En route vers un Conflit Nucléaire ? - Qu'en disent les Signes des Temps et les Messages du Ciel ?

Propos délirants hier du chef d’état major des armées britanniques, dans le droit fil des propos récents de l’OTAN, de l’Allemagne ou de la Suède : « Préparez-vous à la guerre avec la Russie ! »

Au moment où les peuples se réveillent face au mondialisme, notamment à travers… pic.twitter.com/mtjitrudHB

— Florian Philippot (@f_philippot) January 25, 2024

30 janvier 2024

En juillet dernier, un sous-marin nucléaire de la marine américaine a fait escale en Corée du Sud, ce qui ne s’était pas produit depuis 1981. Comme prévu, la Corée du Nord a immédiatement intensifié ses essais de missiles balistiques et ses exercices militaires près de la frontière, et les menaces et contre-menaces se sont multipliées depuis.

Le New York Times rapporte que le gouvernement de Kim Jong-un prévoit une escalade, affirmant qu’il lancera bientôt une action militaire meurtrière contre le Sud, mais qu’il cherchera toujours à éviter une guerre à grande échelle.

« Le dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un, pourrait entreprendre une action militaire meurtrière contre la Corée du Sud dans les mois à venir, après être passé à une politique d’hostilité ouverte« , selon des responsables américains.

Les responsables américains ont indiqué que la récente série de déclarations plus agressives de Kim devait être prise au sérieux. « Bien que les responsables aient ajouté qu’ils ne voyaient pas de risque imminent d’une guerre à grande échelle dans la péninsule coréenne, Kim pourrait effectuer des frappes d’une manière qui, selon lui, éviterait une escalade rapide« , poursuit le rapport.

« Ils ont cité en exemple le bombardement par la Corée du Nord d’une île sud-coréenne en 2010 », note le NYT. « Les deux parties ont échangé des tirs d’artillerie, entraînant la mort de soldats des deux côtés ainsi que de civils dans le Sud, mais les deux armées ont rapidement arrêté.

Un événement qui s’est dangereusement rapproché de l’échange de tirs meurtriers de 2010 s’est en fait produit au début de ce mois. Le 5 janvier, la Corée du Nord a tiré plus de 200 obus d’artillerie au large de sa côte occidentale, qui ont atterri près des îles sudistes Yeonpyeong et Baengnyeong, comme nous l’avons expliqué précédemment.

Séoul a condamné cet « acte de provocation », tandis que le Nord a affirmé que les îles n’étaient pas en danger en raison de ces exercices. Il n’y a pas eu de victimes et les obus semblent être tombés inoffensivement dans la mer, mais cela a rapidement fait craindre une répétition de l’incident de 2010, au cours duquel quatre personnes avaient trouvé la mort sur l’île de Yeonpyeong. Les civils des îles de la région ont reçu l’ordre de se mettre immédiatement à l’abri lors de l’incident du 5 janvier.

Il est intéressant de noter que tout cela survient également à un moment où les relations entre le dirigeant nord-coréen et le président russe Poutine s’intensifient. On pense également que la RPDC fournit des armes à l’armée russe.

Le groupe de réflexion non interventionniste Responsible Statecraft reconnaît que les menaces de la Corée du Nord sont plus que de la rhétorique à ce stade. Il a posé la question suivante : « Les dernières menaces de la Corée du Nord sont-elles rhétoriques ou réelles ? » Selon certains commentaires… :

L’incapacité de Washington à rester engagé auprès de la Corée du Nord est la principale raison pour laquelle Robert Carlin et Siegfried Hecker, observateurs de longue date de la Corée du Nord, pensent que Kim Jong Un a abandonné l’approche par défaut d’une coexistence plus ou moins pacifique en faveur d’une attaque contre la Corée du Sud. D’une certaine manière, Kim suit la logique du Hamas, une force illibérale également à la tête d’une entité largement défaillante. Kim perçoit lui aussi ses adversaires comme étant complaisants, peu intéressés par de véritables négociations et vulnérables à une attaque surprise. Présidant une « prison à ciel ouvert » à Gaza, le Hamas a décidé qu’il n’avait plus rien à perdre. Les dirigeants nord-coréens, à la tête d’un pays appauvri dont le bilan en matière de droits de l’homme est effroyable, pourraient bien avoir décidé qu’ils étaient également à court d’options.

« La littérature sur les attaques surprises devrait nous inciter à nous méfier des hypothèses confortables qui résonnent dans la chambre d’écho de Washington, mais qui pourraient ne pas avoir d’écho à Pyongyang », écrivent Carlin et Hecker dans 38North. « Cela peut sembler de la folie, mais l’histoire suggère que ceux qui se sont convaincus qu’ils n’ont plus d’options valables adopteront le point de vue selon lequel même le jeu le plus dangereux en vaut la chandelle. »

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/des-responsables-americains-pensent-que-la-coree-du-nord-lancera-bientot-une-attaque-limitee-contre-le-sud/

02/02/2024

Des projets sont en cours pour créer un réseau de « corridors militaires » à travers l’Europe.

Des projets sont en cours pour créer un réseau de « corridors militaires » à travers l’Europe afin de contourner les réglementations complexes qui limitent actuellement l’échange d’équipements et de personnel entre les pays de l’OTAN, a rapporté le Times dimanche.

En novembre, le chef de la logistique européenne de l’OTAN, le lieutenant-général Alexander Sollfrank, a exhorté les pays de la région à établir des zones permettant le déplacement rapide de troupes et de munitions dans l’éventualité d’un conflit majeur avec la Russie.

L’idée a été lancée par les chefs militaires depuis des années, note le Times, qui précise que les discussions sur la création de ces corridors « sont désormais en cours » et que les résultats pourraient être annoncés avant le prochain sommet de l’OTAN, en juillet.

L’enchevêtrement byzantin de réglementations limitant l’échange et le transport d’équipements militaires dans l’UE a créé un « casse-tête important » pour les planificateurs de l’OTAN, selon le journal.

Les exercices transfrontaliers impliquent souvent des quantités vertigineuses de paperasserie qui feraient perdre un temps précieux en cas de crise militaire », a ajouté le journal.

Dans une interview accordée au Times, Sollfrank a déclaré que les membres du bloc militaire dirigé par les États-Unis devaient commencer sans tarder, en s’efforçant de « réduire ou d’adapter la paperasserie » dans la mesure du possible.

« Tout le monde peut commencer. Il suffit de le faire. Et n’attendez pas. Parce qu’en fin de compte, nous n’avons pas de temps à perdre », a-t-il averti.

Le chef de la logistique a cité l’exemple de l’interdiction faite aux parachutistes d’utiliser des parachutes appartenant à d’autres États membres, alors qu’il n’y a aucune raison pour une telle restriction.

« Où est le problème, par exemple, si un parachutiste d’une nation européenne A utilise un parachute d’une nation voisine B après avoir été formé à ce système, ou s’il attache des équipements d’une nation à l’hélicoptère d’une autre nation ? S’il n’y a pas de problèmes « techniques ou de sécurité » en jeu, il ne devrait pas y avoir d’obstacles, a-t-il ajouté.

Toutefois, le lieutenant-général Jan-Willem Maas, chef du commandement de soutien à la défense des forces armées néerlandaises, a déclaré au Times qu’il y avait encore beaucoup de préparation à faire. « Nous ne sommes pas là où nous devrions être. C’est clair », a-t-il déclaré.

Ces dernières semaines, les hauts fonctionnaires de plusieurs pays européens ont exhorté leurs citoyens à se préparer à une éventuelle confrontation militaire avec la Russie.

Le président russe, Vladimir Poutine, a qualifié ces avertissements d' »absurdités » et a déclaré que Moscou n’avait « aucun intérêt » à attaquer l’un des membres de l’OTAN.

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/lotan-prevoit-un-schengen-militaire-rapport

09/02/2024

Ce n’est pas la première fois que l’ancien président russe Dmitri Medvedev avertit qu’une guerre directe entre les forces de Moscou et l’OTAN conduirait à l’apocalypse nucléaire.

L’actuel vice-président du Conseil de sécurité de la Russie a lancé cet avertissement sur Telegram mercredi, en réponse aux récentes déclarations et informations selon lesquelles certains dirigeants européens demandent à leurs populations de se « préparer à la guerre ». Ainsi, le mois dernier, le général Patrick Sanders, chef de l’armée britannique, a appelé les autorités à « mobiliser la nation » pour se préparer à la guerre avec Poutine, et a déclaré que la population devait « changer » de mentalité pour être prête.

Medvedev s’est moqué de cet appel et d’autres exemples de dirigeants de l’OTAN accusant Moscou de rechercher une guerre plus large, les qualifiant de « dangereux virage ». Il a déclaré qu’il s’agissait d’une tentative de renforcer le soutien à l’envoi d’armes supplémentaires à Kiev dans un contexte de lassitude à l’égard de la guerre au sein des opinions publiques occidentales.

Selon la traduction de ses propos par les médias russes, Medvedev a déclaré que cela s’inscrivait dans le cadre des efforts visant à soutenir l’Ukraine – « un pays moribond qui est étranger aux contribuables » – tout en ignorant les problèmes nationaux. « C’est pourquoi, chaque jour, les dirigeants de ces pays diffusent des messages : Nous devons nous préparer à la guerre avec la Russie et continuer à aider l’Ukraine », a-t-il écrit.

C’est à ce moment-là qu’il a déclaré qu’il fallait dire la vérité crue aux Occidentaux. Medvedev a souligné que la réponse russe à une attaque de l’OTAN serait sans aucun doute « asymétrique ». Il a expliqué :

« Nos capacités militaires étant incomparables, nous n’aurons tout simplement pas le choix. La réponse sera asymétrique. Pour protéger l’intégrité territoriale de notre pays, nous utiliserons des missiles balistiques et de croisière dotés d’ogives spéciales… Ce sera l’apocalypse proverbiale. La fin de tout ».

Ce n’est certainement pas la première fois que Medvedev, connu pour sa rhétorique belliqueuse et belliciste, met en garde contre l’apocalypse nucléaire. Mais c’est la première fois qu’il indique clairement que le Kremlin n’hésitera pas à activer son arsenal nucléaire si le territoire russe est directement menacé par l’OTAN.

Ses commentaires interviennent également à un moment très dangereux où les services de sécurité ukrainiens ciblent de plus en plus les raffineries de pétrole situées sur le sol russe par des attaques de drones et de missiles, parfois à longue distance.

Ci-dessous : Le Premier ministre britannique Rishi Sunak déclare que la Grande-Bretagne est prête pour la guerre….

Si la Russie tourne ses armes dans notre direction, la Grande-Bretagne est-elle prête à se défendre ?

« Oui, et ma tâche est d’assurer la sécurité de tous. »

Moscou a accusé les services de renseignement de l’Occident et de l’OTAN de contribuer à ces attaques. Récemment, elle a accusé la France d’entretenir des mercenaires dans la ville septentrionale de Kharkiv, afin d’organiser des attaques dans l’oblast voisin de Belgorod. On craint de plus en plus que ces combats « indirects » ou cette guerre par procuration ne dégénèrent en tirs directs entre la Russie et les pays de l’OTAN, mais jusqu’à présent, cette éventualité a été évitée de justesse.

SOURCE :

https://www.aubedigitale.com/medvedev-previent-que-la-russie-na-pas-dautre-choix-que-de-declencher-une-apocalypse-nucleaire-si-lotan-venait-a-lattaquer09.02.2024

16/02/2024

Le gouvernement allemand a ordonné à ses citoyens de commencer à construire leurs propres abris antiatomiques en prévision d'une troisième guerre mondiale avec la Russie, selon certaines informations.

Le journal allemand Bild rapporte que le projet de plan national de défense d'urgence du pays a déjà attribué la construction d'abris anti-bombes aux civils.

Naturalnews.com rapporte : Avec seulement 579 abris antiatomiques fonctionnels en Allemagne, le gouvernement compte sur ses citoyens pour convertir leurs propres maisons en abris antiatomiques, en installant leurs propres abris renforcés dans des endroits tels que les sous-sols et les garages, au cas où une guerre majeure éclaterait en Europe. Bild a également cité le chef de l'Office fédéral de la protection civile et de l'aide en cas de catastrophe, Ralph Tiesler, qui a déclaré que la construction de nouveaux abris par le gouvernement n'était "plus faisable" en raison des contraintes de temps.

D'ici le mois d'avril, le ministère devrait achever ses travaux sur le "plan opérationnel" (OPLAN) classifié, indique le journal dans son rapport. Selon le projet de document, l'Allemagne est considérée comme un "pays de transit" qui joue un rôle crucial dans la livraison d'armes et d'équipements, plutôt que comme un État disposant d'une ligne de front active. Les soldats seraient donc chargés de sécuriser les autoroutes, les gares et les ports. Le gouvernement compte également sur les citoyens pour prendre en charge certaines tâches habituellement dévolues à l'armée et à la police, notamment la protection des centrales électriques.

Ces préparatifs interviennent dans un contexte de menace liée au conflit entre la Russie et l'Ukraine, et les dirigeants allemands cherchent des moyens de renforcer leurs armements et d'augmenter la taille de la Bundeswehr. Un document secret indiquerait que les forces armées allemandes se préparent à une éventuelle attaque hybride de la Russie sur le flanc oriental de l'OTAN dès le mois de février. Le document confidentiel décrirait en détail la manière dont un conflit entre l'armée du président russe Vladimir Poutine et l'OTAN pourrait survenir, les événements se déroulant mois par mois. Le point culminant est le déploiement de centaines de milliers de soldats de l'OTAN et le début de la guerre à l'été 2025.

Toutefois, le ministre de la défense Boris Pistorius, qui a souvent appelé l'Allemagne à se préparer à la guerre depuis qu'il est devenu ministre de la défense il y a un an, a de nouveau averti au début du mois que la Russie pourrait attaquer un pays de l'OTAN, mais "dans un délai de cinq à huit ans".Par la suite, il a quelque peu modifié son évaluation, déclarant au média vendredi qu'à l'heure actuelle, il "ne voit pas de danger d'une attaque russe sur le territoire de l'OTAN ou d'un pays partenaire de l'OTAN".Il a toutefois souligné qu'il ne s'agissait que d'un "instantané" de la situation actuelle et qu'il n'y avait aucun moyen de savoir comment les choses allaient évoluer à l'avenir.

Entre-temps, la Russie a accusé à plusieurs reprises l'OTAN de semer la peur et d'attiser les tensions en Europe. Le chef du service de renseignement extérieur russe, Sergey Naryshkin, a récemment qualifié de "guerre de l'information" les allégations selon lesquelles Moscou préparerait une attaque contre l'OTAN.

LES PAYS UTILISENT LA PEUR DE LA GUERRE POUR RECRUTER DES NON-CITOYENS DANS L'ARMÉE

Le ministre allemand de la défense a également annoncé que le pays envisageait d'autoriser les résidents n'ayant pas la nationalité allemande à s'engager dans l'armée afin de faire passer les effectifs de 181 000 à 203 000 hommes d'ici à 2031.

Une telle tendance est observée partout ailleurs dans le monde. Les capitales du continent se demandent si leurs armées sont adaptées à la guerre moderne et aux menaces posées par des pays tels que la Russie.

L'armée souffre d'une pénurie chronique de main-d'œuvre, 20 000 nouvelles recrues étant nécessaires chaque année pour maintenir les effectifs actuels. En Allemagne, un emploi dans l'armée n'a pas la même notoriété qu'ailleurs, en raison du passé guerrier du pays.

Dans l'armée américaine, où l'on peut espérer obtenir la citoyenneté en échange du service, les participants seraient récompensés par un passeport. Par ailleurs, le chef d'état-major de l'armée britannique, le général Patrick Sanders, a déclaré qu'il fallait prendre des mesures pour mettre la société sur le pied de guerre et que le public devait être prêt à prendre les armes contre la Russie. Le ministère britannique de la défense a rapidement rejeté ses commentaires, insistant sur le fait qu'il n'y aurait pas de retour à la conscription, que la Grande-Bretagne a abolie en 1960. En Suède, en Norvège, en Finlande et dans les pays baltes, les préparatifs sont déjà bien avancés pour faire face à une éventuelle attaque russe.

Le lieutenant-général Alexander Sollfrank, chef des troupes de l'OTAN dans la ville d'Ulm, dans le sud de l'Allemagne, qui serait chargé de coordonner les mouvements des troupes européennes en cas d'attaque contre un membre de l'OTAN, a déclaré que l'armée allemande avait besoin non seulement de ressources, mais aussi de "la volonté visible de les déployer".

"Une dissuasion crédible nécessite une préparation à la guerre et doit inclure la population", a déclaré M. Sollfrank dans son discours annuel sur l'état de la sécurité, mercredi. Markus Soder, dirigeant de la Bavière et chef de l'Union chrétienne-sociale conservatrice, a déclaré mercredi que l'Allemagne avait besoin de "soldats capables de se battre sur le front".

SOURCE :

https://thepeoplesvoice.tv/ww3-german-govt-orders-citizens-to-turn-their-homes-into-bomb-shelters/