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La Grèce sera le catalyseur qui fournira le prétexte pour faire tomber Babylone.

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Message  Ginou Saliba Dim 12 Juil 2015 - 19:25

@Tous:

Les prophéties s'accomplissent, les informations se bousculent. On ne pourrait jamais relayer toutes les informations sur le Forum, car il y en a beaucoup trop. Mais de grâce, informez-vous dans les médias alternatifs, et apprenez à lire entre les lignes, car il n'y a presque plus rien de cache. Merci mon Dieu de nous avoir révéler ces choses, nous les petits et humbles.

Préparez -vous, il est déjà trop tard! Effrayé

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Message  Admin Lun 13 Juil 2015 - 9:33

@ RobertAdelaide :

:D\'Acc

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Message  Admin Lun 13 Juil 2015 - 9:34

@ Ginou Saliba :

Trinquer

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Message  Admin Mar 14 Juil 2015 - 10:40

LA GRÈCE RESTE DANS L'EURO, MAIS À QUL PRIX ?


La Grèce sera le catalyseur qui fournira le prétexte pour faire tomber Babylone. - Page 10 Sans-t15


(13 juillet 2015) - On va tenter d’analyser un peu, car au sujet de la Grèce au niveau des informations, c’est un feu d’artifice digne d’un 14 Juillet à Paris (pour présenter une métaphore convenable), on entend tout et n’importe quoi, surtout à la télévision (j’ai testé pour vous…). Tsipras est présenté comme quelqu’un ayant ouvertement et largement trahi son peuple, mais que pouvait-il faire d’autre? Si on reprend l’excellente analyse de Pierre-Yves Rougeyron, Tsipras ne souhaite pas non plus être celui qui provoquera l’explosion de la zone euro, et nous le savons bien, l’euro finira par exploser créant au passage un chaos assez phénoménal! Rappelez-vous de cela: « entre 1918 et 2012 quelque 67 unions monétaires ont volé en éclat« , il n’y a pas de contre-exemple, et l’euro ne survivra pas lui non plus. À noter également:  » 71 États en défauts de paiement entre 1975 et 2006« .  Donc, qu’on le veuille ou non, l’avenir s’annonce plus que délicat, et Tsipras ne souhaite pas être tenu responsable de cela. Il faut bien savoir qu’il n’est pas totalement libre de choix non plus, et nous ne savons pas à quoi il a réellement été confronté durant ces derniers jours. Souvenez-vous des Mistrals, Glandouille 1er n’a eu aucune liberté de choix, il a quand-même subit des pressions de la part de l’OTAN et donc plus ou moins directement des Etats-Unis, alors Tsipras, il avait quel choix?

Au niveau des actus, nous avons également Hollande présenté comme étant le grand vainqueur par Valls et certains médias,celui grâce à qui les négociations auraient réussi (interdit de rire!!!), ce qui est très loin d’être l’opinion de Marine Le Pen qui aurait préféré une sortie de l’euro, et pour qui Hollande ment (ce qui n’est vraiment pas faux). Au final, en voyant le « merdier phénoménal » (excusez-moi du terme…) européen, et vu que nombre de vérités ont éclaté sur la véritable nature de l’Union Européenne, l’Autriche se rapproche d’un référendum OBLIGATOIRE pour quitter la zone euro, quand à la Bulgarie, elle ne veut tout simplement plus rejoindre le cauchemar européen!

Et le Grexit alors? De simples menaces qui n’auraient jamais abouties, comme déjà expliqué: on ne vire pas la « poule aux oeufs d’or » qui un jour produira suffisamment d’or et d’hydrocarbures pour dépanner financièrement les « maîtres du jeu » et donc la finance, qui n’ont qu’un seul but: dépouiller le plus possible les pays européens.

La Grèce et ses créanciers sont parvenus, lundi 13 juillet au matin, à un accord pour sauver le pays d’une inévitable banqueroute. Athènes a accepté beaucoup de sacrifices pour rester dans l’euro… plus que ce qu’elle pouvait sans doute imaginer.

A la sortie d’une nuit blanche et de 17 heures de négociations visant à renflouer les caisses vides de son pays, le chef du gouvernement grec, Alexis Tsipras, s’est exprimé brièvement devant la presse : «Le gouvernement grec a livré jusqu’au bout un combat juste, qui a débouché sur un accord difficile mais [qui garantit] la stabilité financière et la relance en Grèce».

Dans les faits, en apposant lundi 13 juillet au matin son paraphe sur le document commun accordant à la Grèce un nouveau prêt de 80 milliards d’euros, le leader de Syriza vient de reprendre à son compte l’ensemble des requêtes formulées par ses créanciers (FMI, BCE, UE) depuis des mois – et contre lesquelles il avait fait campagne – allant même jusqu’à approuver une perte de souveraineté de son pays au profit de la Commission européenne.

◾️Quelles réformes  attendent concrètement les Grecs ? Selon les termes de l’accord qui a été rendu public lundi 13 juillet dans la matinée, Athènes s’engage essentiellement à augmenter la TVA, à réformer drastiquement son système de pensions de retraites et à adopter un nouveau code civil afin de réduire les coûts en matière de justice. Le pays devra par ailleurs remettre à plat son marché du travail, «en suivant les recommandations émises dans la boîte à outils de l’OCDE». Les points évoqués dans le texte, et qui visent à aligner la Grèce sur de «meilleures pratiques internationale et européenne», concernent les ouvertures dominicales, les périodes de soldes, la transformation des professions réglementées, etc. Enfin, l’administration grecque sera également réformée. Ces mesures, qui avaient pourtant été rejetées par le gouvernement Tsipras le 26 juin puis par 61% des Grecs le 5 juillet lors du référendum, seront donc votées et mises en oeuvre par Athènes dans les jours qui viennent.

Flèche

◾️Quelles nouveautés ? Pour l’économiste français Henri Sterdyniac, le compromis signé lundi matin par les Grecs est «pire que ce qu’il y avait sur la table il y a 15 jours. On assiste ici à une vengeance de l’Allemagne, qui n’a pas digéré le référendum grec». Les Européens ont en effet «durci» le ton en imposant désormais à Athènes un lourd programme de privatisations. Le pays est donc contraint de céder une bonne part de ses infrastructures liées au transport (port, etc) et à l’énergie pour ramener de l’argent frais. Les actifs ainsi dégagés – 50 milliards d’euros sont attendus – seront regroupés au sein d’un fonds indépendant, géré depuis Athènes. Jusqu’au bout de la nuit, l’Allemagne a pourtant plaidé pour que les actifs grecs soient administrés depuis le Luxembourg, mais n’a finalement pas obtenu gain de cause sur ce point. Par ailleurs, selon l’accord nombre de décisions économiques, prises en Grèce seront désormais directement soumises à l’approbation des institutions européennes. Pour Henri Sterdyniac la Grèce perd ici «une grande partie de son indépendance et sera gérée depuis la Commission à Bruxelles».

◾️Le FMI, bête noire des Grecs, reste-t-il dans la boucle ? Selon le texte visé ce matin, la Grèce sera dans l’obligation de renégocier avec le fonds monétaire international en mars 2016 à l’échéance du troisième plan d’aide délivré par les Européens lundi. Un nouvel échec pour Athènes qui souhaitait sortir le FMI de la liste de ses créanciers. Le fonds, dirigé par Christine Lagarde, est perçu par de nombreux Grecs comme la cause principale de leurs maux actuels. Le gouvernement Tispras a d’ailleurs prêté au FMI une «responsabilité criminelle» dans la crise que traverse le pays.

◾️Quel avenir pour la Grèce ? Que faire de sa dette ? Outre la cure d’austérité que les Grecs s’apprêtent à vivre, et la probable crise politique à venir, l’avenir financier de l’état hellène n’est pas pour autant assuré, malgré l’accord conséquent que le pays vient de sceller avec l’Europe. En effet, Athènes doit d’ici demain rembourser une dette de 146 millions d’euros à l’un de ses créanciers privés et ce alors que ses caisses sont vides. Un nouvel échec à honorer un remboursement de la part d’Athènes pourrait lui fermer les portes des marchés financiers pour des années. Et faute de pouvoir s’y financer dans l’avenir -comme les autres pays- Athènes risque d’accroître encore un peu plus sa dépendance financière vis-à-vis de Bruxelles, d’autant plus que les partenaires européens ont refusé d’effacer une partie de sa colossale dette (315 milliards d’euros), l’empêchant ainsi de reprendre pied financièrement. Pour l’économiste Henri Sterdyniac : «Athènes va être forcée de vendre à bas prix nombre de ses infrastructures -notamment aux Allemands qui vont se payer des pans entiers de l’économie grecque- ce qui représente une lourde menace pour l’avenir du pays… Malheur donc aux vaincus !».

SOURCE : http://lesmoutonsenrages.fr/2015/07/13/la-grece-reste-dans-leuro-mais-a-quel-prix/

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Message  stjeanlagneau Mer 15 Juil 2015 - 16:07



@ tous
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Message  Admin Jeu 16 Juil 2015 - 11:03

LES GRECS N'ONT PLUS ACCÈS À LEUR COFFRE EN AGENCE BANCAIRE !


La Grèce sera le catalyseur qui fournira le prétexte pour faire tomber Babylone. - Page 10 Sans-t16


(16 juillet 2015) - Les experts en vue qui interviennent dans les médias financiers alternatifs sont unanimes : si vous décidez d’acheter de l’or et de l’argent ou de retirer votre argent en dépôt et que vous ne désirez pas le conserver chez vous pour des raisons de sécurité compréhensibles, il ne faut surtout pas le placer dans un coffre à la banque. Car si le cambriolage en règle est très improbable, la confiscation (temporaire ou définitive) ou le vol ne sont pas à exclure. Et si vous en doutez, le cas grec vous fera vite changer d’avis.

Si la presse lambda a amplement parlé des mesures de contrôle des capitaux qui ont été mises en place voilà maintenant plus de 2 semaines, elle n’a pas évoqué le fait que depuis cette date, les Grecs qui louent un coffre à leur banque non plus l’accès à celui-ci (article de GoldCore) :

« Un contrôle des capitaux a été mis en place en Grèce depuis le début du mois afin de protéger les banques de retraits massifs de la part de Grecs de plus en plus nerveux. Ceux-ci avaient raison de se faire du mouron pour leurs économies de crainte d’un effondrement bancaire engendrant la perte de leur épargne via des confiscations ou une opération de renflouement interne.

De nombreux Grecs ont également retiré leur argent de peur d’un retour forcé à la drachme. Cependant, beaucoup de gens ignorent que ceux qui avaient retiré leur argent papier pour le convertir en or et en argent physique ou le stocker dans un coffre à la banque ont également été pris dans le contrôle des capitaux draconien qui a été instauré.

Cela fait des années que nous soulevons ce risque. Pas plus tard qu’en avril dernier nous avions expliqué pourquoi les gens doivent éviter d’utiliser les coffres bancaires.

« Les Grecs ne pourront pas retirer l’argent qui se trouve dans leur coffre à la banque tant que les restrictions sur les mouvements des capitaux seront en place » a expliqué Nadia Valavani du ministère des Finances grecques à une télévision locale et dont Reuters s’est fait l’écho.

L’article n’a pas reçu beaucoup d’attention alors qu’il été publié dans la section « Obligations » de Reuters, qui n’est pas la plus populaire et qui plus est un dimanche après-midi. (…)

Cette interdiction soulève le risque de la confiscation

Il est difficilement compréhensible que l’argent liquide situé dans un coffre, aussi largement utilisé pour entreposer de l’or et de l’argent physique ainsi que d’autres objets précieux, fasse l’objet des mesures de contrôle des capitaux dont l’objectif est d’éviter un bank run.

Cet argent ne se trouve pas dans le système bancaire, son utilisation n’aurait donc aucun impact négatif sur celui-ci. En fait, la mise en circulation de cet argent dans le circuit économique serait bénéfique pour l’ensemble du système.

La seule raison qui explique pourquoi l’argent liquide des coffres est également soumis au contrôle des capitaux, des mesures prises en concertation entre le gouvernement et les banques, s’explique par le fait que ces entités se réservent le droit de confisquer le contenu de ces coffres en cas d’aggravation de la crise.

La guerre à petite échelle qui est menée contre l’argent liquide et l’or semble s’intensifier. Les gouvernements vont probablement prendre des mesures pour empêcher les épargnants et les investisseurs de retirer leur argent de la banque pour le mettre en coffre. Cette décision a peut-être cet objectif en vue.

Les coffres que les banques louent sont très pratiques pour conserver une petite quantité de métal. Cependant, comme le cas grec l’illustre, l’aspect pratique et l’accessibilité en théorie aisée d’un coffre à votre agence bancaire peuvent s’avérer être une illusion : le gouvernement et les banques peuvent s’approprier son contenu d’une simple signature.

Croire que la Grèce est un cas exceptionnel serait naïf. C’est en tout cas l’opinion de Marc Faber, qui a d’ailleurs averti récemment Bloomberg que nous allions bientôt vivre une expérience similaire en raison du surendettement massif de la planète. Ce même avis a été émis durant ces derniers mois par des observateurs bien placés de HSBC, Goldman Sachs et Fidelity. (…)

La BCE, qui a désormais droit de vie et de mort sur la Grèce, a placé SYRIZA dans une situation intenable. Mais il ne faut pas oublier que Mario Draghi, avant d’arriver à la tête de la BCE, venait de Goldman Sachs malgré le fait que cette banque ait aidé le gouvernement grec à trafiquer ses comptes pour que le pays puisse rejoindre l’Union européenne. Certains affirment même que c’est Draghi lui-même qui s’est chargé de cette opération même s’il a démenti. (…)

Comme nous le répétons régulièrement, l’or, l’argent métal et l’argent liquide avec garde dans le système bancaire n’offre aucune sécurité en cas de crise. Les investisseurs doivent garder leurs métaux précieux dans des coffres en dehors du système bancaire. (…) »

SOURCE :

http://lesmoutonsenrages.fr/2015/07/16/les-grecs-nont-plus-acces-a-leur-coffre-en-agence-bancaire-et-cela-sera-bientot-notre-tour/#more-84236

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Message  antoine Sam 18 Juil 2015 - 8:20

La mère d'Alexis Tsipras s'inquiète pour sa santé
HOME ECONOMIE FLASH ECO
Par Lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 18/07/2015 à 14:10 Publié le 18/07/2015 à 14:05
Le premier ministre grec Alexis Tsipras, qui tente de sauver le pays d'une sortie de l'euro, "ne mange plus, ne dort plus", s'inquiète sa mère dans une interview parue samedi. "Dernièrement Alexis ne mange plus, ne dort plus, mais il n'a pas le choix, il a une dette envers le peuple qui lui a fait confiance", raconte Aristi Tsipras, 73 ans, à l'hebdomadaire people Parapolitika.

"Je ne le vois plus que rarement. Il va de l'aéroport au Parlement. Il n'a pas le temps de voir ses propres enfants, comment pourrait-il me voir moi ?", demande Mme Tsipras. "Lorsque nous nous parlons, je lui dis de faire de son mieux pour le pays et de faire attention à lui. Il me dit de ne pas m'inquiéter, que tout va bien se passer", dit-elle encore.

Le jeune premier ministre, âgé de 40 ans, vient de traverser plusieurs semaines particulièrement éprouvantes, qui l'ont vu affronter autant la franche défiance de certains partenaires européens de la Grèce, qu'une fronde au sein de son propre parti Syriza.

Des photos l'ont montré fatigué, soutenant son front avec la main, sur les bancs du Parlement où il a fait adopter jeudi dernier une série de dures réformes, critiquées par une partie de Syriza mais exigées par les créanciers avant d'envisager une nouvelle aide financière à la Grèce.

Grèce: les nouveaux ministres en place, la course d'obstacles financière continue
AFP le 18/07/2015 à 12:055

Les nouveaux ministres du gouvernement grec ont prêté serment samedi après un remaniement destiné à affirmer l'autorité d'Alexis Tsipras, alors que la course d'obstacles continue pour bannir le risque d'une sortie de l'euro.

M. Tsipras a en particulier remplacé trois ministres qui venaient de le désavouer au Parlement. Le remaniement, en comptant des jeux de chaise musicale internes à l'exécutif, porte au total sur dix maroquins.

Le Premier ministre issu de la gauche radicale, au pouvoir depuis six mois, a voulu faire preuve d'autorité après un vote extrêmement tendu dans la nuit de mercredi à jeudi, au cours duquel plusieurs ténors de son parti Syriza ont rejeté des réformes demandées par les créanciers. Mais selon plusieurs commentateurs ce remaniement superficiel ne suffira pas à éviter des législatives anticipées, peut-être dès l'automne.

M. Tsipras a conforté en attendant la place du ministre des Finances Euclide Tsakalotos, homme aux idées de gauche très affirmées, mais négociateur pondéré. Il avait remplacé le virulent Yanis Varoufakis, démissionnaire le 6 juillet et désormais porte-voix des frondeurs.

M. Varoufakis, qui sera l'invité d'honneur de la rentrée politique de l'ancien ministre français Arnaud Montebourg, lui aussi critique du gouvernement, a déclaré samedi à la BBC que le nouveau plan d'aide à la Grèce, pas encore finalisé, était "déjà un échec".

La volonté affichée du Premier ministre de prendre ses distances avec l'aile la plus radicale de son parti et le vote positif de la Vouli ont rétabli un calme précaire avec les partenaires européens et les créanciers, mais sans garantie sur une survie financière à long terme.

- Une aide d'urgence déjà épuisée ou presque -

La Grèce va recevoir un versement d'urgence de 7 milliards d'euros qui, à peine versé, sera aussitôt englouti, ou presque. Athènes doit rembourser lundi plus de 4 milliards d'euros à la Banque centrale européenne et effacer une ardoise conséquente auprès du Fonds monétaire international.

Euclide Tsakalotos le 30 avril 2015 à Athènes
Euclide Tsakalotos le 30 avril 2015 à Athènes ( AFP/Archives / LOUISA GOULIAMAKI )
Une nouvelle course à la montre est déjà engagée pour, au-delà de cette aide provisoire, mettre sur pied le troisième plan d'aide promis à la Grèce, de plus de 80 milliards d'euros sur trois ans. Idéalement avant le 20 août, date prévue d'un lourd remboursement à la BCE.

Athènes n'en a pas fini de devoir prouver sa bonne volonté: ses députés doivent valider le 22 juillet au plus tard, une réforme de la justice civile et transposer une directive européenne sur les banques.

La santé du secteur bancaire grec reste une grande inconnue, alors que les guichets doivent rouvrir lundi.

La porte des banques, fermée depuis le 29 juin, sera entrebâillée plus que largement ouverte: le plafond de retraits restera fixé à 60 euros par jour, de peur d'une ruée bancaire. Mais selon le journal de centre droit Kathimerini, il sera possible aux Grecs de concentrer plusieurs retraits en une fois.

- 3 milliards de dégâts -

Il y a urgence à rétablir la circulation de l'argent. Le contrôle des capitaux aurait déjà coûté 3 milliards d'euros à la Grèce, hors secteur du tourisme, selon Kathimerini.

Les restrictions ont sabordé la période des soldes, généralement faste pour le commerce de détail, et gelé des importations nécessaires à la bonne marche de l'économie. Selon la chambre de commerce et d'industrie à Athènes, citée par le quotidien, quelque 4.500 conteneurs sont bloqués au port, faute de règlement.

Un autre test sera la mise en oeuvre lundi d'augmentations de TVA controversées votées par le Parlement, dans un pays où la fraude fiscale est importante. Les denrées non périssables, les restaurants et les transports publics seront davantage taxés.

Mais il ne dépend pas que d'Athènes d'éloigner définitivement le spectre d'un "Grexit": ses créanciers doivent accorder leurs violons.


Le ministre des Finances allemand Wolfgang Schäuble continue à défendre sa proposition d'une exclusion temporaire du pays de l'euro. C'est selon lui la condition préalable pour alléger la dette gigantesque de la Grèce, qui représente près de deux années de Produit intérieur brut.

Le FMI et la BCE, soutenus par des pays comme la France, jugent au contraire que cet allègement de dette, revendication majeure de Syriza, doit être planifié dans le cadre du nouveau plan d'aide et en maintenant la Grèce dans la zone euro.
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Message  stjeanlagneau Sam 18 Juil 2015 - 16:40


@ Antoine, merci.

@ tous

On constate ici, la gravité de la situation.  

Comment peut-on être optimiste face à ce qui parait insoluble.  Non

Nous sommes malheureusement en route, vers une très grave crise.

Les prophéties nous ont prévenus, l'argent n'aura bientôt plus aucune valeur.  Sonné


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Message  antoine Mer 12 Aoû 2015 - 12:49


Grèce : le plan d'aide "ne marchera pas", affirme Yanis Varoufakis
"Ceux qui connaissent l'état des finances grecques vous diront que cet accord ne marchera pas", a déclaré l'ex-ministre. Un Eurogroupe se tient vendredi.
LE POINT.FR (AVEC AFP)
Publié le 12/08/2015 à 18:05 - Modifié le 12/08/2015 à 18:18 | Le Point.fr
L'ancien ministre des Finances grec Yanis Varoufakis pense que le plan d'aide "ne marchera pas". L'ancien ministre des Finances grec Yanis Varoufakis pense que le plan d'aide "ne marchera pas".AFP©EMMANUEL DUNAND

L'ancien ministre des Finances grec Yanis Varoufakis a déclaré à la télévision britannique BBC World mercredi que le plan d'aide « ne marchera pas », contredisant le Premier ministre et son ancien partenaire Alexis Tsipras, qui s'est dit « confiant ». « Demandez à tous ceux qui connaissent l'état des finances grecques et ils vous diront que cet accord ne marchera pas », a-t-il dit sur la chaîne publique britannique. Même le ministre des Finances allemand « est allé au Bundestag pour dire que ce plan ne fonctionnera pas ».
Les autres négociateurs seraient d'accord avec lui et « le ministre des Finances grec dit à peu près la même chose », a-t-il soutenu, ajoutant : « Le Fonds monétaire international s'en lave les mains, désespérant d'un programme basé sur une dette ingérable, et pourtant c'est le programme que tout le monde travaille à mettre en place. » Ces critiques interviennent alors même que le Premier ministre Tsipras s'est déclaré mercredi « confiant dans la conclusion d'un accord et d'un prêt qui mettra fin à l'incertitude économique » de la Grèce.
Le scénario le plus probable verrait ce texte de 400 pages être débattu en commission parlementaire à partir de jeudi matin, pour un vote en séance plénière dans la nuit de jeudi à vendredi, a indiqué mercredi une source gouvernementale à l'AFP. Le gouvernement grec devrait, en comptant sur les 106 voix des principaux partis d'opposition, obtenir la ratification de cette copieuse feuille de route - mêlant mesures budgétaires et réformes structurelles - et pourrait ainsi se présenter en position de force à la réunion extraordinaire des ministres des Finances de la zone euro. Selon une source gouvernementale grecque, la chancelière Angela Merkel, lors d'un entretien téléphonique mardi avec Alexis Tsipras, le deuxième en deux jours, a de nouveau fait part de sa circonspection à l'égard de cet accord conclu en urgence. La chancelière aurait de nouveau exprimé la préférence allemande pour un prêt-relais permettant au pays de rembourser 3,4 milliards d'euros à la BCE le 20 août.
L'Allemagne a « des questions »

Le ministère allemand des Finances a pour sa part annoncé mercredi avoir « des questions » à soulever, lors de la prochaine réunion de l'Eurogroupe, sur l'accord trouvé entre la Grèce et ses créanciers, mais a démenti des informations de presse selon lesquelles il le rejetterait. « Nous avons formulé des questions. Cela fait partie du processus d'examen [de l'accord], qui n'est pas encore terminé. Les questions seront discutées lors de l'Eurogroupe », prévu vendredi après-midi, a indiqué par e-mail un porte-parole du ministère.
Les ministres des Finances de la zone euro se réuniront vendredi à Bruxelles pour se prononcer sur le nouveau plan d'aide de plus de 80 milliards d'euros à la Grèce, a annoncé mercredi le porte-parole du président de l'Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem. « Eurogroupe extraordinaire vendredi 14 août à 15 heures », a annoncé Michel Reijns sur son compte Twitter, précisant que la réunion aurait lieu « à Bruxelles » et non sous forme de conférence téléphonique comme cela avait été envisagé.



Athènes et les institutions créancières du pays (Union européenne, Banque centrale européenne, Mécanisme européen de stabilité et Fonds monétaire international) sont parvenues à un accord au niveau technique mardi sur le troisième programme d'aide à la Grèce, d'un montant de 85 milliards d'euros. Le texte a été transmis mardi soir aux partenaires de la Grèce au sein de la zone euro et doit être adopté jeudi par le Parlement grec avant d'être examiné par l'Eurogroupe. « Ce que nous avons à ce stade, c'est un accord au niveau technique. Nous n'avons pas pour l'instant d'accord au niveau politique », avait expliqué mardi une porte-parole de la Commission européenne, Annika Breidthardt.
Si l'Eurogroupe approuve ce nouveau plan d'aide, il faudra ensuite qu'il soit validé par plusieurs Parlements, notamment le Bundestag allemand. Le calendrier permettrait à la Grèce de bénéficier d'une première tranche d'aide pour rembourser un emprunt de 3,4 milliards d'euros à la BCE qui vient à échéance le 20 août. Mais, selon une source gouvernementale grecque, la chancelière allemande Angela Merkel, lors d'un entretien téléphonique mardi avec le Premier ministre grec Alexis Tsipras, a fait part de sa circonspection à l'égard de cet accord conclu en urgence et de sa préférence pour un prêt-relais, permettant à Athènes d'honorer l'échéance du 20 août tout en se donnant plus de temps pour discuter du plan.



voici le lien: http://www.lepoint.fr/economie/grece-le-plan-d-aide-ne-marchera-pas-affirme-yanis-varoufakis-12-08-2015-1956351_28.php
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Message  antoine Mar 18 Aoû 2015 - 7:33

Mélenchon : "La Grèce va bientôt s'effondrer"
Boursorama avec AFP le 18/08/2015 à 12:58, mis à jour à 13:078
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Selon Jean-Luc Mélenchon, l'accord trouvé entre Athènes et ses créanciers n'y changera rien, "la Grèce va bientôt s'effondrer". Pire, il craint que l'Allemagne déclenche "une crise sociale, politique et culturelle majeure en Europe".

Comme l'ex-ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, Jean-Luc Mélenchon estime que le nouveau plan d'aid
Comme l'ex-ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, Jean-Luc Mélenchon estime que le nouveau plan d'aide accordé à Athènes ne sauvera pas la Grèce. ( AFP Photo/Archives / JACQUES DEMARTHON / STF )
Jean-Luc Mélenchon est de retour de vacances. Et dans la lignée de son pamphlet contre "le poison allemand" publié début mai, le responsable du Front de gauche (FG) n'a pas changé de cible : selon lui, la politique d'austérité imposée par Angela Merkel et son ministre des Finances, Wolfgang Schäuble, mène l'Europe vers une "crise sociale, politique et culturelle majeure". C'est en tout cas ce qu'il affirme dans un billet publié dimanche 16 août sur son blog.

Pour le député européen, l'accord trouvé entre la Grèce et ses créanciers (UE, BCE, FMI) sur un 3e plan d'aide ne résout rien : "Alexis Tsipras (le Premier ministre grec, Ndlr) a cru bien faire en acceptant les humiliations dictées sous le fouet du 'gouvernement allemand de droite CDU-CSU et du PS'" mais "la Grèce va bientôt s'effondrer". Quand? "Dès que les bienfaits du prochain cocktail de tortures adopté au parlement grec lui auront été appliqués et que la récession prévue en toutes lettres dans celui-ci sera venue aggraver le mal incurable dont elle est déjà atteinte", selon lui.

Pour l'ancien candidat à l'élection présidentielle, "l'Europe allemande est impossible. Même Romano Prodi le déclare dans une tribune parue dans 'Le Monde'". Dans cette tribune, l'ancien président de la Commission européenne (1999-2004) affirme que les conditions fixées à la Grèce pour son sauvetage "ont été imposées de la pire manière qui soit". Selon l'ancien patron de l'UE, "on a transformé un petit problème en un énorme problème. Si on avait fait preuve de bonne volonté dans un contexte de solidarité qui prévalait autrefois, tout aurait été plus facile". Et l'ancien président du Conseil italien d'ajouter : "La confiance qui doit être à la base des relations entre les pays européens a été anéantie. Nous avons évité le pire, mais nous avons créé le mal".

"Une époque est finie en Europe", poursuit sur son blog Jean-Luc Mélenchon. "Il faut maintenant prendre la mesure de ce qui s'avance. La politique d'austérité est en réalité une politique de dévaluation salariale pour augmenter la compétitivité des produits sur le marché international". Selon lui, la solution est ailleurs : elle se trouve dans "une dévaluation progressive mais ferme de l'euro et une inflation qui permette d'absorber les dettes souveraines et surtout privées. Mais cela percute les intérêts fondamentaux des rentiers allemands qui font la loi en Europe!", affirme-t-il.

Dans ce billet de blog, Jean-Mélenchon s'inquiète également des "turbulences" liées à la dévaluation de la monnaie chinoise : "Les chinois dévaluent leur monnaie sous cotée pour rendre leur salaires compétitifs ! Bref les Chinois jouent aux Allemands... Les Allemands vont déguster", explique-t-il. "Car leurs 'chères grosses bagnoles' vont couter là-bas bien plus cher et les machines-outils seront bien moins remplacées si la production baisse. Résultat les Chinois font aux Allemands ce que l’Allemagne fait à l’Europe tout entière. La pagaille générale est garantie. Un terrible coup de froid sur le moteur absurde de la croissance mondiale sans fin se dessine à horizon rapproché. L’Europe va trinquer. La Grèce va couler", conclut-il.
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