Un Évêque allemand annonce de nouvelles Directives obligeant les Prêtres à accepter l'homosexualité

20 Juin 2023

(Traduction LVDD)


Le document de travail de 50 pages pour un synode mondial des évêques propose également de discuter de la possibilité de permettre aux hommes mariés de devenir prêtres dans les régions éloignées - une possibilité que le pape François a mise en suspens à la suite de discussions lors d'une réunion similaire en 2019.

Il semble même suggérer que l'Église devrait se montrer compréhensive à l'égard des personnes vivant des relations polygames.

Le synode est en préparation depuis deux ans, au cours desquels les catholiques du monde entier ont été interrogés sur leur vision de l'Église. Une première session se tiendra en octobre prochain et une seconde en octobre 2024.

Le document, connu sous le titre latin Instrumentum Laboris, comprend des suggestions de réflexion et de discussion pour les délégués à la suite des consultations.

Après le synode, le pape rédige ce que l'on appelle une exhortation apostolique, un document officiel exposant son point de vue sur les éventuelles recommandations à mettre en œuvre. Cette exhortation devrait être publiée quelques mois après la deuxième session.

L'une des "questions de discernement" du document est la suivante :

"Comment créer des espaces où ceux qui se sentent blessés par l'Église et mal accueillis par la communauté se sentent reconnus, reçus, libres de poser des questions et non jugés ?

"Quelles mesures concrètes sont nécessaires pour accueillir ceux qui se sentent exclus de l'Église en raison de leur statut ou de leur sexualité (par exemple, les divorcés remariés, les personnes polygames, les personnes LGBTQ+, etc.)

L'Église enseigne que l'attirance pour le même sexe n'est pas un péché, mais que les actes homosexuels le sont. Elle interdit la polygamie, mais cette pratique est discrètement tolérée dans certaines régions d'Afrique pour les convertis qui ont déjà plus d'une épouse.

UN RÔLE ACCRU POUR LES FEMMES

Une section du document est consacrée aux femmes, un sujet qui devrait faire l'objet d'une attention particulière lors du rassemblement d'un mois en octobre, suite à la décision de François en avril d'autoriser pour la première fois les femmes déléguées à voter lors de l'assemblée.

"Quelles mesures concrètes l'Église peut-elle prendre pour renouveler et réformer ses procédures, ses arrangements institutionnels et ses structures afin de permettre une plus grande reconnaissance et participation des femmes, y compris dans la gouvernance et les processus de prise de décision ?

L'année dernière, François a introduit une réforme historique qui permettra à tout catholique laïc baptisé, y compris les femmes, de diriger la plupart des départements du Vatican dans le cadre d'une nouvelle constitution pour l'administration centrale du Saint-Siège.

Il a également nommé trois femmes au sein d'un comité auparavant exclusivement masculin qui le conseille dans la sélection des évêques du monde entier.

Le document précise que la plupart des réponses locales demandaient que la question de l'accession des femmes au rang de diacres soit examinée.

Les diacres, comme les prêtres, sont des ministres ordonnés et doivent être des hommes dans l'Église d'aujourd'hui. Ils ne peuvent pas célébrer la messe, mais ils peuvent prêcher, baptiser, célébrer des mariages et des funérailles et diriger une paroisse avec l'autorisation d'un évêque.

(Reportage de Philip Pullella ; Rédaction d'Alison Williams)

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21 Juin 2023

Le Vatican a publié le 20 juin un pamphlet de travail de 60 pages, préparant le terrain pour le prochain Synode des ex-évêques.

Il évoquera l'ordination [invalide] des femmes dans le contexte de "nouveaux ministères" pour permettre une plus grande "participation des femmes", y compris dans les processus de gouvernance et de prise de décision - même si les centres de prise de décision de l'Église se sont effondrés depuis Vatican II. Un diaconat féminin [non valide] est également envisagé.

Le document envisage des mesures pour "accueillir" ceux qui "se sentent" exclus de l'Église parce qu'ils vivent sans se repentir dans le péché mortel, comme "les divorcés et les remariés, les personnes vivant dans des mariages polygames, ou les catholiques LGBTQ+". Il est également prévu d'abolir le célibat des prêtres.

Le document de travail prétend qu'il existe déjà une "acceptation des divorcés remariés" dans l'Église.

En revanche, le renouveau de l'Église, comme la restauration de la liturgie, de la foi et de la discipline, et la lutte contre l'avortement, l'homosexualité et l'euthanasie, n'est pas abordé.

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L'archevêque reproche au Synode sur la synodalité de contredire la tradition de l'Église et de promouvoir l'"Agenda 2030" mondialiste. L'archevêque argentin Hector Aguer a averti que le synode du pape François essayait de créer une "nouvelle Église progressiste" qui ressemble au protestantisme.


5 juillet 2023

Traduction : LVDD

(LifeSiteNews) - L'archevêque argentin Hector Aguer a comparé le Synode et la Synodalité à "l'Agenda 2030 mondialiste" de l'ONU et au schisme protestant.

Mgr Aguer est l'archevêque émérite de La Plata, en Argentine. Il a été remplacé en 2018 par le nouveau chef très controversé du Dicastère (anciennement Congrégation) pour la doctrine de la foi, l'archevêque Victor Manuel Fernandez.

Dans une lettre publiée par Rorate Caeli, Aguer a critiqué le nouveau document de travail, ou Instrumentum Laboris (IL), du Synode sur la synodalité, qui souligne la nécessité "d'accueillir ceux qui se sentent exclus de l'Église en raison de leur statut ou de leur sexualité."

L'Église synodale formule une glose progressiste sur l'Évangile", a déclaré M. Aguer.

"L'Instrumentum Laboris explique comment assumer ecclésialement l'Agenda 2030 mondialiste", a-t-il déclaré. Il est admirable de voir comment la monarchie pontificale fait dire à la "démocratie synodale" ce qu'elle veut que cette "démocratie" dise. C'est un peu comme si on lançait une pierre et qu'on cachait la main".

Il a noté qu'à travers le Synode, "l'Église catholique commence tardivement à suivre le chemin ouvert par la Réforme protestante, à une époque où le protestantisme a depuis longtemps été englouti par le monde".

"C'est le moment de citer ce qu'un luthérien danois qui fut un grand philosophe chrétien, Soren Kierkegaard, a écrit dans son Journal en 1848 : C'est le moment de citer ce qu'un grand philosophe chrétien luthérien danois, Soren Kierkegaard, a écrit dans son journal en 1848 : 'En ce moment, quand on parle de réorganiser l'Église, on voit clairement le peu de christianisme qu'il y a en elle'", a-t-il poursuivi.

Mgr Aguer a en outre critiqué la participation des laïcs au processus synodal, en particulier celle des femmes laïques, et a estimé que "les vocations sacerdotales ne sont plus une priorité" dans l'"Église synodale".

"L'itinéraire de la future Assemblée, qui a déjà été préparée pendant deux ans, fait parler et voter la 'foule' - en particulier, et c'est une nouveauté, les femmes", a-t-il écrit. "C'est ce que j'ai sous-entendu avec l'exemple bien connu de la pierre. Lorsque la conception de cette autre Église sera achevée, le Souverain Pontife, face aux critiques qui ne manqueront pas, pourra dire : 'Ce n'est pas moi qui l'ai fait' !"

Selon Mgr Aguer, la nouvelle ecclésiologie appelée "synodalité" est ambiguë car elle n'indique pas clairement dans quelle direction l'Église est censée aller.

"L'objectif peut donc être la nouvelle Église progressiste, à contre-courant de la grande tradition ecclésiale", écrit l'archevêque.

L'un des sujets à l'ordre du jour, qui attire rapidement l'attention, est "comment l'Église peut-elle être plus sensible aux personnes LGBTQ+", a-t-il ajouté, notant que l'expression "personnes ayant des tendances homosexuelles" qui a été utilisée dans le catéchisme et d'autres documents de l'Église est remplacée par ce nouveau terme idéologique de "personnes LGBTQ+".

Aguer a conclu que "la vérité objective et la reconnaissance des préceptes par lesquels la vertu et le péché sont jugés et reconnus ne comptent plus". Au contraire, "ce qui compte maintenant, c'est ce que ressentent ceux qui se considèrent comme exclus ; c'est leur sentiment qui compte, et non l'état objectif dans lequel ils se trouvent."

"Le programme synodal, comme celui du Synode allemand, dessine une autre Église, hétérogène par rapport à la grande et unanime Tradition", a-t-il déclaré.

M. Aguer a indiqué qu'il connaissait personnellement le pape François depuis 45 ans. Il a comparé François et les auteurs des documents du Synode à des "causes secondes" par lesquelles Dieu permet au mal de se produire.

"Je reconnais et vénère François comme le successeur de Pierre, vicaire du Christ", a-t-il écrit. "Mais François reste Jorge Bergoglio. Or, je connais Jorge Bergoglio depuis 45 ans. Il est une 'seconde cause'".

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9 juillet 2023

Même pour François, c'est exceptionnellement bas. Les membres qu'il a personnellement choisis pour le synode d'octobre - rempli à ras bord d'évêques homosexualistes - comprennent également des laïcs principalement homosexualistes. Deux exemples.

François a nommé Cynthia Bailey Manns, une représentante de la "communauté catholique"Saint Joan of Arc à Minneapolis, Minnesota. Mme Manns est directrice de la "formation à la foi des adultes". Sa secte est connue pour combattre la foi. En 2019, ils ont permis à deux riches homosexuels masculins de présenter un enfant produit in vitro né d'une mère louée, et ont reçu une ovation debout pour avoir promu l'adoption homosexuelle.

En outre, il a nommé Sœur Xiskya Valladares, 52 ans, une Nicaraguayenne vivant en Espagne, qui défend les pseudo-bénédictions homosexuelles sur ses chaînes de médias sociaux. Son message est la haine contre les catholiques : "Je ne comprends pas pourquoi il y a un secteur de l'Église qui continue à être déterminé, d'abord, à voir le péché dans tout ce qui est lié aux relations sexuelles [extraconjugales].

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9 juillet 2023

L'évêque de Tyler, Joseph Strickland, Texas, a commenté le document de travail du synode des ex-évêques qui cherche à "accueillir" les polygames, les adultères et les homosexuels (LifeSiteNews.com, 2 juillet).

Il a expliqué qu'accueillir véritablement ces pécheurs signifie les amener à la repentance, "cela implique de changer, de s'éveiller à la vérité".

L'Église ne peut pas accepter ceux qui vivent dans le péché homosexuel "tels qu'ils sont", sinon "cela nous entraîne tous vers le bas".

Ceux qui s'identifient comme homosexuels s'y perdent, a souligné Mgr Strickland : "Si Dieu est supprimé, nous ne savons plus qui nous sommes".

Le travestissement vient du mal, explique-t-il, "et il vient de la déconnexion de Dieu" et il est absurde de considérer "cette mascarade" comme de l'amour et de l'inclusion.

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15 juillet 2023

Le pape François choisit une femme travaillant dans une église hétérodoxe, un "séminaire", comme déléguée au vote du Synode. Cynthia Bailey Manns travaille dans une église connue pour promouvoir des pratiques hérétiques radicales telles que l'homosexualité et le transgendérisme.

(LifeSiteNews) - Le pape François a choisi comme déléguée votante pour le Synode sur la synodalité une laïque dissidente qui sert dans une église catholique et un "séminaire" œcuménique qui accueillent des événements blasphématoires, y compris des conférences en faveur de l'avortement et de l'homosexualité.

Cynthia Bailey Manns a été désignée le 7 juillet comme l'une des dix délégués non évêques choisis pour représenter la région Amérique du Nord lors de la première assemblée générale du Synode sur la synodalité en octobre. Ces nominations marquent la première fois dans l'histoire que des personnes autres que des évêques sont autorisées à voter dans un synode.

Jeudi, Complicit Clergy a diffusé une vidéo montrant que l'église où M. Manns est actuellement directeur de l'éducation des adultes, Sainte Jeanne d'Arc à Minneapolis, est profondément hétérodoxe et accueille des conférences et des événements blasphématoires.

De l'aveu même de M. Manns, l'église a été accusée de ne pas être "assez catholique".

L'église accueille une série d'orateurs avant la messe au cours de laquelle des témoignages ont été donnés par une personne qui se décrit comme lesbienne, une personne "transgenre" et un homme gay tenant un enfant dans ses bras, qui a déclaré que "Jésus avait deux pères", dans une tentative d'établir un parallèle entre sa propre relation homosexuelle et celle de Dieu le Père et du père nourricier du Christ, Joseph.

Le dimanche des Rameaux 2022, l'église a organisé une "reconstitution" tordue de la dernière Cène au cours de laquelle une personne de sexe inconnu, portant un masque avec des fentes pour les yeux, a brisé un morceau de pain pita sur un "autel" de fortune pendant qu'une femme racontait certaines des paroles du Christ Jésus qui sont répétées lors de la consécration de l'hostie à la messe. Le "Christ" a ensuite rompu et distribué le pain à des personnes portant des masques humains grossièrement formés, entourées d'enfants déguisés en animaux.

Dans un clip vidéo partagé par Complicit Clergy, le père Jim DeBruycker, pasteur de l'église, a suggéré que le Vatican est bien conscient des tendances théologiques de l'église, partageant lors de l'annonce de sa nomination que celle-ci est intervenue "après un examen approfondi de Cynthia, y compris de l'endroit où elle travaille".

M. Manns a poursuivi en confirmant que "pour me contrôler, ils ont dû contrôler Sainte Jeanne d'Arc". Et pour ceux qui disent que nous ne sommes pas assez catholiques, bla bla bla - oui, nous le sommes. Et le pape l'a dit", a-t-elle conclu en riant.

Selon Mme Manns, l'archevêque Bernard Hebda de l'archidiocèse de St. Paul et Minneapolis l'a désignée comme déléguée votante au Synode sur la synodalité.

Elle est également professeur auxiliaire au United Theological Seminary, une "école œcuménique qui englobe toutes les dénominations et traditions religieuses" et qui se décrit comme "théologiquement aventureuse".

Comme l'a démontré Complicit Clergy, l'école a accueilli une conférence du
"révérend" Kelli Clement, qui a déclaré que l'avortement était l'une de ses "décisions de vie les plus importantes".

"Je ne regrette pas mes avortements et je n'en ai pas honte", a déclaré Mme Clement, ajoutant qu'elle était "reconnaissante" d'avoir eu "l'opportunité d'être le capitaine de mon propre navire".

L'école a également accueilli une "chapelle de la fierté homosexuelle" au cours de laquelle le "révérend" Justin Sabia-Tanis a fait l'éloge de l'homosexualité en scandant "deux, quatre, six, huit, l'homosexuel est aussi bon que l'hétérosexuel".

On peut également voir sur le site web de Complicit Clergy une vidéo montrant un service de "chapelle païenne d'équinoxe de printemps" au "séminaire", organisé par la "grande prêtresse Lisa" en mars 2023.

The Catholic Spirit a nommé Manns comme collaborateur de la revue bimensuelle hérétique Ecumenical Trends, qui prône une "communion partagée" avec les protestants.

M. Manns a également travaillé avec une organisation qui aspire à unir toutes les Églises chrétiennes, dont l'Église catholique ne fait notamment pas partie : le Conseil œcuménique des Églises.

Comme l'a noté l'archevêque Hebda dans une annonce écrite de sa nomination en tant que déléguée votante au synode, Mme Manns a représenté l'archevêché à sa demande au sein d'un groupe qui a travaillé avec le Conseil œcuménique des Églises et le Dicastère pour la promotion de l'unité des chrétiens afin de rédiger les documents internationaux pour la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens de 2023.

Le Conseil œcuménique des Églises est une "communauté fraternelle d'Églises" qui s'autoproclame "en marche vers l'unité visible dans une seule foi et une seule communauté eucharistique".

Le travail de Mme Manns avec des institutions hétérodoxes fait écho aux positions de nombreux ecclésiastiques notoirement dissidents qui ont également été choisis comme membres votants du Synode.

Sa nomination donne du crédit à l'argument du diacre Nick Donnelly selon lequel le Synode est un moyen de promouvoir l'homosexualité dans l'Église.

"Bergoglio ne cache pas que l'objectif du synode sur la synodalité est de défier les commandements de Dieu contre les sodomites", a-t-il écrit.

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Le père Murray : Le synode pro-homosexualité du pape François "sera un moment de crise pour l'Église. Le prêtre new-yorkais a souligné que les changements apportés au catéchisme sur l'homosexualité doivent être "vigoureusement combattus" et que le nouveau chef de la doctrine du Vatican, Victor Manuel Fernández, "doit être combattu" s'il promeut la sodomie.

Traduction : LVDD

(LifeSiteNews) - Le père Gerald Murray a déclaré que le nouveau chef doctrinal du pape François "doit être résisté" s'il tente de légitimer l'homosexualité et a averti que le Synode sur la synodalité sera un "moment de crise pour l'Église" et une occasion pour les "forces du radicalisme" d'essayer de renverser l'enseignement catholique et de réécrire le Catéchisme de l'Église catholique en faveur de la sodomie.

Le prêtre new-yorkais et avocat canonique a fait ces commentaires dans un épisode de l'émission "The World Over" de Raymond Arroyo, jeudi, en compagnie de Robert Royal, rédacteur en chef de The Catholic Thing.

L'approbation des "bénédictions" homosexuelles serait "une hérésie ouverte et un schisme".
Une grande partie de l'épisode a été consacrée à l'archevêque Victor Manuel Fernández, le nouveau préfet du Dicastère (anciennement Congrégation) de la Doctrine de la Foi (DDF). Dans une interview accordée au début du mois, Mgr Fernández a ouvert la porte à une révision du document de 2021 de la Congrégation, qui condamnait les "bénédictions" d'unions homosexuelles.

"Il ne serait pas mauvais de le repenser, à la lumière de tout ce que François nous a enseigné", a-t-il déclaré à Religión Digital, un site web espagnol de gauche.

"Beaucoup disent qu'il n'a pas la saveur de François dans la manière dont il est rédigé et dans certaines des expressions qu'il utilise", a ajouté l'archevêque argentin, citant la déclaration du document selon laquelle Dieu "ne bénit pas et ne peut pas bénir le péché".

Mgr Fernández, que le pape François a également nommé cardinal, a indiqué dans une précédente interview qu'il pourrait soutenir les "bénédictions" homosexuelles si elles n'entraînaient pas de "confusion". Le prélat en proie au scandale a également plaidé en faveur de l'utilisation du préservatif, a admis avoir mal géré des abus sexuels et a écrit un livre érotique sur le baiser.

Robert Royal a souligné que tenter de renverser l'enseignement catholique contre les "bénédictions" homosexuelles comme Fernández l'a suggéré serait "une hérésie ouverte et un schisme ouvert".

"Nous savons d'après l'enseignement dogmatique, et nous le savons en remontant à Saint Paul dans les Romains, et de nombreux autres éléments dans notre Tradition et dans la Bible elle-même, que l'activité homosexuelle est un péché. C'est tout simplement un péché", a-t-il déclaré. "Bénir une sorte de relation qui est un péché en soi n'a aucun sens.

Il a ajouté que toute insinuation selon laquelle "il sera peut-être possible un jour de revenir sur cet enseignement est tout simplement fausse".

"Et si cela se produit, nous sommes en hérésie ouverte et en schisme ouvert avec le pasteur de l'Église", a averti M. Royal. "J'espère que cette confusion ne persistera pas pendant des années avec l'archevêque Fernandez à la DDF, mais je crains fort que c'est ce vers quoi nous nous dirigeons".

Il a noté, en outre, que Juan Carlos Cruz, un activiste homosexuel et ami personnel du pape François, a déclaré lors d'une récente conférence pro-LGBT organisée par le jésuite dissident James Martin que François lui avait dit qu'il n'avait pas réellement signé le document 2021, ce que Cruz a attribué au "fanatisme" des fonctionnaires du Vatican.

Le père Murray a également réaffirmé que l'enseignement catholique sur la nature désordonnée de l'homosexualité est immuable, tout en prédisant que la question sera de toute façon à l'ordre du jour du Synode.

"La doctrine de la foi, comme l'a souligné Bob, est cohérente et claire : l'activité homosexuelle est intrinsèquement désordonnée et l'inclination homosexuelle est également intrinsèquement désordonnée parce qu'elle conduit les gens à des actions qui, en elles-mêmes, sont offensantes pour Dieu, indépendamment de toute intentionnalité de la part des personnes qui commettent ces péchés", a expliqué M. Fernández.

Il a également accusé M. Fernández de "faire le jeu" de M. Martin, qui a affirmé que le langage de l'Église sur l'homosexualité était "cruel" et que le catéchisme devrait être révisé pour ne plus affirmer que l'homosexualité est désordonnée. Un nombre croissant d'évêques hétérodoxes, dont les cardinaux Robert McElroy, Joseph Tobin et Blase Cupich, ainsi que la majeure partie de la hiérarchie allemande, ont demandé que des changements similaires soient apportés au catéchisme sur l'homosexualité.

"J'ai le sentiment que cette question sera à l'ordre du jour du synode et qu'il s'agira d'un moment de crise pour l'Église", a déclaré le père Murray.

"L'Église ne peut pas enseigner que ce qui est immoral peut être béni et elle ne peut certainement pas enseigner que ce qui est désordonné est en quelque sorte maintenant simplement ordonné différemment ou une variation mais pas vraiment offensant pour Dieu", a-t-il souligné. "C'est faux.

Les attaques contre le catéchisme doivent être "vigoureusement combattues".
M. Fernandez lui-même a récemment fait allusion à une révision de l'enseignement du catéchisme sur la sodomie, déclarant mardi au journal italien Quotidiano Nazionale que le langage du catéchisme causait de la "douleur" au "cœur des gens".

Le pape François "utiliserait sans aucun doute un langage différent", a déclaré le futur chef de la doctrine.

Le père Murray a critiqué ces commentaires, insistant sur le fait que toute tentative d'affaiblir le catéchisme sur l'homosexualité doit être "vigoureusement combattue" et que Fernandez "doit être combattu" s'il tente de pousser l'Église à accepter la sodomie.

"Maintenant, s'il [Fernandez] nous signale qu'il y a une sorte de mouvement pour changer le langage du catéchisme, il faut s'y opposer vigoureusement, parce que cela ne fera que confirmer les gens dans le péché, et nous donnerons l'impression que la doctrine catholique est sujette à des changements", a déclaré le prêtre. "La doctrine catholique n'est pas sujette au changement. La vérité est la vérité - elle est transmise par Dieu, elle est attestée dans les Écritures, dans la loi naturelle, dans l'enseignement constant de l'Église".

"Nous ne pouvons donc pas dire que la sodomie est bonne, et si c'est ce vers quoi Fernandez et d'autres essaient de pousser l'Église, il faut leur résister", a-t-il déclaré.

Le synode sur l'homosexualité

"Ce que nous avons ici, et c'est très triste à dire, je l'ai dit il y a environ un an et demi, c'est que le Synode sur la synodalité est en train de se transformer en Synode sur l'homosexualité", a poursuivi le père Murray.

"L'Église catholique a une vérité libératrice sur la sexualité humaine qui donne la vie et qui n'inclut pas l'approbation du péché mortel", malgré l'opposition des "groupes de pression et des personnes qui les soutiennent dans la hiérarchie et des prêtres comme le père Martin".

"Il est difficile de croire, Raymond, que nous sommes ici, en train de parler de la question la plus vitale dans la vie de l'Église, [qui] est de déclarer que nous nous sommes trompés pendant 2000 ans sur un enseignement qui est biblique et clair, que la sodomie est un péché et ne devrait jamais être approuvée par l'Église", a déclaré le prêtre. "Mais c'est ce qui se passe aujourd'hui.

Arroyo a également noté que le pape François a personnellement nommé plusieurs personnes qui s'opposent à l'enseignement catholique sur la sexualité et d'autres sujets en tant que membres votants du synode en octobre.

Les nominations de François comprennent le père Martin, les cardinaux Cupich et McElroy, Sœur Xiskya Valladares, une religieuse nicaraguayenne en Espagne qui a défendu les "bénédictions" homosexuelles, et Cynthia Bailey Manns, une activiste de gauche du Minnesota.

Mme Manns est directrice de la formation à la foi des adultes à la très hétérodoxe communauté catholique Sainte Jeanne d'Arc de Minneapolis, qui a permis à des personnes homosexuelles et souffrant de confusion sexuelle de donner des réflexions avant la messe, y compris à deux homosexuels qui ont fait la promotion de leur "mariage" et de l'acquisition d'un petit garçon par le biais d'une mère porteuse et d'une fécondation in vitro. L'Église enseigne que l'adoption homosexuelle est gravement immorale et constitue une forme de "violence" à l'égard des enfants.

"Il est évident que les personnes qui proposent un changement doctrinal, un changement pastoral, pour favoriser la tolérance du péché dans la vie de l'Église, sont favorisées", a commenté le père Murray. "Le père James Martin est probablement la nomination la plus choquante, mais je ne devrais pas être choqué parce que le pape l'a favorisé jusqu'à présent."

Le père Royal a fait remarquer que les choix souvent obscurs du pape François pour les délégués synodaux, comme le père Manns, suggèrent qu'une "coalition beaucoup plus profonde et beaucoup plus large à Rome" que François "prépare le changement radical de l'enseignement catholique".

"Comment ont-ils pu trouver cette personne de la Communauté Sainte Jeanne d'Arc dans le Minnesota ? Il doit y avoir un réseau à Rome ou un réseau via quelqu'un comme le père James Martin qui choisit une personne extrêmement obscure et extrêmement radicale", a-t-il déclaré.

"Il en va de même pour cette religieuse nicaraguayenne qui se retrouve en Espagne. Et je pense que cela reflète qu'il y avait une coalition beaucoup plus profonde et beaucoup plus large à Rome, autre que François lui-même, qui semble préparer le changement radical de l'enseignement catholique" sur les "bénédictions" homosexuelles et "d'autres choses", comme "la licorne des femmes diaconesses et des prêtres mariés à nouveau", a ajouté M. Royal.

La révélation divine attaquée

Les récentes nominations synodales "indiquent en fin de compte un groupe de personnes qui ne croient pas" à la "nature contraignante" de la révélation divine, a observé le père Murray.

"Ils ne considèrent pas la révélation comme contraignante, mais plutôt comme pouvant être modifiée. Ils appellent cela, comme ils le font toujours, un 'développement' ; nous allons développer l'enseignement", a-t-il déclaré. "Le développement ne signifie pas la négation, et si vous changez un enseignement - quelque chose est bon, et ils disent maintenant que c'est mauvais, et vice versa - c'est trahir la révélation.

Le prêtre a identifié la fidélité à la révélation comme la "question la plus cruciale" qui sera "au premier plan" du Synode.

"La révélation divine a-t-elle une force contraignante, c'est-à-dire que ce qui a été enseigné par le Christ et a toujours été enseigné par l'Église peut-il changer ? Et la réponse, bien sûr, est non, parce que Dieu est la vérité, la vérité de Dieu, révélée pour notre salut", a-t-il noté.

"Quel est le centre de toute l'Église catholique ? C'est le Christ. Nous sommes tous des serviteurs du Seigneur, et sa parole nous donne la vie", a-t-il poursuivi. "Alors, des gens arrivent et essaient de la changer - ce sont vraiment des bergers infidèles, et maintenant les laïcs sont des agitateurs qui travaillent avec eux".

"Nous devons prier, nous devons prier pour que ce synode ne dégénère pas en cela", a exhorté le père Murray. "Nous ne pouvons pas céder aux forces du radicalisme.

Faisant écho au cardinal Gerhard Müller, M. Arroyo a décrit le synode comme une "prise de contrôle hostile" de l'Église catholique : "Je crains que le cardinal Müller n'ait raison : Il s'agit d'une prise de contrôle hostile de l'Église catholique avec une institution autonome, ce qui ne s'est jamais produit - dans l'histoire du catholicisme, jamais produit.

Note de l'éditeur : Cet article a été mis à jour pour refléter le fait que Juan Carlos Cruz, et non le pape François, a déclaré que le document du Vatican de 2021 condamnant les "bénédictions" homosexuelles était lié au "fanatisme" des fonctionnaires du Vatican.

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4 août 2023

Du 4 au 29 octobre 2023, l'assemblée mondiale du parcours synodal LGBTQ aura lieu au Vatican.

Trois questions se posent :

1) Quel est ce parcours synodal de Bergoglio ?
2) Quel est son objectif ?
3) Comment cela se déroule-t-il ?

La réponse à la première question : le cheminement synodal LGBTQ est une rébellion contre Dieu, la destruction de l'Église catholique, la destruction de la papauté et l'élimination des lois de Dieu.

Réponse à la deuxième question : le parcours synodal LGBTQ vise à faire tomber une malédiction à cause de l'anti-évangile contemporain. Il poursuit la destruction du christianisme et la transition vers une pseudo-religion New Age qui, avec les païens, vénère leurs divinités, c'est-à-dire les démons.

Réponse à la troisième question : le parcours synodal LGBTQ se déroule de manière secrète, rusée et de façon délibérée. Il abuse de l'autorité suprême afin d’imposer la légalisation des hérésies et de l'immoralité.

Bergoglio est en train d’introduire des changements irréversibles dans le cadre de ce processus synodal. À cette fin, il utilise un système d'organisations religieuses à but non lucratif qu'il a formées à partir de personnes LGBTQ impénitentes. Il les active comme une meute de loups voraces et les exploite pour ce suicide de l'Église. À ce jour, personne n'a officiellement défini ce qu'est réellement le parcours synodal.

Lors de l'assemblée continentale de Prague, les évêques ont déclaré ouvertement qu'ils ne le savaient pas non plus. L'essentiel du parcours synodal est délibérément tenu secret. Cependant, ceux qui veulent connaître la vérité peuvent déjà la connaître aujourd'hui.

Nous avons dix ans d'expérience avec l'acteur principal du parcours synodal et avec ce qu'il poursuit. L'objectif de Bergoglio n'est pas la restauration de l'Église catholique, mais sa destruction. Le drame est qu'à ce jour, ses crimes n'ont pas été dévoilés. Les mensonges n'ont pas été appelés des mensonges, et un hérétique n’a pas été appelé un hérétique. Bien qu'il se soit exclu de l'Église à cause de ses hérésies et qu'il ne soit pas un pape légitime, aucune conséquence n'a été tirée de ce fait. Fermer les yeux, c'est trahir le Christ. Se soumettre à lui (Bergoglio) dans une fausse obéissance, c'est être en rébellion contre Dieu. C'est un suicide spirituel. La plus grande tragédie est l'aveuglement et la passivité des évêques, des prêtres et des croyants.

Le pseudo-pape Bergoglio a promu de manière dictatoriale la vaccination expérimentale. Depuis dix ans, il promeut l'homosexualité et boycotte les principes moraux de base et les lois de Dieu. Avec qui s’est-il allié ? Avec les élites mondiales qui arrivent les unes après les autres au Vatican. Il agit dans le sens de leur promotion de la vaccination expérimentale, de l'islamisation de l'Europe, ainsi que des politiques dites « climatiques » et « écologiques » du Nouvel Ordre Mondial. Cependant, il ne permet catégoriquement pas le véritable repentir.

François Bergoglio est soumis à un anathème de Dieu multiple, c'est-à-dire l'expulsion de l'Église. La raison pour cela n'est pas seulement la violation des commandements de Dieu, mais la légalisation de l'immoralité LGBTQ et de l'idolâtrie publique. Il a intronisé le démon Pachamama au Vatican. Il s'est même fait vouer à Satan et aux démons par un sorcier ayant soufflé dans un sifflet au Canada.

Il a à présent nommé 21 autres cardinaux, de sorte que lors de la prochaine élection papale, 72% de ceux qui pourront voter sont déjà son peuple, qu'il avait bien contrôlé. Même sa nomination de cardinaux est nulle et non avenue selon la bulle dogmatique, car toutes les actions d'un hérétique sont nulles et non avenues devant Dieu et l'Église. Ces soi-disant cardinaux ne voteront que pour François n°2, c'est-à-dire pour le même programme d'autodestruction de l'Église que Bergoglio a déjà fait passer. Il a remis le pouvoir à la secte bergoglienne, et celle-ci ne permettra plus aucun pape orthodoxe. Les successeurs d'un pape non valables seront également non valables. Cette structure a déjà sonné le glas à la papauté. Les hérétiques publics, les sodomites et les idolâtres, qui se sont exclus de l'Église, ne peuvent en être le chef.

Quelle méchanceté de la part de Bergoglio de soutenir le parcours synodal blasphématoire allemand ! Il a un objectif clair. Non seulement pour ordonner des femmes, en particulier des lesbiennes, comme diaconesses, prêtres et évêques, mais aussi pour mettre en place de soi-disant conseils synodaux. Ces conciles synodaux déchargeront peu à peu complètement les évêques de la responsabilité de l'Église. Les laïcs LGBTQ prennent leurs responsabilités ! C'est la fin totale du catholicisme et de la papauté.

Quelle méchanceté pour Bergoglio de permettre aux évêques apostats de Belgique d'introduire des cérémonies de bénédiction liturgique pour les homosexuels, les lesbiennes et les couples dits queer. Cela inclut également la bénédiction des soi-disant mariages avec des animaux, par exemple. C'est de la folie! Le pseudo-évêque Bonny lui-même s'est vanté d'avoir fait tout approuver par le pape, qui lui a dit : « Faites-le avec sagesse et soyez tous unis », c'est-à-dire faites-le avec ruse et de façon résolue.

Qu'attendent encore les évêques, les prêtres et les croyants ? Un projet pilote de l'anti-église connu de Bergoglio est prêt, notamment en Allemagne et en Belgique. Il doit être publiquement transplanté dans toute l'Église en octobre ou l'année prochaine. Tout se fera en vertu de la sainte obéissance au soi-disant Vicaire du Christ sur la Terre, lui qui est ce que l’on appelle le successeur de l'Apôtre Pierre. Ceci constitue une moquerie du Sauveur et la plus grande honte pour l'Apôtre Pierre !

Afin de mettre en œuvre son plan secret, le pseudo Pape a nommé comme nouveau préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi un homme qui poursuit le même but que lui, à savoir la légalisation de l'homosexualité, de l'idolâtrie et des hérésies, c'est-à-dire l’autodestruction de l'Église.

Bergoglio a déjà révélé ce programme lorsqu'il a dit que la Congrégation pour la Doctrine de la Foi doit complètement changer le sens de son existence. Au lieu de protéger contre les hérésies, elle est désormais censée promouvoir et privilégier les hérésies. C'est sûrement aussi la raison pour laquelle le pseudo-préfet Fernández ne cache pas sa chaleureuse sympathie pour le parcours synodal LGBTQ allemand. Ce n'est plus l'Église; c'est la synagogue de Satan (cf. Ap 3:9) !

Quelle est la solution en ce temps de crise ?

Commencez par un vrai repentir avant qu'il ne soit trop tard. Avant tout, il faut appeler un péché un péché, un hérétique un hérétique, et se séparer de sa sujétion. Que sont exactement censés faire les évêques ? Rédigez une lettre pastorale appelant les prêtres à cesser de dire le nom du pape invalide au cours de la messe. En même temps, ils devraient recommander aux prêtres et aux croyants une expérience plus profonde de la messe. Plus précisément, il y a deux moments de silence qui durent de 3 à 5 minutes, le premier avant la Consécration et le second après la Consécration. Pendant le premier moment de silence, le prêtre s'agenouille et renouvelle en esprit son onction sacerdotale, qui est une condition de la Consécration. Il demande au Saint-Esprit de renouveler cette onction. Le Saint-Esprit, à travers les paroles du Christ prononcées par lui, accomplit le mystère de changer le pain en Corps de Christ et le vin en Sang de Christ. Après la Consécration, le prêtre s'agenouille à nouveau en adoration silencieuse. Lui et les fidèles prennent conscience de la réalité de la réalisation du mystère de la mort du Christ au Calvaire pour expier nos péchés.

Il faut également rappeler aux fidèles de vivre ces deux moments de silence en union avec le mystère de la foi. Pendant le premier moment de silence, le chœur peut chanter une antienne au Saint-Esprit et pendant le second, une antienne répétant le nom de Jésus – Yehoshua. Il est écrit : « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Rom 10:13).

De plus, l'évêque doit permettre aux prêtres célébrant la messe de faire face au tabernacle en unité avec les fidèles, comme cela a été la pratique à travers l'histoire. Actuellement, l'autel et le prêtre se tiennent dos au tabernacle. C'est un geste négatif d'homocentrisme ou d'anthropocentrisme par rapport au théocentrisme.

Que sont censés faire les prêtres ? Les prêtres doivent soumettre une pétition à l'évêque avec ces demandes concernant la messe. Que les prêtres se réunissent une fois par semaine pendant une journée entière en petits groupes et prient les uns pour les autres, pour les âmes qui leur sont confiées et pour l'Église. Dieu donnera à ces prêtres lumière et force pour rester fidèles au Christ et à son Evangile.

Que sont censés faire les fidèles ? Qu'ils se repentent en réservant au moins une heure par jour à la prière. Ou laissez-les prier quotidiennement le Rosaire complet de quinze dizaines, ou au moins une partie de celui-ci. Les fidèles laïcs zélés doivent prier 2,5 heures par jour, donnant ainsi une dîme de temps à Dieu. Dieu sauvera l'Église par ces âmes ferventes.

Si, par paresse, lâcheté ou perte de temps en vanités, les évêques, les prêtres et les croyants négligent de consacrer du temps à la communication avec Dieu, Bergoglio et sa secte détruiront l'Église catholique. Mais le blâme dans ce cas ne tombera pas seulement sur la secte de Bergoglio. Il tombera également sur ceux qui auraient pu empêcher cette tragédie par la repentance et la prière, et qui ont négligé de le faire ! Que les catholiques fidèles à Dieu aient donc recours avec confiance à la Mère de Jésus dans la prière du Rosaire. Elle écrase la tête du serpent infernal.

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques secrétaires

Le 28 juillet 2023

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par Pierre-Alain Depauw

7 août 2023

L’évêque allemand Franz-Josef Overbeck a posé pour une photo avec un drapeau LGBT dans une église de Lisbonne lors des JMJ.

La photo a été initialement publiée par le compte Instagram d’un groupe de jeunes de la paroisse de l’Assomption Sainte-Marie et partagée par le compte du diocèse d’Essen.

Overbeck, l’évêque d’Essen, est vu tenant un “drapeau de progrès” LGBT avec un groupe de jeunes à l’intérieur d’une église. La légende sur la photo dit “Aujourd’hui, nous avons célébré la Sainte Messe avec Mgr Overbeck”.

Le «drapeau Progress Pride» (avec le triangle multicolore à gauche) a été conçu par un militant transgenre en 2018 et est destiné à inclure la «communauté transgenre» et les «minorités raciales». Il a été hissé par les ambassades des Etats-Unis durant tout le mois de juin.

Overbeck est connu pour ses positions pro-LGBT et anti-famille. Dans une interview en décembre 2022, Overbeck  a déclaré  que l’Église doit “élargir sa compréhension de la famille” pour inclure toutes les formes “où les gens vivent avec des enfants”.

L’évêque d’Essen a également autorisé des laïques à administrer le sacrement du baptême dans son diocèse, prétendument en raison d’un “manque de prêtres”.

Overbeck est un ardent partisan de la voie synodale allemande hérétique   qui, parmi d’autres propositions hétérodoxes contredisant l’enseignement éternel de l’Église, a appelé à plusieurs reprises à changer la doctrine sur les ordinations des femmes et sur les actes homosexuels.

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