) — Une femme a récemment prononcé une prière de consécration modifiée et a tenté de « concélébrer » une messe en Suisse, en violation directe du droit canonique. Le diocèse où l’événement a eu lieu est dirigé par un évêque favorable au « mariage » entre personnes de même sexe.
Dans la paroisse Saint-Martin d’Illnau-Effretikon, en Suisse, un certain nombre de femmes se sont récemment jointes au clergé sur l’autel, l’une d’entre elles – la responsable de la paroisse Monika Schmid – récitant la prière eucharistique.
Schmid, selon Kath.ch, a dit une version modifiée des mots de consécration lors de sa messe d’adieu, qui devait marquer son départ de la paroisse. Schmid a été rejoint par une autre femme, ainsi que par deux prêtres – ne portant que des étoles sur leurs aubes, en violation flagrante de la loi liturgique – et un diacre qui portait une étole aux couleurs de l’arc-en-ciel. Schmid était également pieds nus.
Plus tard, elle a procédé à la distribution de la Sainte Communion aux personnes présentes.
Commentant les scènes, l’érudit liturgique Hans-Jürgen Feulner a déclaré qu’il s’agissait d’un « grave abus ». Il a noté que la prière de consécration avait été changée, de même que « l’ensemble de la prière eucharistique utilisée ici ».
Le canon 907 du droit canonique de l’Église interdit expressément à quiconque, sauf au prêtre, de prononcer les paroles de la consécration. « Dans la célébration eucharistique, il n’est pas permis aux diacres et aux laïcs d’accomplir des prières, en particulier la prière eucharistique, ni d’accomplir des actes qui sont propres au prêtre célébrant. »
Feulner a également noté que les fidèles ont le « droit exécutoire » que les ministres chargés des célébrations liturgiques adhèrent aux directives liturgiques de l’Église.
De telles scènes ne sont cependant pas nouvelles. Comme LifeSite l’a déjà signalé, un autre diocèse suisse, le diocèse de Bâle, voit régulièrement des femmes simuler des messes catholiques. Comme l’a expliqué le Dr Peter Kwasniewski, théologien et liturgiste thomiste, « les fidèles s’attendent à juste titre, et l’Église exige à juste titre, que le culte public offert dans une église catholique corresponde à ce qui est donné dans les livres liturgiques, et ne cause pas de confusion ou de scandale ».
Kwasniewski s’est référé à Redemptionis Sacramentum, une instruction du Vatican approuvée par le pape Jean-Paul II en 2004, qui souligne que quiconque compose des liturgies « porte atteinte à l’unité substantielle du rite romain, qui doit être vigoureusement préservée, et devient responsable d’actions qui ne sont en aucune façon cohérentes avec la faim et la soif du Dieu vivant que connaissent les gens aujourd’hui ».
Les actions arbitraires, affirme le document, « ne sont pas propices à un véritable renouveau, mais sont préjudiciables au droit des fidèles du Christ à une célébration liturgique qui soit l’expression de la vie de l’Église selon sa tradition et sa discipline ».
À la suite des actions de Schmid, Fuelner a appelé l’évêque local de Coire, Joseph Bonnemain, à agir : « Le silence ou l’ignorance de la part du diocèse n’est plus possible. À mon avis, l’évêque du lieu, en tant que curé de son diocèse, doit intervenir ici, y compris d’un point de vue liturgique », a-t-il déclaré.
Notant que l’événement s’est déroulé « en public », Feulner a déclaré que « le droit canonique stipule que l’exercice illicite d’une tâche sacerdotale, en l’occurrence la participation illégale à la prière eucharistique, doit être puni d’une juste peine. [Bonnemain] doit prendre des mesures contre toutes les personnes impliquées dans ces graves abus.
L’érudit liturgique Matthew Hazell a noté qu’en vertu des canons 1378 et 1379, Schmid, la femme qui l’accompagnait et le diacre, avaient tous encouru des peines sévères.Bien sûr, Monika Schmid, l’autre femme, et le diacre ont tous encouru une interdiction « latae sententiae », plus une suspension « latae sententiae » pour le diacre, selon le can. 1379, § 1, 1°.
Pourtant, on peut douter que cela dérange beaucoup Mgr Joseph Bonnemain...
- Matthew Hazell (@M_P_Hazell) 1er septembre 2022
Diocèse de Mgr Bonnemain
Mgr Bonnemain, cependant, s’est déjà fait remarquer pour son hétérodoxie. Nommé évêque du diocèse l’année dernière, il a distribué la sainte communion aux non-catholiques lors de sa messe de consécration épiscopale.
En effet, comme LifeSite l’a déjà rapporté, Bonnemain avait été nommé contre la volonté des autorités ecclésiastiques locales, qui, selon les règles locales, ont leur mot à dire dans la nomination d’un nouvel évêque. Après avoir rejeté Bonnemain, le pape François lui-même était libre de choisir un nouvel évêque, et il a choisi Bonnemain.
Bonnemain s’est ensuite prononcé en faveur des unions civiles entre personnes de même sexe, affirmant qu’il n’avait aucune objection aux unions et aux « mariages » entre personnes de même sexe, mais demandant que le mariage entre l’homme et la femme soit alors renommé afin de « différencier ».
« Oui, je n’ai rien contre le fait que notre pays leur donne [les nouvelles formes de « mariage"] des droits égaux », a-t-il déclaré à la télévision suisse avant un référendum sur le « mariage » homosexuel l’année dernière. Il s’est contenté d’ajouter que le mariage traditionnel, avec mari et femme, avec enfants et grands-parents, ne « s’oublie pas » parce qu’un tel mariage traditionnel est un « enrichissement » pour la société.
SOURCE :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
_____________________________________________________
Un évêque suisse hétérodoxe refuse de punir les femmes qui ont tenté de concélébrer à la messe. L’évêque Joseph Maria Bonnemain n’a émis qu’un avertissement aux pasteurs impliqués dans une messe où des femmes ont tenté de consacrer l’Eucharistie.
par Andreas Wailzer
12 sep. 2023
L’évêque suisse Joseph Maria Bonnemain a décidé de ne pas punir deux femmes qui ont tenté de concélébrer la messe catholique et de n’émettre qu’une « réprimande formelle » après l’incident.
En août 2022, une vidéo a fait surface montrant une laïque, la responsable de la paroisse Monika Schmid, prononçant une prière de consécration modifiée et tentant de « concélébrer » une messe à Effretikon, en Suisse, en violation directe du droit canonique.
Schmid a été rejoint à l’autel par une autre laïque, deux prêtres et un diacre portant une étole aux couleurs de l’arc-en-ciel.
Après que la vidéo ait reçu l’attention internationale et les critiques de fidèles catholiques, l’évêque hétérodoxe de Coire, Joseph Maria Bonnemain, a été contraint d’ouvrir une enquête préliminaire canonique sur l’affaire.
Le diocèse de Coire a publié les résultats de l’enquête dans un communiqué de presse daté du 8 septembre, affirmant que « l’enquête minutieuse des faits a montré que dans ce service liturgique, il n’y a pas eu de violations liturgiques graves, dont le jugement serait réservé au Dicastère du Vatican pour la doctrine de la foi ».
« Par conséquent, aucune procédure pénale n’est requise conformément au droit canonique. »
Cependant, « d’importantes règles liturgiques n’ont pas été respectées lors de ce service, qui sont contraignantes pour toute l’Église », poursuit le communiqué.
Par conséquent, l’évêque ne peut pas éviter d’adresser une réprimande formelle aux pasteurs impliqués dans cette affaire. Le 15 août 2023, l’évêque Joseph Maria Bonnemain a adressé l’avertissement approprié aux cinq personnes concernées au cours de longues discussions personnelles, dans l’espoir que ces erreurs ne se répètent pas à l’avenir », a-t-il ajouté.
Mgr Bonnemain « a exprimé sa confiance à tous les pasteurs impliqués et les a remerciés pour leur engagement pastoral pour le bien des populations ».
Le canon 907 du droit canonique de l’Église interdit expressément à quiconque, sauf au prêtre, de prononcer les paroles de la consécration et, selon le canon 1379, « celui qui, n’étant pas ordonné prêtre, tente la célébration liturgique du sacrifice eucharistique » encourt « un interdit latae sententiae ou, s’il s’agit d’un clerc, également une suspension latae sententiae ».
Par conséquent, la réprimande à l’encontre de Schmid et des autres personnes impliquées dans l’abus liturgique peut difficilement être considérée comme une sanction appropriée.
Bonnemain et les autres évêques de Suisse alémanique ont été accusés d’hypocrisie et de ne pas avoir de respect pour les rubriques liturgiques.
L’organisation de gauche « Également catholique » a critiqué Bonnemain et les autres évêques suisses pour avoir réprimandé les femmes qui ont « concélébré » à la messe, affirmant que beaucoup d’autres femmes avaient fait la même chose dans le passé et que les évêques suisses étaient au courant de ces cas et les toléraient.
Une source proche du dossier a déclaré à LifeSiteNews en janvier qu’il pensait que les évêques suisses n’avaient critiqué les abus liturgiques de Schmid et consorts que parce qu’ils avaient reçu l’ordre du Vatican de le faire.
Au cours d’une messe le 24 septembre 2022, après que les abus liturgiques de Monika Schmid aient été rendus publics, Bonnemain a dirigé une cérémonie liturgique très similaire à l’ordination sacerdotale pour un groupe de théologiens, y compris des femmes, dans son diocèse.
La cérémonie liturgique a pu facilement être confondue avec le sacrement de l’Ordre conféré aux théologiens laïcs, car elle impliquait des vœux de consécration, une prière de consécration et l’imposition des mains.
Paradoxalement, dans une lettre publiée antérieurement, probablement envoyée en raison d’un ordre du Vatican, les évêques suisses ont explicitement mis en garde contre le fait de faire de la liturgie « un champ d’expérimentation pour des projets personnels ».
Mgr Bonnemain : un évêque hétérodoxe qui jouit de la confiance du pape François
Le pape François a nommé Bonnemain évêque de Coire en février 2021 en tant que « bâtisseur de ponts ».
Le Vatican a récemment nommé le pro-LGBT Bonnemain pour enquêter sur cinq évêques suisses, anciens et actuels, accusés d’avoir dissimulé des cas d’abus sexuels dans leur diocèse, fournissant une preuve supplémentaire que Bonnemain jouit de la confiance de François.
L’évêque de l’Opus Dei a montré une tendance à être très indulgent avec les dissidents de l’enseignement de l’Église, comme en témoigne sa « punition » docile de Schmid et un autre cas récent, où il n’a pas corrigé une laïque travaillant dans son diocèse pour avoir publiquement promu de la « pornographie légale ».
Bonnemain est bien connu pour ses positions hétérodoxes. Le prélat suisse soutient les unions homosexuelles et a sciemment donné la sainte communion à des non-catholiques lors de sa cérémonie d’ordination.
Il a été accusé par des prêtres de son diocèse de mettre en œuvre « l’idéologie LGBT sous prétexte de prévenir les agressions sexuelles » en publiant un code de conduite pro-LGBT qui interdit aux prêtres d’exprimer une « évaluation négative radicale » des actes homosexuels et d’autres « comportements prétendument non bibliques ».
Bonnemain a en outre aboli la fonction d’exorciste dans son diocèse l’année dernière, affirmant qu’il existe des « solutions normales » à la plupart des problèmes et qu’il n’a « jamais été confronté à une personne » qui avait besoin d’un exorcisme majeur.
SOURCE :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
@ Tous :
Concernant le post précédent sur les deux femmes qui concélèbrent la Messe en Suisse, je rappelle cette information très importante sur l'Enfer :
L'Administrateur
Concernant le post précédent sur les deux femmes qui concélèbrent la Messe en Suisse, je rappelle cette information très importante sur l'Enfer :
L'Administrateur
Re: BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
LE RAPPORT DU SYNODE SUR LA SYNODALITÉ ENCOURAGE LES FEMMES DIACRES ET LA GOUVERNANCE LAÏQUE !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le rapport du Synode sur la synodalité encourage les femmes diacres et la gouvernance laïque, mais évite de donner des réponses fermes. Le rapport final très attendu du Synode sur la synodalité a été publié. Il évite de donner des réponses directes sur des questions controversées, mais préconise la poursuite d'une approche "synodale" de la vie générale de l'Église.
29 octobre 2023
CITE DU VATICAN (LifeSiteNews) -- Le document de conclusion de la réunion du Synode sur la synodalité d'octobre 2023 a été publié, sans aucune prise de position définitive en termes de tentatives d'altérer l'enseignement de l'Église sur les questions LGBT ou l'ordination des femmes, mais contenant une foule d'appels subtils mais significatifs pour des changements dans la manière de gouverner l'Église et dans la vie quotidienne.
Le rapport de 41 pages a été publié tard dans la nuit du 28 octobre, alors que la session d'un mois du Synode sur la synodalité touchait à sa fin et que les participants quittaient précipitamment la salle d'audience Paul VI. La version initiale du texte a donné lieu à plus de 1 000 amendements de la part des membres du synode, selon les responsables du synode, ce qui signifie que ces amendements ont dû être traités entre le jeudi soir et le samedi après-midi.
Le contenu du rapport, comme l'ont déjà noté les responsables synodaux, n'est pas censé être un rapport final, ni même le texte qui constituera la base de la réunion synodale d'octobre 2024. Comme l'indique le rapport de synthèse, il contient plutôt les "principaux éléments qui ont émergé du dialogue, de la prière et de la discussion qui ont caractérisé ces journées".
"Certains craignent d'être obligés de changer ; d'autres craignent que rien ne change et qu'il n'y ait pas assez de courage pour avancer au rythme de la Tradition vivante", peut-on lire au chapitre 1, paragraphe g. (Adopté par 326 - 18).
Le synode a été particulièrement marqué par la controverse en raison de ses thèmes de discussion. L'Instrumentum Laboris a constitué la base des discussions, ce qui signifie que les 465 participants au synode et plus de 300 membres synodaux votants ont débattu (entre autres) de questions concernant les femmes diacres, l'"accueil" des personnes LGBT, polygames, divorcées et "remariées", les prêtres mariés et la gouvernance des laïcs.
Compte tenu de ces sujets - sur lesquels l'Église s'est déjà clairement prononcée - de nombreux catholiques ont exprimé de vives inquiétudes quant à l'orientation et à l'intention du Synode sur la synodalité. Cependant, interrogé par LifeSiteNews pendant l'événement, un cardinal membre du synode a refusé de confirmer si les membres adhéraient à l'enseignement de l'Église pendant les discussions sur ces questions.
Les chapitres 9, 11, 12 et 15 du rapport de synthèse ont fait l'objet d'une opposition particulièrement forte.
Le rapport présente les discussions sur le thème de la "synodalité" lui-même, avant d'aborder les sujets les plus brûlants. Alors que les défenseurs radicaux des questions LGBT ou des femmes diacres n'auront pas vu leurs objectifs atteints, le rapport évite néanmoins de proclamer clairement l'enseignement déjà défini de l'Église sur toutes ces questions.
En effet, le rapport se distingue davantage par son caractère générique que par une argumentation particulièrement remarquable. Les paragraphes contiennent des appels à la poursuite des discussions sur un certain nombre de sujets, plutôt que de présenter des demandes concrètes ou des décisions formulées.
Chaque paragraphe a fait l'objet d'un vote successif et devait être adopté à une majorité des deux tiers au moins : les abstentions n'étaient pas autorisées. Bien que cette réunion soit unique en ce sens qu'elle a permis pour la première fois à des laïcs de voter, le rapport n'a pas divisé les résultats du vote en fonction du statut des laïcs ou des clercs. Les résultats numériques simples ont été présentés.
Chaque paragraphe a été approuvé, bien qu'aucun paragraphe n'ait reçu une approbation à 100 %, car il y a toujours eu des objections enregistrées : seuls trois paragraphes n'ont eu qu'une seule objection.
Chaque chapitre du rapport est divisé en trois sections : les résumés des discussions, les questions à traiter et les propositions présentées.
Commentant le nombre étonnamment élevé de votes approuvant des passages controversés, notamment en ce qui concerne le diaconat féminin, le rapporteur général, le cardinal Jean-Claude Hollerich, a déclaré aux journalistes qu'il était surpris et "heureux de ce résultat". Il a ajouté que le vote sur cette question particulière "signifie que la résistance n'est pas aussi grande qu'on le pensait auparavant".
Le rapport souligne en particulier la poursuite de la culture du questionnement qui a caractérisé le synode au cours des deux dernières années. Bien que moins explicite sur certains sujets que dans les documents précédents, le rapport de synthèse jette les bases d'une codification de la "manière synodale", qui consiste en une discussion prolongée sur des questions morales ou doctrinales déjà tranchées, et du concept d'approbation par vote majoritaire dans l'Église, avec égalité de pouvoir de vote entre les laïcs et les membres du clergé.
"Cette liberté et cette ouverture changeront l'Église, et je suis sûr que l'Église trouvera des réponses, peut-être pas la réponse exacte que tel ou tel groupe souhaite avoir, mais des réponses [avec lesquelles] la plupart des gens se sentiront bien et écoutés", a déclaré le cardinal Hollerich à propos du style et du processus du Synode sur la synodalité.
La synodalité : une définition et un avenir
Décrivant même la disposition du synode - qui s'est tenu dans la salle d'audience Paul VI, plutôt que dans la salle synodale habituelle, afin d'accommoder la disposition en table ronde - le rapport a déclaré que cette disposition physique était hautement significative. Ce passage est particulièrement important pour comprendre le concept du nouveau style de vie démocratique proposé par le Synode sur la synodalité :
"Le déroulement même de l'Assemblée, à commencer par la disposition des personnes assises en petits groupes autour de tables rondes dans la Salle Paul VI, comparable à l'image biblique du banquet de noces (Ap 19,9), est emblématique d'une Église synodale et une image de l'Eucharistie, source et sommet de la synodalité, avec la Parole de Dieu en son centre. En son sein, des cultures, des langues, des rites, des modes de pensée et des réalités différents peuvent s'engager ensemble et de manière fructueuse dans une recherche sincère sous la conduite de l'Esprit. (Adopté par 339 - 5)
"L'ensemble du parcours, enraciné dans la Tradition de l'Église, se déroule à la lumière du magistère conciliaire", note le message d'ouverture du rapport.
Une certaine définition de la synodalité a été proposée, présentée comme un événement intrinsèquement œcuménique qui doit être "compris comme la marche des chrétiens avec le Christ et vers le Royaume, ensemble avec toute l'humanité". La définition poursuivait en disant que la "synodalité" devait être :
… orientée vers la mission, elle implique de se réunir en assemblée aux différents niveaux de la vie ecclésiale, de s'écouter les uns les autres, de dialoguer, de discerner en commun, de rechercher le consensus comme expression de la présence vivante du Christ dans l'Esprit, et de prendre des décisions dans le cadre d'une coresponsabilité différenciée. (Adopté 340 - 4)
Cependant, le texte ajoute qu'il est "nécessaire de clarifier le sens de la synodalité à différents niveaux, de l'usage pastoral à l'usage théologique et canonique, en évitant le risque qu'elle paraisse trop vague ou générique, ou qu'elle apparaisse comme une mode passagère". (Adopté 341 - 3)
Un appel a été lancé pour "expérimenter et adapter la conversation dans l'Esprit" - qui a été le modus operandi du Synode sur la synodalité - ainsi que "d'autres formes de discernement" dans la vie plus large de l'Eglise, "en valorisant selon les cultures et les contextes la richesse des différentes traditions spirituelles". (Paragraphe adopté par 332 - 12)
Égalité en dignité, gouvernance et thèmes liturgiques
Conformément aux thèmes de l'égalité œcuménique et hiérarchique qui ont émergé du processus, le rapport affirme que tous les baptisés sont totalement égaux en dignité, évitant ainsi de discuter des différents types et manières de perdre la dignité : "Parmi tous les baptisés, il y a une véritable égalité de dignité et une responsabilité commune pour la mission, selon la vocation de chacun. (Adopté par 318 - 26)
Le sacrement du baptême est apparu comme un nouvel outil au service de la "synodalité", le rapport précisant qu'il "ne peut être compris de manière individualiste" et que "la contribution à la compréhension de la synodalité peut provenir d'une vision plus unifiée de l'initiation chrétienne". (Adopté par 337 - 7)
Le rapport contient également des thèmes cohérents sur les styles "synodaux" de gouvernance et les activités régulières dans la vie quotidienne de l'Église, soulignant le changement de régime promu par le Synode sur la synodalité.
Ce point est particulièrement mis en évidence en ce qui concerne le rôle des femmes, le rapport exprimant même un appel "urgent" pour que le droit canonique soit modifié afin de permettre aux femmes de jouer un plus grand rôle dans la gouvernance :
Il est urgent de veiller à ce que les femmes puissent participer aux processus de prise de décision et assumer des rôles de responsabilité dans la pastorale et le ministère. Le Saint-Père a considérablement augmenté le nombre de femmes occupant des postes à responsabilité au sein de la Curie romaine. Il devrait en être de même à d'autres niveaux de la vie de l'Église. Le droit canonique devrait être adapté en conséquence. (Adopté par 319 - 27)
Un aperçu de la nouvelle forme potentielle de la compréhension diaconale est donné dans la section 4, qui soutient que "dans le cadre du réexamen du ministère diaconal, qu'il soit encouragé à s'orienter plus fortement vers le service des pauvres". (Adopté par 337 - 7)
Une autre section a noté le "besoin largement répandu de rendre le langage liturgique plus accessible aux fidèles et plus incarné dans la diversité des cultures". (Adopté par 322 - 22)
La concentration actuelle du Vatican sur les questions de changement climatique a également été représentée, avec un appel lancé pour que "les fondements bibliques et théologiques de l'écologie intégrale [soient] plus explicitement et soigneusement intégrés dans l'enseignement, la liturgie et les pratiques de l'Église". (Adopté par 328 - 16)
Identité catholique
Le texte qui traite de la question des migrations met l'accent sur les appels au "respect des traditions liturgiques et des pratiques religieuses des migrants" dans le cadre d'un "accueil authentique", tout en évitant d'insister sur la promotion du catholicisme. Dans un paragraphe faisant l'objet d'un nombre relativement important d'objections, il a été fait mention de la "sensibilité" nécessaire dans les endroits où "la proclamation de l'Evangile a été associée à la colonisation et même au génocide". (Adopté par 312 - 32)
Il a également été fait mention des appels au renforcement du dialogue et de l'unité entre l'Orient et l'Occident, ainsi que de l'accent mis sur l'œcuménisme. À cette fin, le baptême a été une fois de plus mis au service de la "synodalité", le texte déclarant : "Par lui [le baptême], tous les chrétiens participent au sensus fidei et c'est pourquoi ils doivent être écoutés attentivement, quelle que soit leur tradition, comme l'a fait l'Assemblée synodale dans son processus de discernement. Il ne peut y avoir de synodalité sans dimension œcuménique". (Adopté par 316 - 28)
La Sainte Eucharistie a également été considérée et utilisée comme une aide à la "synodalité", des appels ayant été lancés pour que la communion soit donnée aux non-catholiques. L'hospitalité eucharistique a été soulignée comme étant un problème "particulièrement ressenti par les couples interconfessionnels".
La question de l'hospitalité eucharistique (communicatio in sacris) devrait être examinée plus en détail d'un point de vue théologique, canonique et pastoral à la lumière du lien entre la communion sacramentelle et ecclésiale. Cette question est particulièrement ressentie par les couples interconfessionnels. Elle renvoie également à une réflexion plus large sur les mariages mixtes. (Adopté par 321 - 23)
Ministère, diacres et clergé
La demande très attendue de femmes diacres - qui serait en opposition avec l'enseignement de l'Église - n'a pas été formulée dans le rapport de synthèse. Toutefois, le chapitre concerné (9) a fait l'objet de certaines des plus fortes objections lors du vote.
Les discussions sur les femmes diacres ont été résumées comme étant accueillies favorablement par certains comme un retour à "une pratique de l'Église primitive" ou une "réponse nécessaire aux signes des temps, fidèle à la Tradition". Le rapport fait état des objections des catholiques qui se sont fait l'écho de l'enseignement de l'Église selon lequel une telle évolution serait "en discontinuité avec la Tradition". (Adopté 277 - 69)
Le texte appelait également à la poursuite de la " recherche théologique et pastorale " sur le diaconat féminin, et demandait que les résultats des commissions de 2016 et 2020 sur le sujet soient présentés lors de la réunion d'octobre 2024. (Adopté 279 - 67) Par conséquent, bien que le rapport ne contienne aucune déclaration définitive en faveur du diaconat féminin, la condamnation par l'Église du diaconat féminin comme impossible a été apparemment ignorée, et les appels à poursuivre la discussion sur le sujet ont ainsi été encouragés.
Des appels ont également été lancés en faveur de nouveaux ministères pour les laïcs, en particulier pour "l'établissement d'un ministère" pour les couples mariés. (Adopté par 308 - 38)
Le célibat des prêtres, comme indiqué dans ces pages, a été discuté en même temps que le diaconat féminin. Dans cette optique, un appel à une "réflexion plus profonde" sur le diaconat lui-même a été lancé, avec la note que cela pourrait "éclairer la question de l'accès des femmes au diaconat". (Adopté par 285 - 61) Un tel commentaire a été fait en passant par des membres du synode à des journalistes, suggérant qu'une tentative de changer la compréhension du diaconat est en cours, plutôt que de pousser immédiatement à instituer des femmes comme diacres. Si une telle mesure devait prendre effet - instituant effectivement une version laïque du diaconat - il pourrait s'agir d'une tentative des partisans de l'ordination des femmes d'atteindre leur objectif d'une forme de "parité" avec les prêtres, tout en cherchant à éviter une condamnation claire d'être hérétique.
Questions LGBT
Le père James Martin, S.J., a déclaré au journal dissident National Catholic Reporter qu'il était "déçu mais pas surpris" par le résultat pour les catholiques LGBTQ. En effet, le synode avait discuté d'un besoin perçu d'"accueillir" les "divorcés remariés, les personnes dans des mariages polygames, les personnes LGBTQ+ [sic]".
"Il y a eu des points de vue très divergents sur le sujet. J'aurais aimé, cependant, que certaines de ces discussions, qui étaient franches et ouvertes, aient été reprises dans la synthèse finale", a déclaré M. Martin.
Bien que le texte ne défende pas les bénédictions homosexuelles, il affirme que l'Église a une façon dépassée de comprendre les questions LGBT. Il affirme :
Parfois, les catégories anthropologiques que nous avons développées ne sont pas suffisantes pour saisir la complexité des éléments émergeant de l'expérience ou de la connaissance des sciences et nécessitent un affinement et une étude plus approfondie. Il est important de prendre le temps nécessaire à cette réflexion et d'y investir nos meilleures énergies, sans céder à des jugements simplificateurs qui blessent les personnes et le corps de l'Église. (Adopté 307 - 39)
La terminologie "LGBTQ" n'apparaît pas dans le rapport de synthèse, contrairement à l'Instrumentum Laboris qui a guidé les travaux. Il s'agit d'une absence particulièrement notable, compte tenu de la concentration des questions sur le thème de l'homosexualité lors des points de presse quasi-quotidiens.
Interrogé par LifeSiteNews pendant le synode sur les sujets homosexuels dans les discussions synodales, le cardinal Leonardo Steiner, membre votant, a soutenu qu'il y avait un point de vue mitigé sur le sujet des bénédictions homosexuelles, ajoutant que le pape François a prévu que les réunions synodales de l'année prochaine abordent le sujet de manière spécifique.
Mais au fur et à mesure que le temps passait, le message provenant de la table de briefing du bureau de presse était plus succinct : les officiels ont évolué vers une ligne plus unifiée, déclarant que le sujet de l'événement était la "synodalité" et non les bénédictions homosexuelles, ou les femmes diacres, même si les mêmes officiels déclaraient que ces points avaient en fait été discutés le même jour.
Quant aux appels de l'Instrumentum Laboris en faveur d'un "accueil" pour les personnes vivant des relations "polygames", le rapport de synthèse déclare également : "De différentes manières, les personnes qui se sentent marginalisées dans la société ont besoin d'être accueillies dans la société :
De différentes manières, les personnes qui se sentent marginalisées ou exclues de l'Église en raison de leur situation matrimoniale, de leur identité et de leur sexualité demandent également à être entendues et accompagnées, et à ce que leur dignité soit défendue. Un profond sentiment d'amour, de miséricorde et de compassion pour les personnes qui sont ou se sentent blessées ou négligées par l'Église, qui désirent un endroit où rentrer "à la maison" et se sentir en sécurité, être écoutées et respectées, sans craindre d'être jugées. L'écoute est une condition préalable pour marcher ensemble à la recherche de la volonté de Dieu. L'Assemblée réaffirme que les chrétiens ne peuvent pas manquer de respect à la dignité de toute personne. (Adopté par 326 - 20)
Les évêques d'Afrique et de Madagascar ont cependant pris une défense beaucoup plus concrète des polygames. Leur conférence épiscopale a déclaré qu'elle était encouragée "à promouvoir le discernement théologique et pastoral sur la question de la polygamie et l'accompagnement des personnes vivant dans des unions polygames qui viennent à la foi". (Adopté par 303 - 43)
Le Bureau de presse du Saint-Siège a été quelque peu contrarié par les journalistes qui cherchaient des textes plus radicaux soutenant les questions LGBT. Mais le cardinal Mario Grech, secrétaire général du Secrétariat général du Synode, a défendu le texte, affirmant que tous les paragraphes avaient obtenu la majorité des deux tiers requise.
La synodalité pour l'avenir
Alors que le Synode sur la synodalité doit s'achever en octobre 2024, le cardinal Hollerich a laissé entendre une nouvelle fois que le processus ne s'arrêterait probablement pas là. "Le processus commence vraiment à la fin du processus", a-t-il déclaré aux journalistes lors de la présentation du rapport de synthèse.
Il s'est félicité du fait qu'une "Église synodale s'efforcera plus facilement que par le passé de parler de ces sujets [sujets controversés]".
Le rapport de synthèse est maintenant confié aux conférences épiscopales du monde entier, qui sont chargées de le promouvoir auprès des congrégations dont elles ont la charge. Les participants à la réunion d'octobre se retrouveront au Vatican en octobre prochain pour la deuxième session du synode sur la synodalité. D'éminents cardinaux et responsables synodaux ont laissé entendre que des décisions et des propositions plus concrètes émergeraient probablement de la session de 2024.
Pour ceux qui attendaient des déclarations définitives approuvant les bénédictions homosexuelles ou l'ordination des femmes - qui violeraient toutes deux la doctrine catholique -, ces espoirs auront été déçus. Cependant, de manière moins visible, le rapport de synthèse du synode présente un projet d'altération radicale de la vie quotidienne de l'Église, dans la mesure où il refuse de présenter l'enseignement de l'Église sur les questions morales controversées et plaide en faveur d'une démocratie de style parlementaire d'égalité entre les laïcs et le clergé, et poursuit le processus d'affaiblissement de l'autorité des évêques.
Le Synode sur la synodalité se déroule à nouveau au niveau local, et les inquiétudes des catholiques fidèles ne faiblissent pas.
SOURCE :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?
LA PAPE FRANÇOIS RÉAFFIRME L'ENSEIGNEMENT CATHOLIQUES CONCERNANT LES FEMMES DIACRES : "LES ORDRES SONT RÉSERVÉS AUX HOMMES" !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le pape François réaffirme l'enseignement catholique concernant les femmes diacres : "Les ordres sont réservés aux hommes". La réaffirmation par le pape François de l'enseignement de l'Église catholique interdisant l'ordination des femmes constitue une surprise, alors que le Synode discute du même sujet.
28 octobre 2023
VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) - Le pape François a affirmé l'enseignement catholique selon lequel les femmes diacres et l'ordination féminine sous quelque forme que ce soit ne sont pas possibles, déclarant que "les ordres sacrés sont réservés aux hommes".
En ce qui concerne les femmes prêtres, François a déclaré qu'il s'agissait d'un "problème théologique" qui, si l'on tentait d'inclure des femmes dans le ministère sacerdotal, pourrait "miner l'essence de l'Église".
Ces commentaires ont été faits dans le cadre d'un long entretien avec deux journalistes : L'Argentin Sergio Rubin et l'Italienne Francesca Ambrogetti. Leur livre "Non sei solo" (Vous n'êtes pas seul) a été publié en italien mardi, mais a été publié en espagnol au début de l'année.
Une femme "n'a pas droit au principe pétrinien, mais au principe marial, qui est plus important", a déclaré François. "Le fait que la femme n'accède pas à la vie ministérielle n'est donc pas une privation, car sa place est beaucoup plus importante. Je crois que dans notre catéchèse, nous nous trompons en expliquant ces choses et nous nous rabattons en fin de compte sur un critère administratif qui, à long terme, ne fonctionne pas.
Le pape a fait allusion à l'argument très mal interprété des femmes diacres dans l'Église primitive - un argument qui est souvent utilisé aujourd'hui par des activistes qui suggèrent à tort que les femmes ont été ordonnées. Le fait qu'elles aient été ordonnées ou qu'elles aient simplement aidé les évêques n'est pas "une question sans importance car les ordres sacrés sont réservés aux hommes", a déclaré François.
Il a affirmé que "le diaconat est le premier degré des ordres sacrés dans l'Église catholique, suivi du sacerdoce et enfin de l'épiscopat".
"Les diacres peuvent prêcher, administrer le baptême, célébrer des mariages et donner des bénédictions, mais ils ne peuvent pas célébrer la messe, entendre les confessions ou donner les derniers sacrements", a déclaré François.
Il a fait valoir que si les femmes ne pouvaient pas devenir diacres ou prêtres, elles fournissaient certains des "meilleurs" rapports sur les candidats à la prêtrise, déterminant ainsi l'avenir des séminaristes.
Interrogé sur la question de savoir si la mise en place d'ordinands de sexe féminin pourrait stimuler la fréquentation de l'Église, François a déclaré qu'il n'était pas d'accord.
"Je ne partage pas ces arguments. Les luthériens ordonnent des femmes, mais peu de gens vont à l'église", a-t-il déclaré. "Leurs prêtres sont autorisés à se marier, mais ils ne parviennent toujours pas à augmenter le nombre de leurs ministres.
Il a affirmé que "le problème est culturel" et que "nous ne devrions pas être naïfs et penser que des changements programmatiques nous apporteront la solution".
Le pape a ajouté que "les simples réformes ecclésiastiques ne servent pas à résoudre les problèmes sous-jacents" et qu'il fallait plutôt rechercher l'efficacité des "changements paradigmatiques".
Les commentaires du pape sont peut-être surprenants compte tenu du contenu des discussions du synode sur la synodalité, au cours desquelles la question des femmes diacres a été abordée. Il semble que les arguments en faveur des femmes diacres aient été mis en avant dans certains milieux, en particulier parmi les membres féminins et laïcs du synode.
Toutefois, lors d'une conférence de presse tenue le 25 octobre, le cardinal Robert Prevost, préfet du dicastère pour les évêques, a minimisé les suggestions selon lesquelles le synode aboutirait à la mise en place de femmes diacres. Le cardinal récemment créé a noté que "la tradition apostolique a été très clairement énoncée sur l'ordination des femmes".
Faisant écho aux propos du pape, il a déclaré que "la cléricalisation des femmes ne résout pas nécessairement les problèmes" dans l'Église, estimant que "nous devons peut-être envisager une nouvelle conception du leadership, du pouvoir et du service dans l'Église, en tenant compte des différentes perspectives qui peuvent être apportées à l'Église par les femmes et les hommes".
M. Prevost a également souligné que les normes de la société n'étaient pas des normes ecclésiales et qu'il ne s'agissait pas "d'une simple évidence parce que dans la société, les femmes peuvent avoir de nombreux types de rôles différents, nous n'avons pas de parallèle immédiat pour dire dans l'Église 'par conséquent'".
"Ce n'est pas aussi simple que de dire qu'à ce stade, nous allons changer la tradition de l'Église, étendue depuis 2000 ans à ce stade", a noté M. Prevost.
François a ouvert la porte à la confusion sur la question dans le passé en établissant deux commissions pour discuter du sujet des femmes diacres. La première était une commission de 12 membres pour étudier la question des femmes diacres en août 2016, la commission comprenant un grand défenseur de l'ordination des femmes diacres et avec le cardinal Luis Ladaria Ferrer comme président. La seconde a été mise en place en 2020, dans la perspective du synode amazonien de 2019.
Leurs rapports n'ont pas encore été publiés.
Les diacres de l'Église primitive ?
Maike Hickson a déjà noté sur OnePeterFive que "les femmes diacres n'étaient pas ordonnées sacramentellement, étaient exclues de tout rôle dans la liturgie et ne peuvent donc pas être comparées à une femme diacre ordonnée sacramentellement comme le proposent le cardinal (Christophe) Schönborn et d'autres".
Dans sa lettre apostolique Ordinatio Sacerdotalis de 1994, le pape Jean-Paul II a écrit : "Je déclare que l'Église n'a aucune autorité pour conférer l'ordination sacerdotale à des femmes et que ce jugement doit être définitivement tenu par tous les fidèles de l'Église".
En 2002, la Commission théologique internationale du Vatican a écrit, après une longue étude, que
Les diaconesses mentionnées dans la tradition de l'Église ancienne - comme en témoignent le rite d'institution et les fonctions qu'elles exerçaient - n'étaient pas purement et simplement équivalentes aux diacres ;
L'unité du sacrement de l'ordre, dans la distinction claire entre les ministères de l'évêque et des prêtres d'une part et le ministère diaconal d'autre part, est fortement soulignée par la tradition ecclésiale, en particulier dans l'enseignement du Magistère.
En 2018, l'actuel préfet de la CDF, le cardinal Ladaria Ferrer S.J., a défendu l'enseignement de l'Ordinatio sacerdotalis comme portant la marque de l'"infaillibilité", Jean-Paul II ayant "confirmé formellement et rendu explicite, de manière à éliminer tout doute, ce que le Magistère ordinaire et universel a longtemps considéré au cours de l'histoire comme appartenant au dépôt de la foi".
L'enseignement catholique se poursuit
Les réunions du Synode sur la synodalité de 2023 se terminant ce week-end, aucune conclusion ferme ne sera tirée de la réunion, et bien que des appels à l'ordination des femmes puissent encore être lancés par les participants, les responsables du synode ont toujours indiqué que tout "changement" devrait être attendu lors des réunions synodales d'octobre 2024.
Il reste à voir si les groupes de pression en faveur de l'ordination des femmes exercent une forte pression d'ici à octobre 2024, et si les deux commissions chargées d'étudier le sujet rendront peut-être leurs conclusions à temps pour les prochaines réunions du synode.
Toutefois, indépendamment de ces pressions, l'Église catholique a déjà clairement énoncé les enseignements immuables interdisant l'ordination des femmes.
Le pape polonais a également cité la lettre de 1975 du pape Paul VI à l'archevêque anglican de Canterbury, dans laquelle le pape écrivait que "l'exclusion des femmes de la prêtrise est conforme au plan de Dieu pour son Église".
Plus récemment, le cardinal Gerhard Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, s'est entretenu avec M. Hickson sur la question de l'ordination des femmes, en apportant une clarification catégorique sur l'interdiction catholique de nommer des femmes prêtres ou diacres :
"Il est cependant certain que cette décision définitive du pape Jean-Paul II est bien un dogme de la foi de l'Église catholique et que c'était déjà le cas avant que ce pape ne définisse cette vérité contenue dans l'Apocalypse en 1994. L'impossibilité pour une femme de recevoir validement le sacrement de l'ordre dans chacun des trois degrés est une vérité contenue dans la Révélation et elle est donc infailliblement confirmée par le Magistère de l'Église et présentée comme devant être crue".
SOURCE :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Page 26 sur 29 • 1 ... 14 ... 25, 26, 27, 28, 29
Sujets similaires
» Prochaine étape en 2017 : Des prêtres mariés
» Les prêtres mariés, une certitude selon l'Évêque Kohlgraf !
» A l’automne, le pape François introduira des prêtres mariés
» de nouveau consacrez vos familles à mon Cœur et au Cœur de mon Fils Jésus
» François a déclaré que l’Eglise devait étudier la possibilité d’ordonner prêtres des hommes mariés.
» Les prêtres mariés, une certitude selon l'Évêque Kohlgraf !
» A l’automne, le pape François introduira des prêtres mariés
» de nouveau consacrez vos familles à mon Cœur et au Cœur de mon Fils Jésus
» François a déclaré que l’Eglise devait étudier la possibilité d’ordonner prêtres des hommes mariés.
Page 26 sur 29
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum