BIENTÔT DES FEMMES DIACRES ? + BIENTÔT DES FEMMES PRÊTRES ? + BIENTÔT DES PRÊTRES MARIÉS ?

16/05/2024

Les évêques suisses ont remis le 13 mai au Vatican un rapport sur le synode local sur la synodalité.

Extraits :

- Les décisions synodales qui marginalisent ou excluent des personnes et leurs expériences, en particulier les femmes, les personnes homosexuelles et les personnes socialement défavorisées, sont contraires à la mission de l'Église.

- La reconnaissance de l'égale dignité baptismale des hommes, des femmes et des personnes queer doit être vécue et témoignée dans la construction d'une Église synodale."

- "La question de [...] l'inclusion des femmes dans tous [ !] les ministères est une question importante".

- L'exclusion des femmes du sacerdoce n'est plus comprise en de nombreux endroits.

- "L'ouverture du diaconat aux femmes est à saluer lorsqu'elle exprime une évolution vers la reconnaissance de l'égale dignité baptismale de l'homme et de la femme dans l'Église".

- Une forme particulière de diaconat "pour les femmes" serait perçue dans le contexte suisse comme l'expression d'une relégation des femmes, de même que la gradation du diaconat par rapport au ministère ordonné".

L'Église catholique en Suisse est cliniquement morte, mais reste très riche grâce à un système fiscal très lucratif, qui taxe également les entreprises et les banques, de sorte que de nombreux prêtres, diacres et agents pastoraux gagnent plus de 14 000 francs suisses (plus de 15 500 dollars américains) par mois. Mgr Felix Gmür, l'évêque de Bâle, le plus grand diocèse du pays, gagne environ 200 000 francs suisses par an.

François et son "Église des pauvres" sont très populaires parmi les évêques et les prêtres de Suisse.

SOURCE :

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Le Vatican publie le texte qui sous-tend les réunions controversées du Synode sur la synodalité d’octobre. Bien qu'il n'y ait pas d'appel explicite à des femmes diacres, comme cela a été le cas dans d'autres textes, le nouveau document du Vatican cherche à consolider la synodalité comme la voie à suivre pour l'Église.


par Michael Haynes, Snr.

9 juillet 2024

VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) - Le Vatican a publié le document de travail qui guidera les réunions du Synode sur la synodalité d'octobre, contenant des thèmes clés et des appels à l'action pour réorganiser la gouvernance et la prise de décision de l'Église afin d'impliquer les laïcs dans un style plus "synodal".

Publié le 9 juillet, le long Instrumentum laboris (IL) déclare qu'au centre du processus synodal pluriannuel "se trouve un appel à la joie et au renouvellement du peuple de Dieu à la suite du Seigneur et dans son engagement à servir sa mission", ajoutant que les catholiques "renouvellent aujourd'hui leur engagement dans cette mission en pratiquant la synodalité, qui est une expression de la nature de l'Église".

L'IL a été compilé par un groupe de 20 synod "experts" Il est né, entre autres, de l'expérience de l'Institut de recherche en sciences sociales (IRSS) et de théologiens. rapport de synthèse des réunions synodales d'octobre dernier, d'une réunion internationale de prêtres à Rome sur la synodalité, et des diverses réponses à un document de consultation publié au début de l'année par les églises locales.

Le travail des théologiens a été combiné à celui du Conseil ordinaire du Secrétariat général du Synode, puis approuvé par le Pape François avant d'être publié aujourd'hui.

Son utilité sera d'étayer l'ensemble des réunions synodales d'un mois qui se tiendront au Vatican en octobre, après quoi un autre document sera préparé et envoyé au pape François pour approbation en tant que texte de conclusion du Synode sur la synodalité. Ce texte final, écrivent les 20 experts, pourrait se concentrer davantage sur les pratiques d'une Église synodale et sur la proposition de certains changements dans le droit canon, bien que d'autres détails n'aient pas encore été révélés.

En ce qui concerne l'objectif de l'IL, et celui des réunions synodales d'octobre, le texte indique qu'il est orienté pour répondre à "comment l'identité du peuple synodal de Dieu en mission peut-elle se concrétiser dans les relations, les chemins et les lieux où se déroule la vie quotidienne de l'Église ?"

SIGNIFICATION DE SYNODALITÉ

Le terme même de "synodalité" a été vivement critiqué par d'éminents prélats, tels que les cardinaux Raymond Burke et Joseph Zen, qui l'ont jugé imprécis et sans fondement historique. Mais l'IL précise que depuis le début du synode en 2021, "les termes synodalité et synodalLe terme de "rassemblement" est dérivé de la pratique ecclésiale ancienne et constante de se rassembler dans des lieux de culte. synode ces dernières années".

Le texte de 30 pages fait souvent référence à la "circularité" du processus synodal et à l'aspect essentiel de "l'écoute" dans le synode. Tout en appelant à faire de la synodalité un mode normatif de la vie ecclésiale, l'IL affirme qu'elle "n'implique en aucun cas la dévaluation de l'autorité particulière et de la tâche spécifique que le Christ confie aux pasteurs".

"Tout au long du processus synodal, le désir d'unité de l'Église s'est développé parallèlement à une prise de conscience de sa diversité", ajoute l'IL. "Apprécier les contextes, les cultures et la diversité est essentiel pour grandir en tant qu'Église synodale missionnaire".

Le synode a eu l'écoute et le dialogue avec les catholiques et les non-catholiques comme un aspect essentiel dès le début. À la question Le cardinal Gérald Lacroix a éludé la question en disant que c'était une façon "d'apprendre à cheminer ensemble et d'écouter, de discerner ensemble".

RENOUVELER ET METTRE EN VALEUR LES DIFFÉRENTS CHARISMES

Selon l'IL, le synode a mis en évidence la prise de conscience de la "variété des charismes et des vocations que l'Esprit Saint éveille constamment dans le peuple de Dieu". Par conséquent, les organes participants du synode ont le triple désir "d'élargir les possibilités de participation et l'exercice de la coresponsabilité de tous les baptisés, hommes et femmes, dans la variété de leurs charismes, vocations et ministères".

Les trois "directions" sont les suivantes :

1- Un "besoin de renouveler l'annonce et la transmission de la foi par des moyens adaptés au contexte actuel".

2- Le "renouveau de la vie liturgique et sacramentelle, à commencer par des célébrations liturgiques belles, dignes, accessibles, pleinement participatives, bien inculturées et capables de nourrir l'élan vers la mission".

3- "Reconnaître et transformer la douleur provoquée par la non-participation de tant de membres du Peuple de Dieu à ce chemin de renouveau ecclésial et à la lutte de l'Église pour bien vivre les relations entre les hommes et les femmes, entre les générations, entre les personnes et les groupes d'identités culturelles et de conditions sociales différentes, en particulier les pauvres et les exclus.

LE RÔLE DES FEMMES

L'un des aspects clés du rapport de synthèse 2023 était la promotion d'un nouveau rôle pour les femmes, le diaconat féminin ou la gouvernance féminine étant les préférences les plus souvent exprimées par les activistes synodaux ou les prélats hétérodoxes. Depuis lors, cette idée a été fortement encouragée par certains membres importants et bruyants du Conseil de l'Europe. membres du synode dans les mois qui suivront l'événement d'octobre 2023.

En effet, la question des femmes diacres est actuellement en cours d'examen par les groupes d'étude spécifiquement formés par le Pape François, et qui doivent donner leurs conclusions sur les 10 questions de l'étude d'ici l'été 2025. En tant que tel, le diaconat féminin n'est pas techniquement présenté comme faisant partie des réunions synodales d'octobre 2024, comme le note l'IL.

Néanmoins, l'IL se fait l'écho des appels lancés par de nombreuses personnes en faveur du diaconat féminin, et demande également que les femmes soient élevées à des postes de gouvernance et d'autorité plus élevés au sein de l'Église.

"Il est également nécessaire que les laïcs, hommes et femmes, soient formés de manière adéquate pour contribuer à la prédication de la Parole de Dieu, y compris lors de la célébration de l'Eucharistie", note l'IL.

LGBT QUESTIONS

Le rapport de synthèse d'octobre dernier a fait quelques vagues en n'utilisant pas le terme "LGBTQ", contrairement au rapport de synthèse de 2023. Instrumentum Laboris qui a guidé les débats. Cette absence est particulièrement remarquable, compte tenu de la concentration des questions sur l'homosexualité lors des points de presse quasi-quotidiens.

Le terme n'apparaît pas non plus dans l'IL 2024, bien qu'un certain nombre de mentions soient faites à propos de ceux qui sont "en marge", terme utilisé dans les premiers documents du Synode sur la synodalité pour se référer aux personnes LGBT :

Un besoin émerge sur tous les continents concernant les personnes qui, pour différentes raisons, sont ou se sentent exclues ou en marge de la communauté ecclésiale ou qui luttent pour obtenir la pleine reconnaissance de leur dignité et de leurs dons au sein de celle-ci.

PRÊTRES, LAÏCS ET HIÉRARCHIE

Une demande essentielle et récurrente a été de renforcer la gouvernance des laïcs dans l'Église, en s'éloignant de l'accent mis sur le clergé ordonné et la hiérarchie ecclésiale. La nouvelle IL parle de la "fatigue" ressentie par le clergé et du besoin qui en découle de "réimaginer le ministère ordonné dans l'horizon de l'Église synodale missionnaire" comme "non seulement une exigence de cohérence mais aussi une occasion de se libérer de ces fardeaux, à condition qu'elle s'accompagne d'une conversion effective des pratiques, qui rende le changement et les avantages qui en découlent évidents pour les ministres ordonnés et les autres fidèles".

Les premiers appels ont été consolidés : l'IL insiste sur le fait qu'une Église synodale a besoin "d'une vision renouvelée du ministère ordonné, passant d'une manière pyramidale d'exercer l'autorité à une manière synodale".

Afin de promouvoir "les charismes et les ministères baptismaux, une réaffectation des tâches dont l'exécution ne nécessite pas le sacrement de l'ordre peut être entreprise", peut-on lire dans l'IL.

Le synode continue de s'éloigner de la structure hiérarchique traditionnelle de l'Église, en mettant l'accent sur des aspects tels que le "discernement communautaire", l'implication accrue des laïcs dans tous les domaines (à l'exception de ceux qui requièrent fondamentalement l'ordre sacré) et l'implication communautaire dans les questions de prise de décision de l'Église.

LA PAPAUTÉ

Comme l'a déjà souligné le document d'étude récemment promulgué - "L'évêque de Rome. Primauté et synodalité dans les dialogues œcuméniques et dans les réponses à l'encyclique Ut unum sint" Le pape François tient à ce que la papauté soit comprise à la lumière de la synodalité. Dans la pratique, cela semble signifier un exercice réduit de l'autorité papale, bien que François ait lui-même fait un usage plus monopolistique de ce pouvoir que ses prédécesseurs.

Évitant d'utiliser le mot "papauté" et optant plutôt pour "évêque de Rome", l'IL a écrit que l'évêque de Rome "est le garant de la synodalité".

Citation directe de Evangelii GaudiumL'IL a noté que "la réflexion sur les formes d'exercice du ministère pétrinien devrait également être menée dans la perspective d'une 'saine décentralisation' (EG 16), comme l'a demandé le Pape François et de nombreuses conférences épiscopales".

L'œcuménisme et le réexamen du style "synodal" de la compréhension du rôle de "l'évêque de Rome" sont intimement liés, comme l'atteste l'IL : "Parmi les fruits les plus significatifs du Synode 2021-2024, il y a l'intensité de l'élan œcuménique et la promesse qui le marque".

SYNODE PERMANENT

Le Synode sur la synodalité est déjà en cours depuis 2021, et avec le groupes d'étude Les analystes prévoient déjà que le synode sera effectivement prolongé jusqu'en juin 2025.

Cela s'avère vrai. Selon une note d'accompagnement du Secrétariat général du synode (FAQ), la fin du synode en octobre "ne signifie pas la conclusion du processus synodal".

Les trois phases du synode "ne doivent pas être comprises uniquement dans un sens chronologique", peut-on lire dans la note, qui pose ainsi les jalons d'une Église permanente modelée sur la synodalité.

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10/07/2024

Le 9 juillet, le bureau de presse du Vatican a publié un long Instrumentum Laboris de 50 pages pour l'Ex-Synode des évêques d'octobre.

Il a été rédigé par un groupe de vingt "experts" et "théologiens" synodaux triés sur le volet. Il est remarquable que les questions dites brûlantes soient évitées.

La question de l'homosexualité n'est pas directement abordée. Le texte parle uniquement de l'accueil des personnes qui "se sentent rejetées", exclues ou en marge de l'Église et "qui luttent pour une pleine reconnaissance" [par exemple les catholiques].

Les participants sont avertis qu'il n'y aura pas de débat en octobre sur l'ordination [invalide] des diaconesses.

Cependant, le texte invente "un appel pour que des hommes et des femmes laïcs adéquatement formés contribuent à la proclamation de la Parole de Dieu, y compris dans la célébration de l'Eucharistie", des abus qui ont été introduits dans de nombreux pays il y a déjà plusieurs décennies.

Il mentionne les réglementations de l'Église autorisant les laïcs à baptiser ou à assister aux mariages dans des circonstances exceptionnelles [qui sont depuis longtemps devenues la règle en Europe occidentale et en Amérique]. "Il est utile de continuer à réfléchir à la manière dont ces ministères peuvent être confiés aux laïcs de manière plus stable".

Les éléments clés du texte traitent de la vie ecclésiale et de la hiérarchie, conformément à l'écran de fumée de la "synodalité", y compris une plus grande "gouvernance laïque".

Il affirme que "la pratique de la synodalité est la manière dont nous renouvelons notre engagement dans cette mission aujourd'hui". Le concept élastique de "synodalité" est même décrit comme "une expression de la nature de l'Eglise [de François]".

L'objectif est d'examiner comment les structures ecclésiales peuvent encourager une plus grande "participation". Il cherche un espace pour la "diversité légitime" [= désintégration] parmi les églises locales. Le terme "Églises" est utilisé au pluriel, alors que le Christ n'a fondé qu'une seule Église.

Des modifications du droit canonique peuvent être proposées. Le document "n'attend pas de réponse à toutes les questions" ("il peut y avoir des développements plus significatifs et plus profonds au fur et à mesure que la proposition de base est assimilée et vécue").

En même temps, le document promet des changements visibles : "Sans changements concrets, la vision d'une Eglise synodale ne sera pas crédible, ce qui aliénera les membres du peuple de Dieu qui ont puisé force et espoir dans la voie synodale".

En résumé : Le décor est planté pour une "synodalité" permanente, transformant l'Église en une organisation parapluie de style anglican sans contenu. Mais l'autoritarisme monolithique de François demeurera, et les catholiques continueront d'être exclus.

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Le cardinal Kasper demande que les femmes soient « diacres », ce qui contredit l’enseignement de l’Église sur les ordres sacrés. Le cardinal Walter Kasper a lancé un appel personnel en faveur du diaconat féminin, suite à l'ouverture du Synode sur la synodalité, ajoutant également que l'interdiction des femmes dans les ordres sacrés est "problématique".


par Michael Haynes

31 octobre 2024

Note : Cet article a été traduit automatiquement en français.

VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) - Le cardinal Walter Kasper a lancé son propre appel en faveur des femmes diacres, quelques jours après que le document final du Synode sur la synodalité ait déclaré que la question "demeure". ouvert".

Dans un entretien avec le magazine de théologie en ligne Communio, Kasper s'est exprimée librement sur la question de la diaconat féminin - dans une intervention qui revêt une importance particulière à la lumière du Synode sur la synodalité qui vient de s'achever.

Kasper, connu pour sa promotion réussie de la Sainte Communion pour les divorcés et "remariés", a fait référence aux deux commissions sur le diaconat féminin que le pape François a mises en place.

Le premier Commission était un organe composé de 12 membres convoqués en août 2016, dont Phyllis Zagano, une éminente avocate de la "l'ordination de femmes au diaconatet le cardinal Luis Ladaria Ferrer, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, en tant que président. Le second, mis en place en 2020 et présidé par le cardinal Guiseppe Petrocchi, a pour objectif d'améliorer la qualité de vie des citoyens. reconvoqué depuis la semaine dernière.

"Le fait que plusieurs commissions aient été chargées de la question de la réintroduction du diaconat pour les femmes, mais qu'aucune d'entre elles ne soit parvenue à une décision unanime, montre que la question est controversée, mais aussi ouverte, et c'est en tant que question ouverte qu'elle est également mentionnée dans le document final du synode", a déclaré M. Kasper.

Ce sujet de l'ordination des femmes "n'a pas été tranché de manière contraignante par l'autorité enseignante de l'Église", a-t-il affirmé, avant d'ajouter :

J'ai moi-même lutté longtemps avec la réponse à cette question, mais, entre-temps, je suis arrivé à la conclusion qu'il y a de bonnes raisons qui rendent théologiquement possible et pastoralement significatif d'ouvrir le diaconat permanent aux femmes.

Selon les suggestions de M. Kasper, chaque "église locale serait libre de décider de faire usage ou non de cette opportunité" de mettre en place des femmes diacres.

Comme le note Kasper, le document final du synode fait effectivement référence à la question, grâce à les encarts controversés qui ne figuraient pas dans la version provisoire. Le paragraphe 60 mentionne que "la question de l'accès des femmes au ministère diaconal reste ouverte". (258 pour/97 contre)

On y lit également que "les femmes continuent à rencontrer des obstacles pour obtenir une meilleure reconnaissance de leurs charismes, de leurs vocations et de leurs rôles dans tous les domaines de la vie de l'Église".

Un tel scénario, affirme le document, "est au détriment du service de la mission commune de l'Église".

Toutefois, en 2018, le cardinal Ladaria défendu Texte du pape Jean-Paul II Ordinatio Sacerdotalis comme portant la marque de l'"infaillibilité". Cette lettre apostolique contenait la déclaration notable du pape polonais selon laquelle : "Je déclare que l'Église n'a aucune autorité pour conférer l'ordination sacerdotale aux femmes et que ce jugement doit être définitivement tenu par tous les fidèles de l'Église.

M. Ladaria a déclaré qu'en ce qui concerne l'ordination des femmes, Jean-Paul "a formellement confirmé et explicité, de manière à dissiper tout doute, ce que le Magistère ordinaire et universel a longtemps considéré, tout au long de l'histoire, comme faisant partie du dépôt de la foi".

Dès les premiers jours, l'Église catholique a enseigné que le sacrement de l'ordre est tripleIl est composé de l'épiscopat, du sacerdoce et du diaconat.

Renouveau ou révolution ?

De fervents défenseurs de l'ordination des femmes ont affirmé que l'entrée des femmes dans les ordres constituerait un renouvellement d'une coutume ancienne, citant l'activité des femmes dans l'Église primitive. En effet, Kasper a fait sien cet argument lorsqu'il s'est adressé à Communio.

Le cardinal allemand a déclaré que "la distinction stricte entre un sacrement et un sacramental n'existait pas encore au premier millénaire ; il est donc inapproprié de dire que l'ordination des femmes diacres était un sacramental à cette époque".

Il a également contesté la désignation de la triple nature du sacrement de l'ordre comme étant "problématique", estimant que cela ne devrait pas être utilisé pour justifier l'exclusion des femmes du diaconat.

Alors que beaucoup évoquent les femmes diaconesses de l'Église primitive pour plaider en faveur de l'ordination des femmes, le Dr Maike Hickson, journaliste respectée, estime que l'ordination des femmes est un droit fondamental de l'homme. a noté que "Les femmes diacres n'étaient pas ordonnées sacramentellement, étaient exclues de tout rôle dans la liturgie et ne peuvent donc pas être comparées à une femme diacre ordonnée sacramentellement, comme le proposent le cardinal Schönborn et d'autres.

En 2002, la Commission théologique internationale du Vatican a écrit que les soi-disant "femmes diacres" de l'Église primitive - citées par les activistes d'aujourd'hui - n'étaient en fait pas des diacres au sens où on l'entend aujourd'hui, et n'ont certainement pas été ordonnées à un quelconque ministère :

- "Les diaconesses mentionnées dans la tradition de l'Église ancienne - comme en témoignent le rite d'institution et les fonctions qu'elles exerçaient - n'étaient pas purement et simplement équivalentes aux diacres ;

- L'unité du sacrement de l'ordre, dans la distinction claire entre les ministères de l'évêque et des prêtres d'une part et le ministère diaconal d'autre part, est fortement soulignée par la tradition ecclésiale, en particulier dans l'enseignement du Magistère".

Kasper a a longtemps été un défenseur de femmes assumant des rôles accrus dans la liturgie, en particulier par le biais des ordres sacrés. Peu après le synode amazonien de 2019 - et l'appel aux femmes diacres et aux ministères féminins qu'il a promu - Kasper a déclaré : "Je pense qu'avec le temps, les portes seront ouvertes" aux femmes sur l'autel.

Kasper a également été critiqué pour sa vision des choses. "Les éléments du bien dans les relations entre personnes du même sexe et de prétendre que l'Église ne peut pas expliquer de manière adéquate ses enseignements concernant l'homosexualité.

SOURCE :

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L’archevêché belge inclut une « déléguée épiscopale » féminine dans la prière eucharistique lors de la messe. L'archidiocèse de Malines-Bruxelles en Belgique a demandé à ses paroisses d'inclure Rebecca Charlier-Alsberge, déléguée épiscopale au vicariat du Brabant wallon, dans la prière eucharistique de la messe, directement après le pape et l'évêque local.


par Michael Haynes,
Snr. Vatican Correspondant

16 décembre 2024

Note : Cet article a été traduit automatiquement en français.

WALLOON BRABANT, Belgique (LifeSiteNews) - Fait notable, un archevêché belge a publié une note indiquant qu'une laïque, qui sert de déléguée épiscopale à la place d'un évêque, devrait être nommée dans le canon de la messe au même titre que le pape et l'évêque local.

À la fin de l'année dernière, l'archidiocèse de Malines-Bruxelles a nommé Rebecca Charlier-Alsberge déléguée épiscopale auprès du vicariat du Brabant wallon, l'un des trois vicariats qui composent l'archidiocèse. Cette décision a été remarquée et a été décrite comme étant conforme à la vision du pape François pour une Église plus "synodale".

Ces dernières semaines, une note officielle de l'archevêché a été envoyée au vicariat, indiquant que le nom d'Alsberge devait être mentionné dans le canon de la messe, au même titre que le pape et l'évêque local.

Contexte

En décembre 2023, l'archevêché a annoncé qu'Alsberge était le nouveau délégué épiscopal du vicariat du Brabant wallon, suite à la démission de l'évêque Jean-Luc Hudsyn, l'un des auxiliaires de l'archevêché.

L'archevêque Luc Terlinden - qui dirige l'archidiocèse depuis 2023 et qui est le primat de Belgique - a été nommé à la tête de l'archidiocèse. fait La nomination a été faite par le Père Alsberge lui-même. Le mandat de cinq ans de Mme Alsberge a débuté le 1er janvier de cette année. Elle est assistée d'un adjoint, le père Alain de Maere, qui est responsable en particulier des ministres ordonnés.

Cette mère de quatre enfants a occupé des postes de direction au sein de l'archidiocèse pendant un certain temps, mais le fait d'être nommée représentante de l'archevêque a constitué un changement important. "Hormis le côté liturgique que je n'assume pas, les tâches seront les mêmes que celles poursuivies par Mgr Hudsyn", a-t-elle noté.

Cette nomination fait partie d'un nouveau style pour l'Eglise en Belgique, Terlinden ayant déclaré que la nomination devait se faire dans le cadre d'un processus de consultation. compris "La vision d'une Église synodale et missionnaire développée par notre Pape François".

Alsberge mis en évidence qu'elle bénéficie de l'assistance d'un prêtre en tant qu'adjoint, mais que c'est elle qui détient le pouvoir de décision : "C'est moi qui devrai décider".

Bien qu'elle ait déclaré qu'elle n'assumerait pas de rôle liturgique, l'activité d'Alsberge ressemble de plus en plus à celle d'un ecclésiastique dans les paroisses qu'elle visite en sa qualité officielle.

En effet, lors d'un événement organisé le 12 novembre, Alsberge rejoint la procession liturgique juste devant Terlinden pour la cérémonie de bénédiction et de pose de la première pierre d'un nouveau centre pastoral et d'une nouvelle église.

À plus d'une reprise occasion elle a prononcé des discours pendant la messe, réfléchissant à l'Évangile et à la liturgie, qui ressemblent beaucoup à des homélies. Par ailleurs, l'organe de presse officiel des évêques catholiques belges décrit qu'elle a prononcé une homélie lors d'une visite en mai 2024 dans une paroisse de son vicariat.

Nouveau rôle dans la liturgie

En tant que mis en évidence par Luke Coppen, depuis le début du mois de novembre, Alsberge a été insérée dans le Canon de la Messe, ou la Prière Eucharistique, dans un mouvement qui renforce sa position tout en maintenant la particularité de la situation.

Le mémorandum n'a été rendu public qu'au moment où il a été publié. fuit sur les médias sociaux par un utilisateur anonyme, et ensuite rapporté par l'archidiocèse.

Approuvées par l'archevêque Terlinden, les directives précisent la manière dont Alsberge doit être mentionnée au cours de la messe.

"En ce qui concerne la prière eucharistique, les indications tiennent compte de la demande répétée des prêtres et des chrétiens de pouvoir prier ensemble pour leur nouveau chef de vicariat", lit-on dans la note. "Nous ajouterons donc à la prière eucharistique soit son titre, soit son titre et son prénom."

Des exemples des différentes prières eucharistiques utilisées dans la liturgie Novus Ordo sont donnés, montrant que le nom d'Alsberge doit être mentionné directement après le pape et l'évêque local. La prière eucharistique I se lit comme suit

Nous les présentons en union avec votre serviteur, notre pape N., notre évêque N., notre délégué épiscopal N. et tous ceux qui gardent fidèlement la foi catholique reçue des Apôtres.

Le mémo semble également considérer Alsberge comme ressemblant de plus en plus à un prélat pendant la liturgie, offrant des conseils sur la manière de conduire les célébrations liturgiques "en présence du délégué", reflétant ainsi la manière dont les directives sont établies dans le Missel pour la messe célébrée en présence d'un prélat.

Pour ces messes, le mémo précise que :

Pour les célébrations en présence de la déléguée, nous vous donnons quelques indications sur la manière dont elle doit s'exprimer et sur sa place physique dans l'assemblée. Ces indications doivent être complétées par une discussion avec elle avant sa venue dans votre paroisse ou unité pastorale.

Selon les nouvelles directives, Mme Alsberge entre dans l'église aux côtés du prêtre qui dira la messe, avant de s'asseoir au premier rang de l'assemblée. Elle "s'adresse à l'assemblée" après cette salutation initiale, après l'Évangile et juste avant la bénédiction finale.

Alsberge se joint également au prêtre pour saluer officiellement les fidèles à la sortie de l'église.

Développement continu des rôles féminins

Si Alsberge est à ce jour la seule femme à occuper le poste de déléguée épiscopale dans l'archidiocèse, une autre femme a été nommée à peu près au même moment à un poste de même importance.

Marie-Françoise Boveroulle a été nommée assistante du chanoine Tony Frisson dans le vicariat de Bruxelles. En fait, Boveroulle prend le rôle d'assistante du délégué épiscopal qui, dans le vicariat d'Alsberge, est assumé par le Père de Maere.

L'archevêché célébré a qualifié cette évolution d'avancée positive dans l'accroissement de l'importance des femmes à la tête de l'Église : "Les récentes nominations marquent également un changement dans la configuration de l'archidiocèse. Jusqu'à récemment, la responsabilité des trois vicariats territoriaux - Bruxelles, Brabant wallon, Malines et Brabant flamand - était confiée à trois vicaires généraux, qui étaient également évêques auxiliaires. Aujourd'hui, nous nous dirigeons vers une nouvelle répartition des responsabilités".

Mais le mouvement en général, et en particulier le rôle d'Alsberge en tant que délégué épiscopal, a suscité des critiques et des inquiétudes de la part de nombreux catholiques en ligne.

Peter Kwasniewski, auteur et théologien, a déclaré que cette tendance représentait une divergence continue par rapport à l'Écriture et à la Tradition.

"Depuis de nombreuses années, a-t-il déclaré à LifeSiteNews, les dirigeants de l'Église catholique sur terre ont suivi une voie résolument en désaccord avec l'Écriture et la Tradition, qui ont unanimement et sans exception limité les postes de gouvernance diocésaine et curiale, le ministère liturgique et le magistère officiel aux hommes, en raison de la structure apostolique de l'Église voulue par Dieu et de l'archétype du Christ en tant que prêtre, prophète et roi (l'incarnation et la source des fonctions de sanctification, d'enseignement et de direction).

"Si, dans une certaine mesure, il est possible de les séparer provisoirement, a ajouté M. Kwasniewski, elles ne peuvent pas être simplement séparées, et elles ne peuvent jamais être absolument séparées de la participation à la royauté sacerdotale du Christ. C'est pourquoi le fait d'avoir des femmes 'acolytes', 'lecteurs', 'administrateurs pastoraux' et maintenant 'délégués épiscopaux' est impossible dans le cadre d'une christologie saine et d'une ecclésiologie saine".

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23/12/2024

L'évêque Stephan Ackermann de Trèves, en Allemagne, pense que l'ordination [invalide] des femmes en tant que "diacres" aura lieu. Seul "le moment" n'est pas encore clair, a déclaré l'activiste homosexuel à l'agence dpa lundi.


Mgr Ackermann suppose que la décision ne sera pas prise pendant le pontificat de François. Mais : "Certaines choses peuvent se produire rapidement dans l'Église".

Pour lui, l'ordination féminine [invalide] serait "un renforcement sacramentel et donc officiel de la responsabilité" des femmes dans l'Église.

Mgr Ackermann voit l'Église dans un "grand processus de changement" dans lequel il y a "beaucoup de démolition".

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21/12/2024

Dans une interview accordée à la chaîne de télévision argentine Canal Orbe 21 le 20 décembre, François a parlé [non pas du Christ mais] de la guerre en Ukraine.

"Il y a une grande hypocrisie. Et cela me préoccupe beaucoup, parce qu'en ce moment, l'Ukraine envoie au front des garçons de 20 ans. Le fait est qu'elle n'a pas beaucoup d'hommes, alors que la Russie en a beaucoup. Il est urgent de conclure un traité de paix, mais lorsque quelqu'un parle de paix, il commence à tourner autour de questions secondaires", a-t-il déclaré.

Interrogé sur la résolution des conflits, le fauteur de troubles et tyran François a mis l'accent sur le "dialogue" et a répété ses "quatre principes fondamentaux", qui sont très abstraits : "L'unité est supérieure au conflit, le tout est supérieur à la partie, la réalité est supérieure à l'idée, et le temps est supérieur à l'espace".

François a répété les mensonges contre les écoles catholiques du Canada, qui ont apporté l'éducation à des générations de Canadiens à la demande de leur gouvernement.

Malgré une propagande massive et 8 millions de dollars pour découvrir des "tombes anonymes", pas une seule "fosse commune" n'a été trouvée. Il continue d'affirmer : "L'histoire tragique des écoles, qui ont enlevé de force des enfants pour effacer leur identité indigène, exige de profondes excuses aux peuples indigènes.

Concernant l'ex-synode, François affirme que l'Église résout désormais les problèmes par le dialogue, en dépit de ses propres attitudes dictatoriales : "L'Église n'est plus du haut vers le bas. Ce ne sont plus les évêques, le pape, les prêtres, les religieuses, mais c'est l'Église d'en bas qui s'exprime et crée la communauté." Jamais dans toute son histoire, l'Église n'a été autant "descendante" que sous François.

François prétend que le "Saint-Esprit" apporte l'harmonie au milieu du chaos : "Une bonne Église serait une Église qui crée un peu de chaos, mais qui recherche toujours l'harmonie. Qui écoute tout le monde [sauf les catholiques]".

Il a également répété son faux slogan selon lequel "tout le monde, tout le monde, tout le monde" est le bienvenu dans l'Église : "Et les pécheurs ? Tous". Il a répété qu'il veut "tout le monde, tout le monde à l'intérieur" malgré "la moralité des gens" [par exemple : les racistes, les verts, les pédophiles...].

En même temps, ceux "qui ont une mauvaise volonté, une mauvaise disposition [= les pécheurs] doivent être écartés" : "C'est une chose de ne pas laisser entrer et une autre de faire sortir ceux qui sont déjà à l'intérieur et qui n'ont pas, comme le dit l'Évangile, l'habit de noces.

François, connu pour son dogmatisme hétérodoxe, estime que les "dogmatismes" nuisent à l'expérience religieuse : "Je me souviens que lorsque j'étais enfant, il y avait un dogmatisme, pour ainsi dire, selon lequel on ne pouvait pas aller visiter la maison de personnes divorcées parce qu'elles étaient en état de péché mortel. C'est curieux. C'était un dogmatisme, n'est-ce pas ?

Interrogé sur la manière dont il aimerait que l'on se souvienne de lui, François a répondu : "Je me dis que je suis un pauvre malheureux sur lequel Dieu a [soi-disant] fait preuve d'une grande miséricorde".

François estime qu'il a apporté de véritables transformations à l'Église : "Ce qui arrive maintenant, c'est une femme préfet d'un dicastère. Laissez les femmes entrer", a-t-il menacé.

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04/11/2024

Les partisans des diaconesses "doivent être plus honnêtes", a déclaré à EWTN (26 octobre) Sœur Anna Mirijam Kaschner, secrétaire générale de la Conférence des évêques nordiques : "Il ne s'agit pas du diaconat, mais du sacrement [invalide] de l'ordination sacerdotale.

La sœur a participé à l'ex-synode en tant que membre. Le texte final de l'ex-synode voulait réexaminer la possibilité de diaconesses.

Mais beaucoup de propagandistes des 'diaconesses' disent maintenant : "Vous avez déjà pris tellement de temps, de combien de temps avez-vous encore besoin ?".

Sœur Kaschner a mis en garde contre le risque de créer une réaction en chaîne en introduisant des diaconesses. Il ne s'agit pas seulement de devenir diaconesse. Pour beaucoup, c'est "juste une porte qui s'ouvre", disait-elle :

"Le diaconat n'est que le premier pas vers le sacrement de l'ordre, et les gens ne se contenteront pas du diaconat.

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L'ex-synode a publié son texte final samedi soir, un compromis verbeux, divisé en cinq parties et 155 paragraphes (28 000 mots). Tous les paragraphes ont obtenu la majorité requise des deux tiers des 356 votes.

François a annoncé qu'il ne publierait pas d'exhortation apostolique ultérieurement, mais qu'il approuvait le document tel quel. Il l'appelle son "magistère papal" (quoi que cela veuille dire).

Après quatre années de réunions interminables et de millions dépensés, le texte recommande de "poursuivre la réflexion" sur de nombreuses questions ("processus en cours").

Le paragraphe le plus controversé est le numéro 60 sur le rôle des "femmes" dans l'Église. Il a obtenu 258 voix "pour" et 97 voix "contre".

Ce paragraphe affirme que les femmes rencontreraient des obstacles pour obtenir une meilleure reconnaissance de leurs charismes, de leur vocation et de leur rôle dans les différents domaines de la vie de l'Église : "La question de l'accès des femmes au ministère diaconal [invalide] reste ouverte".

Le paragraphe ayant obtenu le deuxième plus grand nombre de votes négatifs (312 contre 43) concerne la liturgie. Il invite les communautés chrétiennes à "adopter des formes de célébration qui rendent visible le visage d'une Église synodale", ce qui implique une nouvelle protestantisation du Novus Ordo.

En ce qui concerne l'autorité des Conférences épiscopales [qui n'existent ni dans l'Ecriture Sainte ni dans la Tradition], le document déclare qu'un travail supplémentaire est nécessaire "pour définir précisément le domaine de la compétence doctrinale et disciplinaire".

Il conviendrait de clarifier quelles sont les questions réservées à l'autorité papale et celles qui peuvent être traitées par l'évêque ou les conférences épiscopales.

Le texte suggère que "les décisions prises par une Conférence épiscopale imposent une obligation ecclésiale [ !] à chaque évêque qui a participé à la décision par rapport à son propre diocèse".

En outre, le texte ne fait qu'une allusion aux homosexuels, mentionnant une certaine "douleur" de ceux qui se sentent exclus ou jugés en raison de leur situation matrimoniale, de leur identité ou de leur sexualité.

Dans une possible réponse à la réaction contre "Fiducia supplicans" (décembre 2023), le document déclare : "Avant de publier des documents normatifs importants, les dicastères sont invités à entamer une consultation avec les Conférences épiscopales et les structures correspondantes des Églises orientales sui iuris".

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