Un Évêque allemand annonce de nouvelles Directives obligeant les Prêtres à accepter l'homosexualité

7 Mai 2023

Lors d'une conférence donnée le 13 avril à Rome, le cardinal Burke a critiqué la notion de "conscience" utilisée [par François] "pour justifier des actes pécheurs". (LaNuovaBq.it). Il a démasqué le concept de "conscience" comme une "dimension subjective" qui constitue l'instance ultime de décision, alors que la conscience est la capacité de l'homme à discerner la vérité objective dans la religion et la morale. "L'homme ne se crée pas lui-même, mais il possède une nature qu'il doit respecter et qu'il ne peut pas manipuler à sa guise", a-t-il déclaré.

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22 mai 2023

Lors d'une conférence romaine, le cardinal Ladaria, 79 ans, qui dirige la CDF, a déclaré que la vérité sur l'homme et la sexualité ne change pas, tandis qu'une "idéologie dominante" exalte ce qu'il appelle "la liberté sans rapport avec la vérité".

Selon CatholicNewsAgency.com (20 mai), Mgr Ladaria a fait l'éloge de l'encyclique Humanae Vitae de Paul VI en disant que l'alternative est une "anthropologie dualiste" qui voit dans la nature une "menace pour la liberté" (sic).

Couper les rapports sexuels de la procréation banalise la sexualité humaine et crée une incapacité à voir la différence entre l'union sexuelle et les actes homosexuels, a-t-il déclaré, ajoutant que l'idéologie du genre et celle du transhumanisme présupposent toutes deux qu'"il n'y a pas de vérité" et que, par conséquent, elles n'ont pas de limites.

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24 mai 2023

Nous vivons dans un totalitarisme mondial, a déclaré l'évêque Athanasius Schneider à LifeSiteNews.com le 16 mai.

L'un des signes de ce totalitarisme est que les réseaux sociaux majoritaires sont entre les mains de l'idéologie du genre, qui est "une idéologie néo-marxiste". Schneider sait de quoi il parle, ayant grandi dans l'Union soviétique marxiste.

Il rêve d'une alliance mondiale de bon sens, incluant des chrétiens et des non-chrétiens bien intentionnés, mais reconnaît que même François sape la clarté de la Révélation divine et promeut le relativisme doctrinal et l'idéologie du genre.

Selon Schneider, le Saint-Siège est actuellement "éclipsé" et "obscurci".

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1er juin 2023

L'Action catholique polonaise a reçu à Varsovie une délégation du synode allemand et sa présidente, Irme Stetter-Karp, militante pour l'avortement.

Ak.org.pl (28 mai) rend compte de la réunion, notant que l'Eglise allemande a de nombreux collaborateurs rémunérés, mais que cela n'a aucun effet sur la participation à la messe et la vie sacramentelle dans le pays, qui sont toutes deux "très faibles".

Le rapport note que le synode allemand suit "l'esprit du temps" en introduisant des "bénédictions" homosexuelles, de sorte que "la colonne vertébrale de l'Église, construite sur l'Évangile et les évêques, a été brisée".

Le synode allemand "n'est pas fondé sur l'Évangile" et "contredit souvent la foi", affirme l'Action catholique, ajoutant qu'en Allemagne "tout le monde n'est pas d'accord avec le chemin synodal".

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8 Juin

Les Focolari, un mouvement ecclésiastique, se laissent berner par les sirènes de l'homosexualisme. Maria et Gianni Salerno, deux Focolari, ont fondé "Personne seul", un groupe qui "accueille" [= justifie] les péchés homosexuels des individus, en impliquant également leurs parents. Le père Roberto Almada, un Focolaro argentin et psychiatre, qui a de l'expérience dans l'"accompagnement" des personnes qui se livrent à l'homosexualité, fait également partie du groupe. Le 20 mai, ils ont été autorisés à promouvoir leur idéologie sur Avvenire.it, le quotidien homosexualiste des évêques italiens.

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8 Juin

L'homosexualiste "jésuite" James Martin a comparé la propagande homosexuelle sur Twitter.com à la dévotion au Sacré-Cœur.

En juin, les catholiques célèbrent le mois du Sacré-Cœur et les personnes qui commettent des péchés homosexuels célèbrent le "mois de la fierté", écrit-il, ajoutant que les "catholiques" homosexuels célèbrent les deux parce que "l'un nous montre comment Jésus aime" et l'autre "nous montre qui Jésus nous appelle à aimer aujourd'hui".

L'évêque de Tyler, Mgr Strickland, a noté que "ce blasphème doit cesser" parce que Martin prétend que les péchés mortels "sont compatibles avec le Sacré-Cœur de Jésus", ce qui "contredit l'appel du Christ à aller et à ne plus pécher".

Martin est un ami de François et un conseiller du Vatican décadent.

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Le cardinal Burke s'interroge sur la validité du prochain synode : "Il n'y a pas d'idée claire de ce qu'est la synodalité". Ma prière personnelle quotidienne à notre Seigneur est que, d'une manière ou d'une autre, il fasse en sorte que le synode n'ait pas lieu, car je ne vois franchement pas ce qu'il y a de bon à en tirer".


De : Lifesitenews

Traduction : LVDD

VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) - Le Cardinal Raymond Leo Burke, ancien chef de la Signature Apostolique, a critiqué le prochain Synode des Évêques sur la Synodalité pour l'ordre du jour qui se cache derrière l'ambiguïté des prélats chargés de diriger le Synode.

Lors d'une interview accordée à EWTN, qui couvrait le synode sur la synodalité, les abus commis par des clercs homosexuels, la messe traditionnelle en latin et le refus de la sainte communion à ceux qui persistent à commettre des péchés graves et manifestes, le cardinal a déclaré qu'en plus des tentatives évidentes de modifier les enseignements sexuels et moraux de l'Église, l'un des problèmes du synode sur la synodalité est que les cardinaux qui le dirigent ne peuvent même pas exprimer clairement la signification de la synodalité.

"Le fait est qu'il n'y a pas d'idée claire de ce qu'est la synodalité", a-t-il déclaré. "Ce n'est certainement pas une marque de l'Église. Les marques de l'Église sont une, sainte, catholique et apostolique".

Notant que le manque de clarté sur ce qu'est la synodalité a permis aux évêques de promouvoir un programme hétérodoxe qui est tout sauf fidèle à l'enseignement et à la pratique constants de l'Église, en particulier en ce qui concerne la moralité sexuelle, Burke a déclaré : "En Allemagne, c'était un slogan pour faire avancer… des enseignements et des pratiques clairement contraires à l'enseignement et à la pratique constants de l'Église, et cela a causé un énorme préjudice en Allemagne. L'état de l'Église en Allemagne est franchement alarmant, et il semblerait que cela devienne un programme dans l'Église universelle par le biais du synode."

Burke a raconté que "le chef du Synode des évêques a récemment donné une interview dans laquelle il semble indiquer qu'il n'a pas une idée claire de ce qui va se passer ou une idée claire de ce qu'est la synodalité. Et pourtant, il continue à diriger ce processus. Et, bien sûr, le président de la session du Synode sur la synodalité, [le cardinal Jean-Claude] Hollerich du Luxembourg, a publiquement épousé des enseignements et des pratiques qui sont clairement contraires à ce que l'Église a toujours enseigné dans la pratique".

"Il s'agit donc de questions extrêmement préoccupantes. Ma prière personnelle quotidienne à notre Seigneur est que, d'une manière ou d'une autre, il fasse en sorte que le Synode n'ait pas lieu parce que je ne peux franchement pas voir de bien en sortir."

En référence à la récente affirmation du secrétaire général du Synode sur la synodalité, le cardinal Mario Grech, selon laquelle le synode n'a pas d'autre ordre du jour que l'Évangile - en dépit du fait que la voie synodale allemande promeut ouvertement l'ordination des femmes, la bénédiction des unions homosexuelles et d'autres dérogations évidentes à l'enseignement catholique - il a été demandé à Burke s'il croyait l'affirmation de Grech selon laquelle il n'y a pas d'ordre du jour pour le synode à venir.

"Je ne le crois certainement pas, et un certain nombre de cardinaux et d'autres, à la fois des clercs et des laïcs catholiques qui sont des membres très réfléchis et très dévoués du corps du Christ, ne le croient pas non plus", a-t-il déclaré.

"Pourquoi convoquer des représentants de l'Église universelle pour parler de l'Évangile, à moins qu'il n'y ait un aspect particulier de l'Évangile que vous vouliez aborder ? a demandé M. Burke. "Et l'Évangile ne nous parvient que dans la Tradition de l'Église ; il nous est transmis dans l'Église.

Dire que nous allons parler de l'Évangile sans donner aux gens une idée claire… "Eh bien, de quelle partie de l'Évangile allons-nous parler ? Et qu'est-ce que l'Église a enseigné à ce sujet, et comment pouvons-nous appliquer cet enseignement à notre époque ?" Selon le cardinal Burke, ce type de débat est préjudiciable aux âmes, car il suscite de fausses attentes chez les personnes "convoquées et invitées à dire ce qu'elles ont sur le cœur".

Au début du printemps, le cardinal a également condamné l'agenda hérétique de la Voie synodale allemande, déclarant qu'une telle déviation des enseignements du Christ et de l'Église de la part des évêques était un "péché contre le Christ lui-même".

"Qu'il s'agisse d'un écart, d'un enseignement hérétique et de la négation d'une des doctrines de la foi - ou d'une apostasie au sens où l'on s'éloigne simplement du Christ et de son enseignement dans l'Église pour embrasser une autre forme de religion - il s'agit de crimes", a déclaré M. Burke. "Ce sont des péchés contre le Christ lui-même.

"Ce sont des inventions humaines, des idéologies humaines qui sont poussées et l'Église est utilisée", a-t-il ajouté. "Et cela transforme l'Église en une sorte d'agence humaine, presque comme une agence gouvernementale qui est manipulée pour favoriser certains programmes et certains ordres du jour. Nous devons donc nous réveiller pour comprendre ce qui se passe".

L'évêque Athanasius Schneider a récemment demandé au pape François d'annuler le droit de vote des laïcs, qui, selon lui, va à l'encontre de la structure hiérarchique divinement établie de l'Église et de toute l'histoire de la tradition de l'Église.

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14 Juin 2023

"Il n'existe aucune idée claire de ce qu'est la synodalité", a déclaré le cardinal Raymond Burke à EWTN.com (8 juin), "Ce n'est certainement pas une caractéristique de l'Église. L'Église estune, sainte, catholique et apostolique".

Il ajoute que le synode allemand fait progresser les enseignements et les pratiques anti-catholiques : "Cela va maintenant apparemment devenir un programme dans l'Église universelle par le biais du synode."

Burke rappelle que le président du synode de François, le cardinal Hollerich, a enseigné des idées [homosexualistes] clairement contraires à l'enseignement catholique : "Ma prière personnelle quotidienne à notre Seigneur est que, d'une manière ou d'une autre, il fasse en sorte que le synode n'ait pas lieu parce que je ne peux franchement voir nul bien en sortir.".

Burke craint que l'Église ne devienne une sorte d'agence humaine ou gouvernementale.

Il sait que nous sommes dans une "situation très pénible".

Sur la récente affirmation du cardinal Parolin selon laquelle il n'y a pas de lien entre homosexualité et abus, Burke répond que c'est "tout simplement faux" : "Les études scientifiques montrent que la bonne partie des abus cléricaux sont des actes homosexuels commis le plus souvent avec des jeunes hommes."

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PCB : Évêques d'Europe, ouvrez les yeux et levez-vous!

Chers évêques d'Europe,

Le principal problème auquel l'Église est confrontée en ce moment est le parcours synodal LGBTQ. Qu'a dit le cardinal Müller à propos du parcours synodal allemand, qu'il a qualifié de secte ?

« La secte synodale allemande est diamétralement opposée à la foi catholique [...] elle entraînera l'évaporation du christianisme en Allemagne. Des millions de personnes quittent l'Église en Allemagne, et les catholiques qui restent sont déchristianisés... »

Chers évêques d'Italie, d'Espagne, de France et d'autres pays européens, le fait que le christianisme s'évapore concerne également vos nations si vous ne vous repentez pas et si vous ne vous opposez pas, en tant qu'évêques, aux hérésies doctrinales et morales qui sévissent en ce moment historique. Ce parcours synodal allemand est un précédent pour un parcours synodal à l'échelle de l'Église. Le cardinal Müller en souligne les fruits pernicieux et poursuit en disant : « L'ensemble de l'ecclésiologie catholique allemande est trompeur et suicidaire ».

Pensez à ces mots : « trompeur et suicidaire » !

Le cardinal Müller a également commenté l'Assemblée synodale continentale de Prague : « Les protagonistes du catholicisme alternatif allemand ont utilisé la réunion synodale de Prague - comme prévu... »

Le principal propagateur du parcours synodal allemand, l'évêque Bätzing, y a également participé. Lors de la réunion européenne de Prague, l'absurdité du document belge a été approuvée par le silence. Le 20 septembre 2022, le document a approuvé une cérémonie de bénédiction pour les mariages de couples gays, lesbiens et "queer". Citation de ce document : « Que Dieu le Père ... rende leur mariage (de deux sodomites, lesbiennes, queers) ferme et fidèle ... Que leur amour l'un pour l'autre leur apporte la joie et serve le bien-être de notre communauté (ecclésiale). »

L'évêque Bonny s'est vanté d'avoir reçu le soutien du Vatican dans cette démarche. Lors de leur visite ad limina en novembre 2022, le pape invalide leur a dit : « Continuez avec sagesse et restez unis ». Et Bonny d'ajouter : « C'est ce que nous essayons toujours de faire ».

Chers évêques, savez-vous ce que sont les couples "queer" ? Imaginez qu'une personne amène une chèvre à la cathédrale de Prague et demande à l'archevêque Graubner de donner à son couple "queer" une bénédiction matrimoniale. Quelqu'un d'autre arrivera ensuite avec un cochon ou un âne en laisse. La cérémonie de bénédiction belge comprend même une prière approuvée par l'Église pour les couples homosexuels, qui, bien sûr, après la réunion au Vatican, sera acceptée comme contraignante dans l'ensemble de l'Église post-synodale. Donc, si la chèvre bêle en signe de "consentement", le mariage est contracté. Si le porc grogne, le mariage est confirmé. Si l'âne braille, le pseudo-sacrement est scellé. Lorsque ces couples homosexuels assisteront à la messe dominicale dans la cathédrale de Prague, ce sera vraiment la joie, comme le dit le document, mais accompagnée d'une odeur aromatique spéciale.

Appliquer aujourd'hui le document de la Conférence épiscopale de Belgique, qui est également soutenu par la Conférence épiscopale allemande, est une perte de raison, une perte de conscience et une trahison de Dieu et de Ses commandements.
À quoi ont servi toutes ces assemblées continentales ? A légaliser dans l'Église, de manière astucieuse, la forme la plus grossière d'immoralité, ce qui est contraire à la nature même de l'Église. Les Écritures nous mettent en garde contre cela, en parlant du châtiment du feu temporel et éternel (2Pe 2:6 ; Jud 1:7). Les assemblées ont encouragé la rébellion contre Dieu, déguisée en phrases religieuses et en concepts positifs. Le cardinal Müller a déclaré à propos des évêques qui encouragent cette immoralité : « ...ils ne sont plus les serviteurs de la Parole de Dieu, mais les représentants d'un lobby transhumaniste ».

C'est pourquoi ils ont attiré sur eux l'anathème de Dieu selon Gal 1:8-9 et font l'objet d'une excommunication latae sententiae. Le fait que les personnes concernées ne prennent pas leur exclusion au sérieux ne change rien à la réalité de cet anathème.
Ce système synodal insidieux cherche à exploiter les conférences épiscopales dans le but de réaliser l'autogénocide de l'Église. Il suffit que le président d'une conférence épiscopale donnée ait parmi les évêques un partisan supplémentaire du suicide synodal, et tous deux parleront et agiront avec arrogance et cynisme au nom de tous les évêques. À cause de ces deux traîtres au Christ, toute la nation tombe. Les évêques qui les défieront seront menacés de sanctions pour désobéissance au "Saint-Père".

Aujourd'hui, l'hérésie de la papolâtrie est extrêmement répandue. La vénération des saints est appelée dulia, la vénération de la Sainte Vierge est hyperdulia, et la vénération de Dieu - latria. Vénérer le pape plus que Dieu, et même en opposition à Dieu, constitue l'hérésie de la papolâtrie.

L'Église catholique apprécie le don de la papauté parce qu'elle a été instituée afin de protéger la foi et la morale et pour lutter contre les hérésies. La papauté, cependant, sert à légaliser et à promouvoir les hérésies et l'immoralité. La papauté est ainsi dégradée au point de s'autodétruire. En même temps, elle devient un instrument de l'autodestruction massive du catholicisme.
L'assemblée générale synodale qui se tiendra au Vatican le 4 octobre 2023 doit légaliser les immoralités LGBTQ au sein de l'Église. Le projet pilote des conférences allemandes et belges doit s'étendre à l'ensemble de l'Église. Les conférences épiscopales serviront de moyen de mise en œuvre dans les territoires particuliers.

Chers évêques d'Europe, unissez-vous - au moins deux ou trois d'entre vous - et éclairez personnellement les évêques qui n'ont pas encore succombé à l'esprit du lobby transhumaniste. Faites en sorte que votre conférence épiscopale ne prononce pas une sentence de mort sur votre nation. Si vous restez passifs, vous porterez une très lourde responsabilité devant le tribunal de Dieu.
Chers évêques d'Europe, vous devez faire face à cette terrible réalité ! Vous allez maintenant devenir soit les sauveurs de la foi en Europe, soit ses fossoyeurs ! Aucun évêque ne peut rester neutre dans cette situation !

Il est à présent clair pour tout le monde que ceux qui ont participé à l'assemblée de Prague du parcours synodal se sont exclus eux-mêmes du Corps mystique du Christ, l'Église. En outre, ils sont tous soumis à la peine d'excommunication de la structure de l'Église visible. Cela vaut également pour les participants à d'autres assemblées continentales ; le fait qu'ils ne le prennent pas au sérieux est une autre question. Mais il est nécessaire de connaître cette réalité spirituelle et d'y faire face.

Le cardinal Müller a commenté le discours de Prague de Bätzing du 8 février 2023, et il a littéralement dit que l'analyse de Bätzing était épouvantable. Il a renoncé à la foi catholique et a embrassé une autre foi - une pseudo-foi - et un autre Christ : l'antéchrist. Bätzing a rendu son apostasie publique en déclarant : « Ce n'est pas ma foi, ce n'est pas ma foi » : « Ce n'est pas ma foi, ce n'est pas mon image du Christ et de l'Église ». Le cardinal Müller a ajouté : « Les raisons des 'tensions considérables' perçues par l'évêque Bätzing ... sont enracinées dans la contradiction hérétique de la doctrine catholique de la foi ».

En présentant sa vision d'une nouvelle image de l'Église comportant les pseudo-mariages, Mgr Bätzing aurait dû être conspué lors de l'assemblée de Prague. Au lieu de cela, il est devenu une star. Cela révèle l'esprit qui animait l'ensemble de l'assemblée continentale européenne. C'était le même esprit d'hérésie et de dépravation morale que cet archi-hérétique Bätzing promeut. Le 22 mai 2023, Bätzing a déclaré : « Le parcours synodal avance ; je n'ai pas l'impression que le Vatican nous bloque. »

Chers évêques d'Europe, ce que nous vous présentons ici n'est pas une plaisanterie, ni une condamnation exagérée. C'est la réalité à laquelle vous êtes confrontés. Sachez que chaque évêque est compétent pour rejeter le parcours synodal qui contredit dans son essence les vérités fondamentales de l'enseignement catholique. Il est très important que vous veilliez à ce que votre conférence épiscopale ne soit pas un instrument de promotion du suicide spirituel. Par conséquent, unissez-vous dès que possible dans la résistance contre le parcours synodal LGBTQ. Vous deviendrez ainsi un instrument dans le but de sauver l'Église au sein de votre pays. Priez, encouragez-vous les uns les autres, soyez unis, agissez avec sagesse et courage. Dieu vous a confié l'autorité en ces temps difficiles et veut que vous restiez fidèles à Ses enseignements, à Ses lois et à Ses commandements, et que vous n'abusiez pas de cette autorité pour vous rebeller contre Lui. Votre fidélité sera récompensée par le salut éternel. Sinon, vous le perdrez.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr          + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires
                                                                                                                                         
Le 5 juin 2023

SOURCE : Reçu par courriel du Patriarcat Catholique Byzantin.