Rallumer le feu (message de Jésus à Mgr Ottavio Michelini).
Viens, Seigneur Jésus ! :: Messages du Ciel : Apparitions récentes et anciennes :: Mgr Ottavio Michelini (Italie)
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Rallumer le feu (message de Jésus à Mgr Ottavio Michelini).
14 décembre 1975
Je te bénis.
( Source : Les Editions du Parvis - Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles - 1990 - chapitre 62, pages 123/125).
Plusieurs fois, Je t'ai parlé de l'amour et avec insistance Je suis revenu sur ce sujet. Ceci répond à la logique; c'est un sujet inépuisable, parce qu'inépuisable Je suis, Moi l'Amour.
J'ai donné aux hommes un commandement nouveau, synthèse de toute la loi. J'ai donné à l'humanité la clé du bonheur. En fait, si les hommes mettaient en pratique mon commandement, la terre serait transformée en antichambre du paradis. Au paradis, c'est le triomphe de l'Amour.
Moi, Je suis l'Amour, et de Moi vivent toutes les âmes. La perfection de la vie sur la terre est donnée par le degré d'intensité avec lequel les âmes m'aiment, Moi, et avec Moi aiment leurs frères. On est d'autant plus parfait et saint qu'on aime davantage. Dans l'amour vrai, c'est-à-dire dans mon amour, réside la raison d'être de la vie, l'authentique joie de la vie.
J'ai donné aux hommes un commandement nouveau, synthèse de toute la loi. J'ai donné à l'humanité la clé du bonheur. En fait, si les hommes mettaient en pratique mon commandement, la terre serait transformée en antichambre du paradis. Au paradis, c'est le triomphe de l'Amour.
Moi, Je suis l'Amour, et de Moi vivent toutes les âmes. La perfection de la vie sur la terre est donnée par le degré d'intensité avec lequel les âmes m'aiment, Moi, et avec Moi aiment leurs frères. On est d'autant plus parfait et saint qu'on aime davantage. Dans l'amour vrai, c'est-à-dire dans mon amour, réside la raison d'être de la vie, l'authentique joie de la vie.
Le don de la liberté
Efforce-toi, fils, d'imaginer la vie de l'homme sans un brin d'amour ! Que serait-elle sinon une chose sombre et désespérée, aride et inféconde, sans jamais un sourire (le sourire est le commencement d'un acte d'amour), sans un rayon de lumière ? C'est la vie des démons, c'est la vie des damnés. C'est la vie de ceux qui se laissent entraîner par les esprits mauvais, qui sont orgueil, haine, désespoir, envie, jalousie et soif inextinguible du mal. Ces esprits damnés, rongés par le cuisant besoin d'opérer le mal, sont ouvriers d'iniquité, fomentateurs de violence, de blasphèmes, de haines et de divisions, d'hérésies, d'obscénités et de tout ce qu'il y a encore de mal dans l'univers.
Au contraire, l'amour est ardeur pour le bien, est générateur de bien, est transport irrésistible de l'âme envers Dieu et envers ses frères. L'amour est un sentiment mystérieux qui a sa source en Dieu et, comme une flèche projetée par un arc, se dirige vers les âmes qui sont l'objet de l'amour.
Les âmes sont d'une nature différente de la matière, à laquelle, sur terre, elles sont unies. L'âme est le souffle divin qui donne vie à la matière; l'âme, par là, ressemble à Dieu. Libre et intelligente, elle peut accepter l’amour ou le refuser ; elle peut l’accepter dans une mesure et à des degrés divers.
Le soleil projette ses rayons , sa lumière et sa chaleur sur les corps qui sont dans son orbite, et les corps, des plus nobles aux plus vils, reçoivent le rayonnement solaire sans s'y refuser et sans contaminer la lumière ni la chaleur. Mais pour les âmes, il n'en va pas ainsi. Les âmes peuvent renoncer à l'amour et opter pour la haine, elles peuvent renoncer à la lumière et opter pour les ténèbres, elles peuvent renoncer au bien et opter pour le mal.
Si les hommes comprenaient le don de la liberté ! Si les hommes comprenaient ce que renferme en lui ce don : choisir un bonheur éternel qu'aucune langue ne peut décrire et que seul le Père peut donner, ou bien choisir un malheur que l'homme pèlerin sur la terre ne peut imaginer.
Au contraire, l'amour est ardeur pour le bien, est générateur de bien, est transport irrésistible de l'âme envers Dieu et envers ses frères. L'amour est un sentiment mystérieux qui a sa source en Dieu et, comme une flèche projetée par un arc, se dirige vers les âmes qui sont l'objet de l'amour.
Les âmes sont d'une nature différente de la matière, à laquelle, sur terre, elles sont unies. L'âme est le souffle divin qui donne vie à la matière; l'âme, par là, ressemble à Dieu. Libre et intelligente, elle peut accepter l’amour ou le refuser ; elle peut l’accepter dans une mesure et à des degrés divers.
Le soleil projette ses rayons , sa lumière et sa chaleur sur les corps qui sont dans son orbite, et les corps, des plus nobles aux plus vils, reçoivent le rayonnement solaire sans s'y refuser et sans contaminer la lumière ni la chaleur. Mais pour les âmes, il n'en va pas ainsi. Les âmes peuvent renoncer à l'amour et opter pour la haine, elles peuvent renoncer à la lumière et opter pour les ténèbres, elles peuvent renoncer au bien et opter pour le mal.
Si les hommes comprenaient le don de la liberté ! Si les hommes comprenaient ce que renferme en lui ce don : choisir un bonheur éternel qu'aucune langue ne peut décrire et que seul le Père peut donner, ou bien choisir un malheur que l'homme pèlerin sur la terre ne peut imaginer.
Ils refusent l'amour
Dans l'humanité itinérante, il n'y a pas encore d'amour parfait : cet amour parfait consiste dans l'amour de Dieu et dans l'amour de nos frères plus que rien au monde. C'est le commandement nouveau, librement accepté et vécu au degré le plus haut d'intensité.
Cette perfection de l'amour s'atteint et se parfait au paradis. Le degré de gloire correspond à ce degré d'amour : plus intense est l'amour atteint, plus haut est le degré de gloire. Pourquoi les hommes refusent-ils l'amour ? Pourquoi les hommes ne savent-ils pas apprécier le bien le plus grand pour lequel ils ont été créés ? En ce domaine aussi, de graves responsabilités pèsent sur la conscience de mes prêtres. Si ceux qui sont affectés à l'alimentation des hauts-fourneaux dans les aciéries cessent d'alimenter le feu, tout s'arrête : le feu s'éteint dans les hauts-fourneaux et toute activité s'arrête dans l'établissement. Vous pouvez en dire autant pour les grandes centrales thermo-électriques.
L'amour peut être comparé au feu, de quelque nature qu'il soit, qui alimente l'aciérie ou la grande centrale. Si le feu cesse, la vie s'arrête aussi.
Dans mon Eglise, beaucoup de hauts-fourneaux se sont éteints. Chaque évêque et chaque prêtre doit être un haut-fourneau incandescent qui dégage chaleur et énergie spirituelle par la sainteté de sa vie, par la puissance de la grâce divine, par la Parole divine. Mais si ces hauts-fourneaux ne sont pas alimentés, en eux et dans leur communauté s'éteint petit à petit la Vie. L'Eglise souffre de ce triste mal.
Cette perfection de l'amour s'atteint et se parfait au paradis. Le degré de gloire correspond à ce degré d'amour : plus intense est l'amour atteint, plus haut est le degré de gloire. Pourquoi les hommes refusent-ils l'amour ? Pourquoi les hommes ne savent-ils pas apprécier le bien le plus grand pour lequel ils ont été créés ? En ce domaine aussi, de graves responsabilités pèsent sur la conscience de mes prêtres. Si ceux qui sont affectés à l'alimentation des hauts-fourneaux dans les aciéries cessent d'alimenter le feu, tout s'arrête : le feu s'éteint dans les hauts-fourneaux et toute activité s'arrête dans l'établissement. Vous pouvez en dire autant pour les grandes centrales thermo-électriques.
L'amour peut être comparé au feu, de quelque nature qu'il soit, qui alimente l'aciérie ou la grande centrale. Si le feu cesse, la vie s'arrête aussi.
Dans mon Eglise, beaucoup de hauts-fourneaux se sont éteints. Chaque évêque et chaque prêtre doit être un haut-fourneau incandescent qui dégage chaleur et énergie spirituelle par la sainteté de sa vie, par la puissance de la grâce divine, par la Parole divine. Mais si ces hauts-fourneaux ne sont pas alimentés, en eux et dans leur communauté s'éteint petit à petit la Vie. L'Eglise souffre de ce triste mal.
Le vrai problème
Quel miracle merveilleux s'accomplirait, quels prodiges verrait le monde si les évêques appelaient autour d'eux leurs prêtres, et avec une humilité vraie (comme Moi Je la leur ai enseignée et sans laquelle il n'y a pas d'authentique vitalité intérieure), convenaient ensemble de rallumer en eux- mêmes le feu de l'amour, pour le communiquer ensuite à leurs fils et frères.
Oh, si, mettant de côté ces choses qui servent si peu au salut des âmes, ils se consacraient entièrement au vrai problème de l'Eglise, celui d'endiguer et de contrecarrer l'offensive déchaînée par les forces de l'enfer, en utilisant et en affilant les armes, tombées en désuétude, de la pénitence intérieure et extérieure, en marchant devant Moi dans l'obéissance à mon Vicaire et à la hiérarchie, dans la pauvreté évangélique, ce monde pourrait encore être sauvé de l'éboulement qui le menace. Mais on ne peut prier, on ne peut se mortifier, on ne peut accepter la souffrance si l'on ne croit pas et si l'on n'aime pas.
Nous voici encore, mon fils, arrivés au cœur du problème : il y a crise de la foi. Et nécessairement, il y a crise d'amour.
Beaucoup parlent d'amour, mais en réalité il y a peu d'âmes où il brûle vraiment. La crise de la foi a éteint beaucoup de hauts-fourneaux dans l'Eglise elle-même. Il faut les rallumer sans perdre de temps, afin que la Vie divine reflue dans les âmes.
Fils, prie et fais prier les âmes ferventes. S'offrir avec générosité à mon Cœur miséricordieux et au Cœur Immaculé de ma Mère et la vôtre, veut dire rallumer le feu, là où il y a le froid et le gel de la mort.
Oh, si, mettant de côté ces choses qui servent si peu au salut des âmes, ils se consacraient entièrement au vrai problème de l'Eglise, celui d'endiguer et de contrecarrer l'offensive déchaînée par les forces de l'enfer, en utilisant et en affilant les armes, tombées en désuétude, de la pénitence intérieure et extérieure, en marchant devant Moi dans l'obéissance à mon Vicaire et à la hiérarchie, dans la pauvreté évangélique, ce monde pourrait encore être sauvé de l'éboulement qui le menace. Mais on ne peut prier, on ne peut se mortifier, on ne peut accepter la souffrance si l'on ne croit pas et si l'on n'aime pas.
Nous voici encore, mon fils, arrivés au cœur du problème : il y a crise de la foi. Et nécessairement, il y a crise d'amour.
Beaucoup parlent d'amour, mais en réalité il y a peu d'âmes où il brûle vraiment. La crise de la foi a éteint beaucoup de hauts-fourneaux dans l'Eglise elle-même. Il faut les rallumer sans perdre de temps, afin que la Vie divine reflue dans les âmes.
Fils, prie et fais prier les âmes ferventes. S'offrir avec générosité à mon Cœur miséricordieux et au Cœur Immaculé de ma Mère et la vôtre, veut dire rallumer le feu, là où il y a le froid et le gel de la mort.
Je te bénis.
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