Méditation avec le Combat Spirituel de Laurent Scupoli
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Re: Méditation avec le Combat Spirituel de Laurent Scupoli
CHAPITRE LXIII Des quatre assauts que nos ennemis nous livrent à l’heure de
la mort, et premièrement de la tentation contre la foi et de la manière d’y résister
(...) Et si le serpent rusé vous demande ce que croit la sainte Église, ne répondez pas ; mais, sachant qu’il veut vous surprendre et abuser de vos paroles, contentez-vous de faire intérieurement un acte de foi vive ; ou, si vous voulez le faire dépiter davantage, répondez-lui que la sainte Église romaine croit la vérité.
Et s’il vous demande quelle est cette vérité, répliquez-lui : C’est précisément ce que croit l’Église. Par-dessus tout, tenez votre cœur attaché à Jésus crucifié et dites-lui : Ô mon Dieu, mon Créateur et mon Sauveur, venez promptement à mon secours et ne vous éloignez pas de moi, afin que je ne m’écarte pas de la vérité de la foi catholique ; et puisque vous m’avez accordé la grâce de naître dans cette foi sainte, faites que j’y finisse mes jours pour votre plus grande gloire.
CHAPITRE LXIV De l’assaut du désespoir et de la manière de s’en défendre
Le second assaut au moyen duquel le malin esprit cherche à nous abattre sans retour, c’est l’épouvante qu’il suscite en nous au souvenir de nos péchés, afin de nous précipiter dans l’abîme du désespoir. Dans ce danger, prenez pour règle infaillible que la pensée de vos péchés vient de la grâce et qu’elle vous est accordée pour votre salut, lorsqu’elle produit en vous des sentiments d’humilité, de repentir de vos péchés et de confiance en la bonté divine.
Mais lorsque cette pensée vous jette dans l’inquiétude, la défiance et la pusillanimité, portât-elle sur des choses vraies et capables de faire croire que vous êtes damné et qu’il n’y a plus pour vous de salut à espérer, regardez-la comme un artifice du démon, humiliez-vous et redoublez de confiance en Dieu.
C’est le moyen de vaincre votre ennemi avec ses propres armes et de rendre gloire à Dieu. Excitez-vous, je le veux bien, au repentir de vos péchés toutes les fois qu’ils vous reviendront à la mémoire, mais que ce soit pour en demander pardon au Seigneur avec une confiance sans bornes dans les mérites de sa Passion.
Je suppose même que vous croyiez entendre Dieu vous dire au fond du cœur que vous n’êtes point du nombre de ses élus, ce n’est pas une raison pour rien perdre de votre confiance en lui. Dites-lui plutôt avec un sentiment profond d’humilité : Vous avez bien sujet de me réprouver à cause de mes péchés, mais j’ai plus de sujet encore d’espérer que votre Miséricorde me les pardonnera.
J’espère donc le salut d’une misérable créature vouée à la damnation par sa propre malice, mais aussi rachetée au prix de votre sang adorable. Je veux me sauver pour votre gloire, ô mon Rédempteur, et confiant en votre Miséricorde infinie, je m’abandonne entre vos mains. Faites de moi ce qu’il vous plaira, pourvu que vous soyez mon unique maître : quand vous me tueriez, je ne laisserais pas d’avoir en vous une inébranlable confiance.
Source : Le Combat Spirituel de Laurent Scupoli, Edition de 1895
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde
la mort, et premièrement de la tentation contre la foi et de la manière d’y résister
(...) Et si le serpent rusé vous demande ce que croit la sainte Église, ne répondez pas ; mais, sachant qu’il veut vous surprendre et abuser de vos paroles, contentez-vous de faire intérieurement un acte de foi vive ; ou, si vous voulez le faire dépiter davantage, répondez-lui que la sainte Église romaine croit la vérité.
Et s’il vous demande quelle est cette vérité, répliquez-lui : C’est précisément ce que croit l’Église. Par-dessus tout, tenez votre cœur attaché à Jésus crucifié et dites-lui : Ô mon Dieu, mon Créateur et mon Sauveur, venez promptement à mon secours et ne vous éloignez pas de moi, afin que je ne m’écarte pas de la vérité de la foi catholique ; et puisque vous m’avez accordé la grâce de naître dans cette foi sainte, faites que j’y finisse mes jours pour votre plus grande gloire.
CHAPITRE LXIV De l’assaut du désespoir et de la manière de s’en défendre
Le second assaut au moyen duquel le malin esprit cherche à nous abattre sans retour, c’est l’épouvante qu’il suscite en nous au souvenir de nos péchés, afin de nous précipiter dans l’abîme du désespoir. Dans ce danger, prenez pour règle infaillible que la pensée de vos péchés vient de la grâce et qu’elle vous est accordée pour votre salut, lorsqu’elle produit en vous des sentiments d’humilité, de repentir de vos péchés et de confiance en la bonté divine.
Mais lorsque cette pensée vous jette dans l’inquiétude, la défiance et la pusillanimité, portât-elle sur des choses vraies et capables de faire croire que vous êtes damné et qu’il n’y a plus pour vous de salut à espérer, regardez-la comme un artifice du démon, humiliez-vous et redoublez de confiance en Dieu.
C’est le moyen de vaincre votre ennemi avec ses propres armes et de rendre gloire à Dieu. Excitez-vous, je le veux bien, au repentir de vos péchés toutes les fois qu’ils vous reviendront à la mémoire, mais que ce soit pour en demander pardon au Seigneur avec une confiance sans bornes dans les mérites de sa Passion.
Je suppose même que vous croyiez entendre Dieu vous dire au fond du cœur que vous n’êtes point du nombre de ses élus, ce n’est pas une raison pour rien perdre de votre confiance en lui. Dites-lui plutôt avec un sentiment profond d’humilité : Vous avez bien sujet de me réprouver à cause de mes péchés, mais j’ai plus de sujet encore d’espérer que votre Miséricorde me les pardonnera.
J’espère donc le salut d’une misérable créature vouée à la damnation par sa propre malice, mais aussi rachetée au prix de votre sang adorable. Je veux me sauver pour votre gloire, ô mon Rédempteur, et confiant en votre Miséricorde infinie, je m’abandonne entre vos mains. Faites de moi ce qu’il vous plaira, pourvu que vous soyez mon unique maître : quand vous me tueriez, je ne laisserais pas d’avoir en vous une inébranlable confiance.
Source : Le Combat Spirituel de Laurent Scupoli, Edition de 1895
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde
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CHAPITRE LXIII Des quatre assauts que nos ennemis nous livrent à l’heure de
la mort, et premièrement de la tentation contre la foi et de la manière d’y résister
(...) Et si le serpent rusé vous demande ce que croit la sainte Église, ne répondez pas ; mais, sachant qu’il veut vous surprendre et abuser de vos paroles, contentez-vous de faire intérieurement un acte de foi vive ; ou, si vous voulez le faire dépiter davantage, répondez-lui que la sainte Église romaine croit la vérité.
Et s’il vous demande quelle est cette vérité, répliquez-lui : C’est précisément ce que croit l’Église. Par-dessus tout, tenez votre cœur attaché à Jésus crucifié et dites-lui : Ô mon Dieu, mon Créateur et mon Sauveur, venez promptement à mon secours et ne vous éloignez pas de moi, afin que je ne m’écarte pas de la vérité de la foi catholique ; et puisque vous m’avez accordé la grâce de naître dans cette foi sainte, faites que j’y finisse mes jours pour votre plus grande gloire.
CHAPITRE LXIV De l’assaut du désespoir et de la manière de s’en défendre
Le second assaut au moyen duquel le malin esprit cherche à nous abattre sans retour, c’est l’épouvante qu’il suscite en nous au souvenir de nos péchés, afin de nous précipiter dans l’abîme du désespoir. Dans ce danger, prenez pour règle infaillible que la pensée de vos péchés vient de la grâce et qu’elle vous est accordée pour votre salut, lorsqu’elle produit en vous des sentiments d’humilité, de repentir de vos péchés et de confiance en la bonté divine.
Mais lorsque cette pensée vous jette dans l’inquiétude, la défiance et la pusillanimité, portât-elle sur des choses vraies et capables de faire croire que vous êtes damné et qu’il n’y a plus pour vous de salut à espérer, regardez-la comme un artifice du démon, humiliez-vous et redoublez de confiance en Dieu.
C’est le moyen de vaincre votre ennemi avec ses propres armes et de rendre gloire à Dieu. Excitez-vous, je le veux bien, au repentir de vos péchés toutes les fois qu’ils vous reviendront à la mémoire, mais que ce soit pour en demander pardon au Seigneur avec une confiance sans bornes dans les mérites de sa Passion.
Je suppose même que vous croyiez entendre Dieu vous dire au fond du cœur que vous n’êtes point du nombre de ses élus, ce n’est pas une raison pour rien perdre de votre confiance en lui. Dites-lui plutôt avec un sentiment profond d’humilité : Vous avez bien sujet de me réprouver à cause de mes péchés, mais j’ai plus de sujet encore d’espérer que votre Miséricorde me les pardonnera.
J’espère donc le salut d’une misérable créature vouée à la damnation par sa propre malice, mais aussi rachetée au prix de votre sang adorable. Je veux me sauver pour votre gloire, ô mon Rédempteur, et confiant en votre Miséricorde infinie, je m’abandonne entre vos mains. Faites de moi ce qu’il vous plaira, pourvu que vous soyez mon unique maître : quand vous me tueriez, je ne laisserais pas d’avoir en vous une inébranlable confiance.
Source : Le Combat Spirituel de Laurent Scupoli, Edition de 1895
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde
la mort, et premièrement de la tentation contre la foi et de la manière d’y résister
(...) Et si le serpent rusé vous demande ce que croit la sainte Église, ne répondez pas ; mais, sachant qu’il veut vous surprendre et abuser de vos paroles, contentez-vous de faire intérieurement un acte de foi vive ; ou, si vous voulez le faire dépiter davantage, répondez-lui que la sainte Église romaine croit la vérité.
Et s’il vous demande quelle est cette vérité, répliquez-lui : C’est précisément ce que croit l’Église. Par-dessus tout, tenez votre cœur attaché à Jésus crucifié et dites-lui : Ô mon Dieu, mon Créateur et mon Sauveur, venez promptement à mon secours et ne vous éloignez pas de moi, afin que je ne m’écarte pas de la vérité de la foi catholique ; et puisque vous m’avez accordé la grâce de naître dans cette foi sainte, faites que j’y finisse mes jours pour votre plus grande gloire.
CHAPITRE LXIV De l’assaut du désespoir et de la manière de s’en défendre
Le second assaut au moyen duquel le malin esprit cherche à nous abattre sans retour, c’est l’épouvante qu’il suscite en nous au souvenir de nos péchés, afin de nous précipiter dans l’abîme du désespoir. Dans ce danger, prenez pour règle infaillible que la pensée de vos péchés vient de la grâce et qu’elle vous est accordée pour votre salut, lorsqu’elle produit en vous des sentiments d’humilité, de repentir de vos péchés et de confiance en la bonté divine.
Mais lorsque cette pensée vous jette dans l’inquiétude, la défiance et la pusillanimité, portât-elle sur des choses vraies et capables de faire croire que vous êtes damné et qu’il n’y a plus pour vous de salut à espérer, regardez-la comme un artifice du démon, humiliez-vous et redoublez de confiance en Dieu.
C’est le moyen de vaincre votre ennemi avec ses propres armes et de rendre gloire à Dieu. Excitez-vous, je le veux bien, au repentir de vos péchés toutes les fois qu’ils vous reviendront à la mémoire, mais que ce soit pour en demander pardon au Seigneur avec une confiance sans bornes dans les mérites de sa Passion.
Je suppose même que vous croyiez entendre Dieu vous dire au fond du cœur que vous n’êtes point du nombre de ses élus, ce n’est pas une raison pour rien perdre de votre confiance en lui. Dites-lui plutôt avec un sentiment profond d’humilité : Vous avez bien sujet de me réprouver à cause de mes péchés, mais j’ai plus de sujet encore d’espérer que votre Miséricorde me les pardonnera.
J’espère donc le salut d’une misérable créature vouée à la damnation par sa propre malice, mais aussi rachetée au prix de votre sang adorable. Je veux me sauver pour votre gloire, ô mon Rédempteur, et confiant en votre Miséricorde infinie, je m’abandonne entre vos mains. Faites de moi ce qu’il vous plaira, pourvu que vous soyez mon unique maître : quand vous me tueriez, je ne laisserais pas d’avoir en vous une inébranlable confiance.
Source : Le Combat Spirituel de Laurent Scupoli, Edition de 1895
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde
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CHAPITRE LXV De l’assaut de la vaine gloire
Le troisième assaut, c’est celui de la vaine gloire et de la présomption. Sous ce rapport,
veillez à ne pas vous laisser entraîner, sous quelque prétexte que ce soit, au moindre mouvement de complaisance en vous-même ou en vos actions ; glorifiez-vous uniquement dans le Seigneur, dans sa Miséricorde, dans les mérites de sa vie et de sa Passion. Humiliez-vous de plus en plus à vos propres yeux jusqu’à votre dernier soupir ; et si vos bonnes œuvres vous reviennent à la mémoire, reconnaissez que c’est Dieu qui en est l’auteur. Implorez son secours, mais ne l’attendez point de vos mérites, si nombreuses et si éclatantes qu’aient été vos victoires. Tenez-vous toujours dans une crainte salutaire, et confessant ingénument que toutes vos œuvres seraient inutiles si Dieu ne vous recueillait à l’ombre de ses ailes, vous vous confierez uniquement en sa protection. Si vous suivez fidèlement ces avis, vos ennemis ne pourront prévaloir contre vous ; et vous vous ouvrirez ainsi le chemin pour passer joyeusement à la Jérusalem céleste.
CHAPITRE LXVI De l’assaut des illusions et des fausses apparences, à l’article de la mort
Si l’ennemi qui s’acharne à notre perte avec une activité que rien ne lasse se transforme en ange de lumière pour vous assaillir de vaines illusions, demeurez ferme et immobile dans la connaissance de votre néant, et dites-lui hardiment : Retourne, malheureux, dans les ténèbres d’où tu es sorti ; je ne mérite pas d’être favorisé de visions célestes ; je n’ai besoin que de la Miséricorde de mon Jésus et des prières de la Vierge Marie, de Saint Joseph et des autres saints. Eussiez-vous les meilleurs motifs de croire que ces visions vous viennent du Ciel, gardez-vous d’y ajouter foi ; rejetez-les bien loin de vous. Cette résistance fondée sur le sentiment de votre indignité ne saurait déplaire au Seigneur. Si c’est lui qui agit en vous, il saura bien rendre son action évidente à vos yeux ; et vous n’y perdrez rien, car celui qui donne sa grâce aux humbles ne la retire point, quelques actes d’humilité qu’ils posent. Voilà les armes dont notre ennemi se sert généralement contre nous, à ce moment suprême. En outre, il nous tente chacun en particulier d’après les inclinations auxquelles il sait que nous sommes plus sujets. C’est pourquoi nous devons, avant l’approche du grand combat, nous armer et lutter vaillamment contre les passions qui nous attaquent avec plus de violence et qui exercent sur nous un plus grand empire, afin de remporter plus facilement la victoire à ce moment suprême qui ne laisse plus d’autre moment après lui, pour le pouvoir faire encore. « Vous combattrez contre eux jusqu’à leur complète destruction » (I Rois, XIV, 18).
FIN
Source : Le Combat Spirituel de Laurent Scupoli, Edition de 1895
Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
ami de la Miséricorde
Le troisième assaut, c’est celui de la vaine gloire et de la présomption. Sous ce rapport,
veillez à ne pas vous laisser entraîner, sous quelque prétexte que ce soit, au moindre mouvement de complaisance en vous-même ou en vos actions ; glorifiez-vous uniquement dans le Seigneur, dans sa Miséricorde, dans les mérites de sa vie et de sa Passion. Humiliez-vous de plus en plus à vos propres yeux jusqu’à votre dernier soupir ; et si vos bonnes œuvres vous reviennent à la mémoire, reconnaissez que c’est Dieu qui en est l’auteur. Implorez son secours, mais ne l’attendez point de vos mérites, si nombreuses et si éclatantes qu’aient été vos victoires. Tenez-vous toujours dans une crainte salutaire, et confessant ingénument que toutes vos œuvres seraient inutiles si Dieu ne vous recueillait à l’ombre de ses ailes, vous vous confierez uniquement en sa protection. Si vous suivez fidèlement ces avis, vos ennemis ne pourront prévaloir contre vous ; et vous vous ouvrirez ainsi le chemin pour passer joyeusement à la Jérusalem céleste.
CHAPITRE LXVI De l’assaut des illusions et des fausses apparences, à l’article de la mort
Si l’ennemi qui s’acharne à notre perte avec une activité que rien ne lasse se transforme en ange de lumière pour vous assaillir de vaines illusions, demeurez ferme et immobile dans la connaissance de votre néant, et dites-lui hardiment : Retourne, malheureux, dans les ténèbres d’où tu es sorti ; je ne mérite pas d’être favorisé de visions célestes ; je n’ai besoin que de la Miséricorde de mon Jésus et des prières de la Vierge Marie, de Saint Joseph et des autres saints. Eussiez-vous les meilleurs motifs de croire que ces visions vous viennent du Ciel, gardez-vous d’y ajouter foi ; rejetez-les bien loin de vous. Cette résistance fondée sur le sentiment de votre indignité ne saurait déplaire au Seigneur. Si c’est lui qui agit en vous, il saura bien rendre son action évidente à vos yeux ; et vous n’y perdrez rien, car celui qui donne sa grâce aux humbles ne la retire point, quelques actes d’humilité qu’ils posent. Voilà les armes dont notre ennemi se sert généralement contre nous, à ce moment suprême. En outre, il nous tente chacun en particulier d’après les inclinations auxquelles il sait que nous sommes plus sujets. C’est pourquoi nous devons, avant l’approche du grand combat, nous armer et lutter vaillamment contre les passions qui nous attaquent avec plus de violence et qui exercent sur nous un plus grand empire, afin de remporter plus facilement la victoire à ce moment suprême qui ne laisse plus d’autre moment après lui, pour le pouvoir faire encore. « Vous combattrez contre eux jusqu’à leur complète destruction » (I Rois, XIV, 18).
FIN
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Que Jésus Miséricordieux vous bénisse
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