Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !
Viens, Seigneur Jésus ! :: La Fin des Temps :: Fiducia Supplicans et la Bénédiction des Actes Homosexuels
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Re: Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !
9 janvier 2024
Vik van Brantegem a résumé sur Korazym.org (5 janvier) la [pseudo] bénédiction homosexuelle inventée par Tucho Fernández à la demande de François.
Brantegem l'appelle une bénédiction qui n'est pas une bénédiction pour un couple qui n'est pas un couple, à travers une doctrine qui n'est pas une doctrine, selon une clarification qui n'est pas une clarification.
On peut bénir sans bénir tant que ce qui est liturgique n'est pas liturgique, si c'est fait de manière décontractée et avec un chronomètre d'une durée maximale de 10 secondes :
Le cardinal Tucho Besame Mucho Speedy Gonzales et le secrétaire Peter Pan ont ordonné : "Faisons-le rapidement".
SOURCE :
https://gloria.tv/post/wMrStiKqB9yq1KGDHhxqNcBgH
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Re: Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !
Cardinal Müller : Le rejet mondial de la Fiducia Supplicans devrait donner au Vatican "matière à réflexion". La distinction entre les bénédictions liturgiques-officielles et les bénédictions privées-pastorales de partenariats sexuels non-maritaux reste problématique pour moi", a commencé M. Müller, qui a publié une longue déclaration en décembre au sujet de Fiducia Supplicans.
par Michael Haynes
5 janvier 2024
Note : Cet article a été traduit automatiquement en français.
VILLE DU VATICAN (LifeSiteNews) - Le cardinal Gerhard Müller a déclaré que la distinction du cardinal Victor Fernández dans la justification des bénédictions pour les couples de même sexe "reste problématique", à la suite de la récente déclaration de Fernández défendant les droits de l'homme. Fiducia Supplicans.La réaction négative d'une grande partie de l'épiscopat mondial et de laïcs éminents à la "Recommandation d'action" publiée par le Dicastère pour la Doctrine de la Foi sur la bénédiction privée des personnes ayant des relations de partenaires pécheurs devrait donner à réfléchir aux responsables à Rome", a écrit le cardinal Müller dans une déclaration fournie à LifeSiteNews et à d'autres organes de presse. (Voir la déclaration complète ci-dessous)
Suite à la déclaration publiée le 4 janvier par le cardinal Victor Manuel Fernández concernant son texte de décembre sur les bénédictions de personnes de même sexe. Fiducia Supplicans - M. Müller a averti que les tentatives de M. Fernández pour justifier ces bénédictions restaient "problématiques".
M. Müller, qui a occupé pendant cinq ans le poste de préfet de la Congrégation (aujourd'hui Dicastère) pour la Doctrine de la Foi (CDF) occupé par M. Fernández, a souligné deux problèmes liés à la dernière déclaration de M. Fernández."La distinction entre les bénédictions liturgiques-officielles et les bénédictions privées-pastorales des partenariats sexuels non-maritaux reste problématique pour moi", a commencé M. Müller, qui a publié une longue déclaration en décembre à propos de la déclaration originale.
Fernández : L'un des points forts de la Déclaration, qui se démarque des nombreuses allégations d'hétérodoxie, est qu'elle invite le clergé à "faire la distinction entre deux formes différentes de bénédictions : 'liturgique ou ritualisée' et 'spontanée ou pastorale'".Précisant que "les bénédictions pastorales doivent avant tout être très courtes", afin de les distinguer des "bénédictions liturgiques ou ritualisées", M. Fernández a suggéré qu'elles durent moins de 15 secondes. Il a également fourni un exemple de formule pour la bénédiction.
Toutefois, M. Müller a déclaré que "tout laïc peut dire cette prière sur d'autres", tout en avertissant que les prêtres doivent être prudents lorsqu'ils prononcent une telle prière :
Le prêtre doit cependant veiller à ce que sa bénédiction au nom de l'Église ne soit pas instrumentalisée par des groupes de pression laïcs-idéologiques et ecclésiastiques-hérétiques qui ne cherchent qu'à saper la vérité de la foi révélée (dans l'enseignement et la pratique de l'Église, qui ne doivent pas être montés l'un contre l'autre).
L'inquiétude de Müller quant à la distinction de Fernández a été en écho avec Peter Kwasniewski, spécialiste de la liturgie, qui affirme que "l'idée du nouveau préfet de bénédictions non liturgiques... n'a franchement aucun sens".
"Un prêtre est un ministre de Dieu qui, lorsqu'il fait le signe de croix sur quelqu'un ou quelque chose, accomplit un acte religieux, ministériel, efficace et, oui, rituel", a écrit M. Kwasniewski.
"Peu importe le temps que cela prend ou la simplicité de la tâche. Fiducia SupplicansIl a ajouté que cette décision "s'écarte à la fois de l'œcuménisme et d'une théologie liturgique saine".
En effet, tant dans sa déclaration du 4 janvier que dans celle de Fiducia SupplicansDans le même temps, Mgr Fernández a attesté que l'enseignement du document sur les bénédictions "implique un réel développement par rapport à ce qui a été dit sur les bénédictions dans le Magistère et les textes officiels de l'Église". C'est là, écrit M. Müller, "le point le plus problématique".
Il a déclaré que "le magistère du pape et des évêques ne peut en aucun cas être autorisé par un dicastère romain - même en référence à la volonté personnelle (volontariste) du pape régnant actuel - à compléter, réduire ou corriger la révélation qui a été donnée une fois pour toutes dans le Christ et présentée de manière normative pour tous les temps dans "l'enseignement des apôtres" (Actes 2:42), ou à la rendre compatible avec la compréhension quotidienne ou les idéologies actuelles".
Une telle attitude serait "en contradiction" avec la foi catholique, a-t-il déclaré.
M. Müller a cité les documents de Vatican II et a réaffirmé qu'"il n'y a qu'un seul trésor, la Parole de Dieu, contenue dans les Saintes Écritures, pleinement préservée et fidèlement interprétée dans le contexte de la Tradition apostolique par toute l'Église sous la conduite du Magistère sacré".
DÉCLARATION COMPLÈTE DU CARDINAL GERHARD MÜLLER, SUITE AU COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 4 JANVIER DU CARDINAL FERNÁNDEZ
Cardinal Müller : Je n'ai rien à ajouter à l'avis de l'Assemblée. contenu de mon commentaire sur Fiducia suppliciens. La réaction négative d'une grande partie de l'épiscopat mondial et de laïcs éminents à la "Recommandation d'action" publiée par le Dicastère pour la doctrine de la foi sur la bénédiction privée des personnes ayant des relations de partenaires pécheurs devrait donner matière à réflexion aux responsables à Rome.
Mais il y a juste deux points à clarifier :
1. La distinction entre les bénédictions liturgiques-officielles et les bénédictions privées-pastorales des partenariats sexuels non-maritaux reste problématique pour moi.
La bénédiction de 15 secondes proposée avec le signe de croix et l'invocation du nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit y est décrite comme une prière privée pour l'assistance de Dieu, qui veut toujours que nous nous détournions du péché et que nous soyons sauvés éternellement. Tout laïc peut dire cette prière sur d'autres personnes.
Le prêtre doit cependant veiller à ce que sa bénédiction au nom de l'Église ne soit pas instrumentalisée par des groupes de pression laïcs-idéologiques et ecclésiastiques-hérétiques qui ne cherchent qu'à saper la vérité de la foi révélée (dans l'enseignement et la pratique de l'Église, qui ne doivent pas être montés l'un contre l'autre).
2. Le point le plus problématique ne me semble pas être la préoccupation pastorale (évidente) pour le salut et l'ouverture à Dieu des personnes en partenariat sexuel irrégulier ou de ceux qui - corrompus par l'idéologie LGBT - diffament la théologie chrétienne du mariage comme étant dépassée et hostile au corps, mais dans l'affirmation d'un "développement réel au-delà de ce qui a été dit par le Magistère et dans les textes officiels de l'Église sur les bénédictions" (Déclaration n°4).
Le magistère du pape et des évêques ne peut en aucun cas être autorisé par un dicastère romain - même en référence à la volonté personnelle (volontariste) du pape régnant actuel - à compléter, réduire ou corriger la révélation qui a été donnée une fois pour toutes en Christ et présentée de manière normative pour tous les temps dans "l'enseignement des apôtres" (Actes 2:42), ou à la rendre compatible avec la compréhension quotidienne ou les idéologies actuelles.
Les deux dogmes papaux de Vatican I (infaillibilité, primauté de juridiction) ne permettent pas une telle interprétation, qui dépasserait l'herméneutique de la foi catholique ; ils la contredisent même carrément.
Il n'y a rien à redire à la déclaration définitive de Vatican II : "Le Magistère n'est pas au-dessus de la Parole de Dieu, mais il la sert en n'enseignant rien d'autre que ce qui a été transmis, parce qu'il entend la Parole de Dieu par mandat divin et avec l'assistance de l'Esprit Saint, la conserve avec révérence, de façon sacrée, et l'interprète fidèlement, et parce que tout ce qu'il propose de croire comme révélé par Dieu est tiré de cet unique trésor de la foi". (Dei verbum 10).
L'opinion gnostique selon laquelle une petite élite dirigeante a un accès spécial au Saint-Esprit ou que, mythologiquement, le Saint-Esprit parle à travers le "peuple sain des gens ordinaires intellectuellement non corrompus" (l'"esprit populaire" des romantiques) n'a rien à voir avec la foi catholique.
Il n'y a que l'unique trésor de la Parole de Dieu, contenue dans la Sainte Écriture, pleinement préservée et fidèlement interprétée dans le contexte de la Tradition apostolique par toute l'Église sous la conduite du Magistère sacré (cf. Dei verbum 1-10 ; Lumen gentium 25). *
Car. Müller, Rome
SOURCE :
https://www.lifesitenews.com/fr/news/le-cardinal-muller-le-rejet-global-des-supplicies-de-la-fiducie-doit-faire-reflechir-le-vatican/?utm_source=editions_menu&utm_campaign=usa
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Re: Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !
Un mot de l'Abbé Guy Pagès concernant Fiducia Supplicans :
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Re: Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !
La transformation de l’Église catholique en une anti-Église New Age – une synagogue de Satan – a été précédée d’une décennie de préparation sous couvert de concepts positifs. Elle a culminé dans un parcours synodal LGBTQ de deux ans et demi, avec l’assemblée du Vatican en octobre et la publication ultérieure du motu proprio du 1er novembre 2023, qui pose déjà le principe d’un changement des paradigmes chrétiens.
Le 18 décembre 2023, Bergoglio et son complice Fernández ont publié la Grande Charte de l’anti-Église bergoglienne sous le titre de Fiducia Supplicans, qui a déjà aboli les commandements de Dieu et les a remplacés par la bénédiction blasphématoire d’un péché scandaleux. Il s’agit d’une apostasie publique et d’une rébellion contre Dieu et Ses commandements.
La secte de Bergoglio se présente sous la bannière de l’Église catholique qu’elle occupe. Les évêques, les prêtres et les croyants sont délibérément trompés par des phrases positives. Ils ignorent donc la tragique réalité selon laquelle l’autorité papale abusée et la déclaration Fiducia Supplicans ont déjà transformé l’Église catholique en une anti-Église du Nouvel Âge, c’est-à-dire une synagogue de Satan. Cette anti-Église possède son propre anti-credo et son propre anti-décalogue inspiré par l’esprit du mensonge, l’esprit du diable. S’il est toléré que le Credo soit récité à la messe, en réalité, il n’est plus respecté, et il n’est pas non plus permis de défendre les vérités de la foi qu’il contient.
En ce qui concerne le Décalogue, le Premier Commandement dit : « Moi, le Seigneur votre Dieu, je suis un Dieu jaloux. Vous n'aurez pas d'autres dieux. Vous ne vous prosternerez pas devant eux… ». Bergoglio a néanmoins intronisé le démon païen Pachamama dans la basilique Saint-Pierre (2019), et s’est publiquement consacré à Satan sous la direction d’un sorcier au Canada (2022). Il a effectué ces deux gestes de façon publique afin de changer la pensée catholique. Il a fait comprendre aux catholiques qu’il n’y avait plus de péché d’idolâtrie. En même temps, il a créé un précédent selon lequel tout catholique peut librement adorer des démons, se consacrer à Satan, puis l'adorer en se livrant à des perversions immorales ou à d'autres péchés. Quiconque, dans cette atmosphère, affirme ouvertement que le geste de Bergoglio en réponse au défi du sorcier est un acte de dévouement à Satan, est qualifié de fanatique, de schismatique ou de sectaire qui n’a aucun respect pour le Saint-Père. C’est dire avec quelle force l’esprit de tromperie et de mensonge agit à travers Bergoglio et son abus d’autorité.
Le Décalogue comporte deux parties fondamentales. Les trois premiers commandements expriment la relation avec Dieu, et les autres commandements expriment la relation avec le prochain. Bergoglio a aboli la relation avec Dieu par l'idolâtrie publique et un rituel d'initiation païen. Par la légalisation ecclésiastique de la sodomie, couplée à la bénédiction de ce péché scandaleux, il a abrogé non seulement les sixième et neuvième commandements, mais aussi tous les autres. L'immoralité est intrinsèquement liée à la perte de conscience. L’âme tombe dans les ténèbres spirituelles et ne respecte plus les principes moraux fondamentaux ni les commandements de Dieu. Une telle personne se soumet automatiquement à son égoïsme et à son auto-illusion.
Le Premier Commandement définit non seulement la relation avec Dieu, mais motive également une personne à lutter contre le péché en elle-même et autour d’elle. Celui qui est conscient de la verticale, c’est-à-dire de l’autorité de Dieu sur lui, envers qui il est responsable selon sa conscience, aspire à la justice et est capable de se sacrifier pour autrui. Le Premier Commandement fournit la véritable motivation nécessaire pour respecter tous les autres commandements. A l’inverse, l’abrogation du Premier Commandement et la légalisation du péché de Sodome, entraînent l’abrogation des autres commandements.
Bergoglio annule même, en pratique, le Quatrième Commandement. Il promeut l’éducation sexuelle, qui est à l’opposé d’une bonne parentalité. Dans le système pour mineurs, les enfants sont incités à dénoncer leurs parents contre ce qu'on appelle la violence. C’est ainsi qu’on appelle aujourd’hui l’éducation chrétienne. Bergoglio ne s'est jamais opposé au système pour mineurs. Au contraire, en promouvant l’homosexualité, il favorise automatiquement ce système de vol d’enfants, qui facilite la soi-disant adoption d’enfants par des homosexuels, dont beaucoup sont des pédophiles.
Le Cinquième Commandement dit : « Tu ne tueras point ». L’Église Profonde de Bergoglio est liée à l’État Profond, dont le but est de parvenir à la dépopulation, c’est-à-dire à l’anéantissement massif. L’un des moyens permettant d’atteindre cet objectif est la vaccination expérimentale, que Bergoglio a poussée presque de façon fanatique, sous la terreur. Beaucoup sont morts à cause du vaccin, et beaucoup ont subi de graves problèmes de santé.
Bergoglio est tout aussi fanatique dans la promotion du mensonge sur la soi-disant crise climatique, qui constitue également un moyen de dépeuplement. Dans son exhortation criminelle Laudate Deum, il dicte même la création d'organismes de surveillance supranationaux qui auraient la priorité sur les gouvernements nationaux. Bergoglio promeut et préconise ainsi le terrorisme mondial.
Le pseudo-pape honore publiquement les avorteurs de masse, tandis qu'il excommunie en revanche un prêtre qui se bat pour protéger la vie des enfants à naître.
Bergoglio abroge les Sixième et Neuvième Commandements moraux en légalisant le péché le plus grave de tous, la sodomie.
De plus, le pseudo-pape abroge les Septième et Dixième Commandements non pas en promouvant le vol commun, mais dans le système de légalisation de la sodomie, il s'agit avant tout du vol d'enfants par les soi-disant services sociaux, en soutien à la pseudo-adoption susmentionnée d'enfants par les homosexuels.
En soutenant avec véhémence la Grande Réinitialisation de Schwab et l’Agenda 2030, Bergoglio soutient le pillage de chaque personne sur la planète dans le but de parvenir à la famine et au dépeuplement.
Bergoglio abroge le Huitième Commandement dans ses décrets émis par l'entremise de l’autorité papale usurpée. Ils constituent un faux témoignage de l'Évangile du Christ et des enseignements authentiques de l'Église. Quant aux affaires mondiales du covid, de la crise climatique ou de la fraude sexuelle et transgenre menant au transhumanisme, dans toutes ces choses, il porte un faux témoignage contre la vérité et contre les innocents. Son faux témoignage a également couvert des scandales pédophiles et homosexuels.
Sans sourciller, Bergoglio récite le Credo tout en détruisant la saine doctrine représentée par ce Credo. Dans son document « Ad theologiam promovendam », il établit le principe du changement de paradigme. Il déclare littéralement : « La réflexion théologique est appelée à un tournant, à un changement de paradigme ». Et enfin, il introduit une nouvelle clause disant : « Tout ce que j’ai décrété dans cette Lettre apostolique donnée par le biais d’un motu proprio, j’ordonne que cela ait une force stable et durable, nonobstant toute disposition contraire ». Pour être clair, toutes les Saintes Écritures et toute la Tradition y sont contraires, et sont abrogées ici.
Avec sa Déclaration Fiducia Supplicans, Bergoglio transforme l’Église catholique en une anti-Église New Age, ou en une synagogue de Satan. Il abroge à la fois les Dix Commandements et le Credo chrétien. Il fait tout cela sans que les catholiques se rendent compte qu’il les a chassés de l’Église catholique et placés sous une malédiction. Cela leur est reproché à cause de leur passivité. C’est pourquoi chaque croyant, prêtre et évêque doit désormais prendre conscience de la réalité. Ils doivent rompre avec la fausse doctrine, avec la fausse pseudo-église de Bergoglio et avec le faux prophète Bergoglio, qui n’est en aucun cas un pape valable. L'archi-hérétique Jorge Bergoglio n'est pas un Saint-Père !
Pour que les catholiques reçoivent la lumière et la force nécessaires afin de franchir une étape salvatrice, ils doivent commencer à construire leur relation personnelle avec Dieu. Cela nécessite au moins une heure de prière par jour. L'heure optimale est de 20h à 21h. Sans la prière, les catholiques ne pourront pas faire un pas vers leur salut temporel et éternel et, peu à peu, ils se videront spirituellement de leur sang.
+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr
Évêques Secrétaires
Le 16 janvier 2024
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EN RÉACTION A LA DÉCLARATION DE ROME RELATIVE AUX BÉNÉDICTIONS ET SUR LE DÉBAT DES COUPLES DIVORCÉS/
( Le messager : « UN SOUFFLE QUI PASSE » à L' Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.)
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Frères bien-aimés,
En réaction à la Déclaration de Rome relative aux bénédictions, qui a réactivé le débat sur les couples de divorcés « remariés » et les « couples » de même sexe, tous deux en situation dite « irrégulière » vis-à-vis de l’Église catholique, je constate que certains d’entre vous se permettent, sous l’effet de l’indignation, de juger – voire de condamner – ces personnes.
J’aimerais leur rappeler sans détour que le Christ Jésus a dit : « Ne jugez pas pour ne pas être jugés ; de la manière dont vous jugez, vous serez jugés ; de la mesure dont vous mesurerez, on vous mesurera » (cf. Mt 7, 1), et les prier de s’efforcer de ne plus montrer à leur endroit de marques de mépris ou de ségrégation, ni de les qualifier d’appellations grossières ou offensantes.
En revanche, je vous demande à tous, frères aimés, de rester extrêmement fermes sur les positions défendues jusqu’ici par l’Église catholique quant à toute forme de comportement qui s’opposerait de près ou de loin aux Commandements et à l’enseignement du Seigneur Jésus, particulièrement en matière de mœurs, sans juger les personnes ni les rejeter – et cela afin de préserver vos sociétés d’un relativisme mortifère tant pour les corps que pour les âmes.
Je vais vous parler dans ce message, que j’assortirai d’un cas concret, des personnes mariées religieusement qui commettent l’adultère (1).
Sachez d’abord, frères bien-aimés, que lorsque ces personnes ne reviennent pas promptement dans le droit chemin, celui de la fidélité, elles vivent dans un état de péché qui les coupe de la pleine communion avec l’Église du Seigneur Jésus, et s’exposent à se voir jugées, au terme de leur vie terrestre, plus sévèrement encore que de simples païens qui forniqueraient sans scrupules. Car tout homme ou toute femme qui a fait, devant Dieu, promesse de fidélité, mais qui trahit ensuite son engagement, rejette délibérément la grâce inhérente au sacrement du Mariage (2) : il est comme le chien qui retourne à ce qu’il a vomi (cf. Pr 26, 11) ; elle est comme la truie qui, sitôt lavée, va de nouveau se vautrer dans la boue (cf. 2 P 2, 22). C’est pourquoi ceux qui connaissent la volonté de Dieu, s’engagent à la suivre mais ne s’y conforment pas, commettent une faute plus grave encore que ceux qui font le mal sans la connaître (cf. Lc 12, 47-48).
N’oubliez pas, mes frères, que l’Église enseigne une chasteté dans le Mariage chrétien – chasteté fondée sur l’amour mutuel (cf. 1 Co 13, 4-8), la tendresse, le respect et la modération. Car, s’il est dit dans l’Écriture que les époux ne feront plus qu’un (cf. Gn 2, 18-24), c’est pour signifier que l’homme et la femme sont complémentaires sur tous les plans, que l’homme doit aimer sa femme comme son propre corps, et que la femme doit montrer du respect envers son mari (cf. Ep 5, 25-33), ne cherchant point à le dominer ou à le déposséder du rôle de père qui lui incombe, par nature, au sein du foyer – pas plus que lui ne doit chercher à remplir d’une manière constante celui de mère, qui n’est, de fait, pas le sien.
En cas d’adultère consommé et réitéré et même de simple désir d’adultère au sein d’un couple chrétien, que le conjoint qui s’en trouve coupable se hâte de mettre un terme à cette relation et fasse une confession sans équivoque auprès d’un prêtre de l’Église catholique – et cela autant de fois que nécessaire tant que la tentation demeure. Que dans un acte de contrition sincère, il s’engage à éviter toute occasion qui pourrait l’entraîner de nouveau dans le même péché. Que le mari implore sincèrement le pardon de son épouse ou la femme celui de son époux, et que le conjoint resté fidèle pardonne, à l’instar de Jésus pardonnant à la femme adultère (cf. Jn 8, 1-11), avant que de recevoir de nouveau la sainte communion (cf. Mt 5, 23-24). Ainsi, maris et femmes, qu’il n’y ait chez vous, aucune hypocrisie, aucun mensonge, aucune tromperie, mais toujours le désir de vivre sainement et saintement pour honorer le sacrement de votre Mariage, plaire au Seigneur Jésus-Christ (3) et être dans sa paix.
Pour vous parler d’un cas concret, je prendrai l’exemple d’une femme issue d’une famille catholique pratiquante, qui découvre, quelques mois après son Mariage religieux, alors qu’elle est enceinte, non seulement que son mari la trompe, mais aussi qu’il la trompait déjà pendant la période de leurs fiançailles, et, pour couronner le tout, qu’il l’avait épousée à dessein d’entrer dans une famille aisée, bénéficiant d’un des réseaux de relations des plus jalousés. Malheureuse et dépitée, elle s’est vue contrainte de quitter ce mari calculateur, dissimulateur et adultère.
Or, quelques années plus tard, elle rencontre un homme sérieux et attentionné dont elle tombe follement amoureuse, et avec qui elle refait sa vie. Ce conjoint est un bon mari qui partage ses sentiments et l’aide à élever chrétiennement son fils. Cette famille recomposée ne manque jamais la messe dominicale et reste fidèle à la prière. Cependant, elle n’est pas dans la pleine communion de l’Église catholique, tant s’en faut !
Cela eût pu être le cas, mais pour éviter que son enfant n’en soit plus tard peiné ou qu’il lui fasse d’éventuels reproches, cette femme n’a pu jusqu’ici se résoudre à solliciter la déclaration de nullité de mariage que l’Église pourrait aisément lui accorder et qui lui permettrait, en vertu du droit canonique, de placer son nouveau couple dans une situation « régulière ».
C’est, en effet, dans ce genre de cas que l’Église catholique peut, par esprit de justice et de miséricorde, à la suite d’une enquête et d’un procès canonique en bonne et due forme, déclarer nul un premier mariage religieux et permettre à des couples recomposés de régulariser leur situation en se mariant religieusement en esprit et en vérité.
Sans vouloir entrer dans un légalisme étroit, cette femme, bien que pourvue de nombreuses qualités, a néanmoins commis plusieurs erreurs qui, objectivement, la coupent de la pleine communion avec l’Église du Christ Jésus – et, à plus forte raison, de la communion eucharistique, qu’elle reçoit pourtant illégitimement et de façon sacrilège chaque dimanche à la messe.
Frères bien-aimés, imaginez que cette femme ait décidé de se faire passer pour un médecin et se soit mise à exercer l’art médical, pourvue de nombreuses connaissances mais sans le doctorat officiel requis : n’en seriez-vous point choqués, et ne vous réjouiriez-vous pas de la voir un jour démasquée ? Alors, pourquoi moi, Paul, ne serais-je point choqué lorsque je vois cette femme quitter son mari légitime, aller vivre avec un autre homme – ce qui la rend, même quelques années plus tard, adultère – et recevoir, malgré tout, la communion eucharistique ?
Sachez, mes frères, que sa première erreur est d’avoir laissé une fausse charité envers son fils – qui n’est encore qu’un enfant – l’emporter sur la décision raisonnable de requérir auprès de l’évêque diocésain compétent une déclaration de nullité de son premier mariage, ce qui lui aurait permis, dès le début de sa nouvelle union, d’être « en règle » avec ce que demande le Seigneur Jésus par son Église.
Sa deuxième erreur est de ne pas s’être interrogée sur la gravité de son adultère, car, malgré le fait qu’elle soit une bonne épouse et une bonne mère, elle a désobéi à un Commandement capital (cf. Mt 19, 9 ; Mc 10, 11-12 ; Lc 18, 20), ce qui a entraîné un « état de péché » dès lors que le nouveau couple ne s’est pas engagé, par amour et respect envers le Seigneur Jésus-Christ, à vivre en frère et sœur.
Sa troisième erreur n’est pas, à vrai dire, de sa seule responsabilité : lorsqu’elle a demandé au prêtre de sa paroisse de bien vouloir l’entendre en Confession pour qu’il lui donne l’absolution, celui-ci a accepté alors qu’il avait une parfaite connaissance de sa situation matrimoniale.
Cependant, craignant que s’il lui opposait un refus, elle n’aille trouver dans une autre paroisse un prêtre plus « compréhensif », il l’a reçue et lui a accordé tout de même l’absolution qu’elle souhaitait. Il savait pourtant que, dans ces circonstances, administrer ce sacrement était à la fois illicite, invalide et sacrilège, et que les communions qui s’ensuivraient seraient également sacrilèges. Ce prêtre a donc commis délibérément un très grave péché de désobéissance, malheureusement très fréquent dans l’Église d’aujourd’hui – péché qui nuit en fait profondément à l’unité de cette même Église, dont le langage en matière de foi et de mœurs doit être universel et rester identique, intemporellement, d’une paroisse à l’autre et sous toutes les latitudes.
Sa quatrième erreur est que, sous le couvert d’absolutions – dont elle sait pertinemment qu’elle n’y a normalement pas droit -, cette femme continue de recevoir chaque dimanche la sainte communion.
Sa cinquième erreur, enfin, est de s’être offusquée, mise en colère, et d’avoir même fait un scandale lorsque, à la sortie d’une messe dominicale, un fervent paroissien qui avait appris sa situation a osé lui dire, par pur esprit de correction fraternelle, qu’elle ne devait pas aller communier avant d’avoir obtenu une déclaration de nullité de son premier mariage et s’être mariée religieusement avec son actuel conjoint, à moins que tous deux ne vivent en frère et sœur.
Pourtant, mes frères, c’est ce brave paroissien – et non elle – qui s’est mis la quasi-totalité de la paroisse à dos, et qui s’est même fait traiter d’«intégriste » alors qu’il n’avait fait que rappeler l’enseignement officiel de la sainte Église ! En effet, ceux qui reçoivent indignement le Corps du Seigneur Jésus-Christ, livré pour tous les hommes au gibet de la Croix, et son Sang versé pour racheter leurs péchés et leur obtenir le salut éternel, devront répondre du Corps et du Sang du Seigneur au Jour du Jugement (cf. 1 Co 12, 27-29) !
Comprenez, frères bien-aimés, que votre Dieu, c’est le Seigneur Jésus et que vous êtes les membres de son Corps Mystique, qui est l’Église. La femme dont il est ici question s’est coupée volontairement de la pleine communion avec cette Église en ayant, avec un autre homme que son mari légitime, des relations charnelles. Elle commet donc l’adultère – puisqu’il n’est pas d’autre mot pour qualifier cet acte. Peut-être ne le savez-vous point, mais en condamnant cette pratique dans l’Évangile, le Seigneur Jésus n’a rien inventé : il n’a fait que reprendre le Commandement du Lévitique (cf. Lv 18, 20. 22. 29), qui, déjà, punissait jusqu’à la mort les personnes qui s’en rendaient coupables.
Et il s’est même montré plus radical encore en déclarant également que tout homme qui regarde une femme avec convoitise a déjà commis avec elle l’adultère dans son cœur (cf. Mt 5, 28) !
Je voudrais donc, moi, Paul, par ce message, rappeler à tous mes frères prêtres qu’ils doivent absolument refuser l’absolution sacramentelle à toute personne en « état de péché » qui serait sans volonté de changer, en prenant bien soin de lui en expliquer clairement les raisons. J’ai bien dit : « à tous mes frères prêtres », car si l’un refuse dans une paroisse et qu’un autre accepte dans une autre, cela nuit une fois encore à la crédibilité et à l’unité de l’Église du Christ Jésus.
Quant à vous, frères bien-aimés, ne vous permettez pas pour autant de porter sur les couples qui ne sont pas dans la totale communion de la sainte Église des jugements impitoyables. Priez plutôt pour eux, et expliquez-leur, dans la mesure du possible, que s’ils ont des relations charnelles, ils sont appelés par l’Église à faire des communions de désir jusqu’à la reconnaissance de nullité de leur premier mariage et la célébration du second, à moins que, désirant recevoir l’Eucharistie sans aucun obstacle, ils aient le ferme propos de vivre en frères et sœurs tant que leur situation n’aura pas été définitivement régularisée.
Que le Christ Jésus, qui est tout Amour, décille vos paupières sur les questions de foi et de mœurs, et vous conduise, dans le respect des Commandements, sur le chemin de la Vérité sans compromis ni confusion. Et moi, Paul, disciple fidèle, depuis le Ciel, je vous bénis.
Paul, Apôtre de Jésus-Christ
( Le messager : « UN SOUFFLE QUI PASSE » à L' Approbation du Père Marc-Antoine Fontelle o.b., docteur en théologie, en droit canonique et en droit civil.)
( Source de ce message à ce lien : https://messages-du-ciel.com/message-du-8-janvier-2024/
https://maranathanoustattendons.travel.blog/2024/01/29/en-reaction-a-la-declaration-de-rome-relative-aux-benedictions-et-sur-le-debat-des-couples-divorces-remaries
ParAmourPourJésus- Cinquième Demeure : C'est l'Union de volonté. Je suis fidèle à la Foi et à l'Obéissance.
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Re: Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !
30 janvier 2024
L'écrivain anglais Deacon Nick Donnelly pose la question de l'utilité des journalistes accrédités au Vatican, s'ils ne posent pas "les questions évidentes" (Twitter.com, ProtecttTheFaith, 24 janvier). Le diacre donne quelques exemples :
"Jorge, qu'est-ce que c'est que cette histoire de toi et d'homosexualité ?".
"Pourquoi nommes-tu autant de partisans déclarés de l'homosexualité comme évêques ?"
"Pourquoi as-tu nommé un homosexuel notoire à la tête de ta maison dans le Domus Sanctae Marthae ?
"Pourquoi faites-vous toujours l'éloge de cette reine qu'est James Martin ?
"Pourquoi votre compagnon de table hebdomadaire est-il un jésuite qui a un site web dédié à un poète homosexuel ?"
"Pourquoi avez-vous nommé le préfet de la CDF le plus gay de l'histoire ?"
SOURCE :
https://gloria.tv/post/PcoZgA3rrQEh21cUrf8q9jbZg
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Re: Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !
Le pape François devrait annuler Fiducia Supplicans et remplacer le préfet par un homme à la "doctrine sûre, solide et pure", pour reprendre les mots de l'apôtre à Titus", a déclaré le père Nicola Bux.
par Andreas Wailzer
29 janvier 2024
(LifeSiteNews) - Le théologien respecté du Vatican, le père Nicola Bux, a déclaré que Fiducia Supplicans "Il a également appelé l'auteur du document, le cardinal Victor Fernandez, à démissionner.
Le père Bux, ancien consultant de la Congrégation (aujourd'hui Dicastère) de la doctrine de la foi et ami et collaborateur de feu le pape Benoît XVI, a fait ses commentaires sur le site Internet de la Commission européenne. Fiducia Supplicans dans un récent entretien avec le journaliste du Vatican Edward Pentin.
https://www.lifesitenews.com/episodes/breaking-pope-francis-attacks-critics-of-homosexual-blessings-as-small-ideological-groups/
L'évêque Joseph Strickland, ancien évêque de Tyler, Texas, a partagé l'interview de Pentin avec Bux sur X, anciennement Twitter. "Cet article devrait être lu par tous les catholiques qui connaissent et aiment l'Église, elle est l'Épouse du Christ et elle proclame la Vérité avec logique et charité".
Bux dit à Pentin : "Bien sûr, Fiducia Supplicans n'appartient pas au 'Magistère authentique' et n'est donc pas obligatoire parce que ce qui y est affirmé n'est pas contenu dans la parole écrite ou transmise de Dieu et que l'Église, le Pontife romain ou le Collège des évêques, soit définitivement, c'est-à-dire par un jugement solennel, soit avec le Magistère ordinaire et universel, propose de croire comme divinement révélée".
"On ne peut même pas y adhérer avec l'assentiment religieux de la volonté et de l'intellect", a-t-il ajouté.
M. Bux a expliqué que la division qui existait déjà dans l'Église catholique est aujourd'hui révélée au grand jour.
"Benoît XVI, dans ses Notes du 11 avril 2019, a décrit l'origine de la débâcle de la morale catholique, et donc aussi des divisions entre catholiques, du fait de considérer que la cohabitation d'un couple hétérosexuel et d'un couple homosexuel n'est pas un péché", a-t-il déclaré. "La division ou le schisme, auparavant submergé, a maintenant émergé.
Le père Bux a abordé le fait que Fiducia Supplicans est désapprouvée par d'autres confessions et religions plus traditionnelles.
"Un ami juif qui a entendu parler deFiducia Supplicans[Il m'a demandé : "Le pape ne connaît-il pas la Bible ? Sans parler de la ridiculisation des musulmans et de l'éloignement des orthodoxes qui déclarent désormais impossible l'unité avec les catholiques. Fiducia Supplicans et les communiqués qui ont suivi sont le résultat de l'ignorance du préfet Fernandez", a déclaré le père Bux.
Lorsqu'on a demandé au théologien comment la confusion causée par les Fiducia Supplicans a pu être résolue, a-t-il répondu :
"Expliquer qu'il n'y a rien de pastoral sans ".pastoLa doctrine est donc pastorale, mais si le berger ne l'a pas, il ne peut pas faire le travail pastoral". La doctrine est donc pastorale, mais si le berger ne l'a pas, il ne peut pas faire de pastorale".
"Le drame de l'Église aujourd'hui est la séparation de la pastorale et de la doctrine, c'est-à-dire de l'amour et de la vérité. Et nous le payons cher, comme l'avait prédit Jean-Paul II".
"Le pape François devrait annuler Fiducia Supplicans et remplacer le préfet par un homme à la 'doctrine sûre, solide et pure', pour reprendre les mots de l'apôtre à Tite", a-t-il conclu.
Le prochain pape doit 'répondre aux dubia accumulés depuis 2015
L'éminent théologien s'est penché sur les effets potentiels de la Fiducia Supplicans et le pontificat du pape François sur l'avenir de l'Église.
"Nous verrons s'il [le schisme] sera officiellement déclaré lors d'un prochain événement ecclésial, tel qu'un synode ou un conclave. Il est certain que le prochain pape devra faire les comptes et décider s'il faut approfondir la division ou la réparer en convoquant un concile".
"Quel que soit le candidat au poste de pape, il devra être invité, lors des congrégations pré-conclaves, à répondre aux questions suivantes dubia accumulés depuis 2015, sous peine de voir la division de l'Église s'aggraver."
"Le prochain pape, s'il ne veut pas l'être pour une seule partie de l'Église, devra certainement se poser la question : quelle est la mission de l'Église ? Celle de se conformer au monde ou de le sauver ?" a déclaré le père Bux.
"L'unité de l'Église catholique est compromise par Fiducia Supplicans parce que, sur une vérité morale aussi essentielle, elle accepte, dans la pratique, des points de vue opposés parmi les Églises dispersées dans le monde. Un exemple : Le nouvel évêque de Foggia a déclaré que son Église serait "l'Église de François qui bénit tout le monde". Mais l'Église n'est-elle pas celle de Jésus-Christ ?
"M. Fernandez s'est discrédité en publiant un document qui est à l'opposé de celui de son prédécesseur, [le cardinal Luis] Ladaria, en 2021", a déclaré M. Bux.
"S'agirait-il d'un 'développement' ou plutôt d'une hétérogénéité de la doctrine ? Le Dicastère [de la Doctrine de la Foi] et le Saint-Siège se sont humiliés. Quelqu'un a déjà rebaptisé le Dicastère 'pour la destruction de la foi'".
"Le soupçon d'ignorance et de mauvaise foi pèsera sur Fernandez dans tout document qu'il signera par la suite. Il devrait démissionner", a conclu M. Bux.
SOURCE :
https://www.lifesitenews.com/fr/news/un-grand-theologien-du-vatican-affirme-que-la-fiducia-supplicans-ne-fait-pas-partie-du-magistere-authentique/?utm_source=editions_menu&utm_campaign=usa
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Re: Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !
Un professeur de l’université franciscaine demande la démission du pape François suite à un texte sur les « bénédictions » homosexuelles. S'adressant au pape François, le professeur Regis Martin l'a exhorté à "démissionner de la fonction qu'il est devenu si pénible d'occuper, puis à se rendre au monastère le plus proche pour y mener une vie de prière et de pénitence".
par Doug Mainwaring
2 janvier 2024
(LifeSiteNews) - Un professeur de théologie de l'Université franciscaine de Steubenville a appelé à la démission du pape François suite à la publication de Fiducia SupplicansCette déclaration a suscité la controverse, la confusion et le scandale au sein de l'Église catholique romaine.
S'adressant au pape François, le professeur Regis Martin : Il faut démissionner de la fonction qui est devenue si pénible à occuper, puis se rendre au monastère le plus proche pour y mener une vie de prière et de pénitence.
"Il n'y a d'ailleurs aucune chance que cela se produise. Alors, pourquoi me donner la peine de le faire ? N'est-ce pas un peu comme cracher dans le vent ? ou à essayer de résoudre la quadrature du cercle", s'interroge Martin dans son commentaire acerbe publié dans Magazine Crisis.
"Je le fais parce que l'Évangile l'exige", répond Martin, qui explique :
Je ne suis pas saint Paul, mais je n'hésite pas à le paraphraser. Qui, dans sa lettre aux Galates (2,14), a eu le culot d'interpeller saint Pierre lui-même, le premier pape, sur un point de doctrine, rien de moins. Lorsqu'un homme ne marche pas droit, lorsqu'il n'est pas franc, il ne fait aucun doute que quelqu'un doit le lui dire. C'est ce que Paul a dit à Pierre, en le réprimandant en face à Antioche. C'est pourquoi, avec le plus grand respect, il faut vraiment avoir le courage de le dire au pape.
Martin a déclaré qu'il dirait au Pape "qu'il est tout mouillé. Que la déclaration qu'il a signée et délivrée est tout simplement fausse".
Quelle que soit la portée que le pape François souhaite donner à sa "vision pastorale", elle ne pourra jamais englober la bénédiction du péché. Soit l'adultère et la sodomie sont répréhensibles, et ceux qui s'engagent dans ces pratiques commettent un péché grave et ont besoin de se repentir ; soit il n'y a rien de répréhensible ou de fâcheux dans ces pratiques, et aucun prêtre ne devrait s'opposer à ceux qui se présentent pour que leurs unions soient bénies.
C'est la voie de la folie. Et l'Église, qui a toujours défendu la raison, devra peut-être demander au pape de se retirer pour que les choses redeviennent saines.
L'appel du professeur Martin à ce que "des têtes tombent" au Vatican - y compris dans la caboche papale - fait suite à la publication d'un rapport de la Commission européenne. tsunami de l'opposition des prélats, des conférences épiscopales, prêtres, et associations de prêtreset des commentateurs catholiques conservateurs.
Le 18 décembre, le pape François et Cardinal Victor Manuel Fernández émis Fiducia Supplicans qui autoriserait "la bénédiction de couples en situation irrégulière et de couples de même sexe", en contradiction avec l'enseignement catholique immuable selon lequel l'Église ne peut bénir des relations entachées de péché.
Le texte cherche à ouvrir officiellement la porte au clergé catholique pour qu'il fournisse des "bénédictions" aux couples sodomites et adultères, en opposition avec l'enseignement catholique constant et les Saintes Écritures.
SOURCE :
https://www.lifesitenews.com/fr/news/universite-franciscaine-le-pape-francis-demissionne/?utm_source=editions_menu&utm_campaign=usa
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Re: Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !
28 décembre 2023
Monseigneur Martin Mtumbuka, évêque de Karonga, au Malawi, a rejeté le texte de propagande homosexuelle de François "Fiducia supplicans" dans son sermon de Noël (vidéo ci-dessous)."Nous n'avons pas le choix. Nous ne pouvons pas permettre qu'une déclaration aussi offensante et apparemment blasphématoire soit mise en œuvre dans notre diocèse", a déclaré l'évêque.
Mgr Mtumbuka a ajouté : "Pour la première fois dans l'histoire de l'Église, un document émis par le Saint-Siège et signé par le Saint-Père est rejeté par ses confrères évêques et publiquement rejeté".La principale préoccupation de l'évêque est que le texte "ressemble à une hérésie pour nous, il se lit comme une hérésie".
François et Fernández donnent l'impression que la bénédiction se réfère à des homosexuels individuels, alors qu'il s'agit en fait d'une union. Ils "se sont présentés comme un couple, partent comme un couple, rentrent chez eux comme un couple, dorment dans le même lit comme un couple".
Conclusion : "Ils semblent être bénis en tant que couple. Comment cela pourrait-il ne pas changer l'enseignement authentique de l'Eglise ?".
SOURCE :
https://gloria.tv/post/SZvreeTrjhjL4YqPvGQs3bPJj
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Re: Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !
Le cardinal Zen met en garde contre « l’agenda » du synode pro-LGBT et la « grande confusion » causée par Fiducia Supplicans. La « vision » du Synode sur la synodalité, a déclaré le cardinal Zen, « si elle est légitimée, peut tout changer, la doctrine de la foi et la discipline de la vie morale ».
par Michael Haynes
15 février 2024
HONG KONG (LifeSiteNews) – Le cardinal Joseph Zen a publié une critique vigoureuse du Synode sur la synodalité et de sa « vision ecclésiale », déclarant qu’il « offense notre intelligence » de prétendre qu’il n’y a « pas d’agenda » derrière le synode et d’avertir qu’il pourrait « tout changer ».
« Nous ne pouvons pas nous empêcher d’être stupéfaits, parce qu’on nous dit qu’on ne sait toujours pas ce qu’est la synodalité », a écrit Zen, se référant à l’état actuel du Synode pluriannuel sur la synodalité. Ses commentaires ont été formulés dans le cadre d’un essai du 15 février examinant chaque étape du synode jusqu’à présent, ainsi qu’une autre condamnation de la « confusion » causée par Fiducia Supplicans.
À partir du document préparatoire et du vade-mecum publiés en 2021, le synode est jusqu’à présent passé par une étape locale et nationale, avant de passer à une étape continentale, et plus récemment à la scène dite universelle qui a vu les clercs et les laïcs se réunir à Rome en octobre 2023. La deuxième phase de la scène universelle aura lieu à Rome en octobre.
Zen a déjà publié des évaluations et des critiques du synode, et son dernier essai contenait un mélange similaire d’un tel ton.
JUST IN: @CardJosephZen writes that #SynodonSynodality's base text proposes vision which “if legitimized, can change everything, the doctrine of faith & the discipline of moral life.”
— Michael Haynes (@MLJHaynes) February 15, 2024
Saying Synod has “no agenda” “offends our intelligence,” he wrote. https://t.co/7UY9xpDiOz pic.twitter.com/uzQrfOIEdc
Synode : Nouveauté et révolution avec un « agenda » décidé ?
Il a souligné un point régulièrement soulevé par les commentateurs ces dernières années à propos de la définition même de la synodalité, soulignant une contradiction apparente. « Ils nous disent que la synodalité est un élément constitutif fondamental de la vie de l’Église, mais en même temps, ils soulignent que la synodalité est ce que le Seigneur attend de nous aujourd’hui », a-t-il écrit, ajoutant :
La participation et la communion sont évidemment des caractéristiques permanentes de l’Église une, sainte, catholique et apostolique. Mais dire que la synodalité est « ce que le Seigneur attend de nous aujourd’hui » ne signifie-t-il pas qu’il s’agit de quelque chose de nouveau ?
Zen a écrit qu’à Hong Kong, tentant d’éviter « une contradiction » dans cette compréhension, le diocèse était entré dans la première étape du synode avec l’état d’esprit que la « synodalité » était un mot utilisé pour donner « un nouvel élan à quelque chose qui a toujours existé dans l’Église ».
Le cardinal a donné des détails spécifiques sur la participation du diocèse de Hong Kong à l’étape locale du synode, affirmant que l’étude s’est concentrée « sur le sens générique de 'marcher ensemble' ».
S’inquiétant de la manière dont une telle phrase devait être correctement interprétée dans l’Église catholique, il a fait référence à un texte publié par la Congrégation pour la doctrine de la foi en 2018 intitulé La synodalité dans la vie et la mission de l’Église.
« Cette autre vision... peut tout changer
Il a averti que le texte de base du Synode sur la synodalité ne correspondait pas au document de 2018 de la CDF : « En lisant le document susmentionné et le volumineux premier document introductif du Secrétariat du Synode, je ne peux pas chasser la perception que nous sommes confrontés à deux visions opposées de l’ecclésiologie. »
Contrastant les textes, Zen a souligné les images contradictoires d’une Église apostolique et hiérarchique et d’une Église centrée sur « une synodalité mal définie, une « démocratie des baptisés » ». Avertissant que « les baptisés » pourraient même ne pas être des catholiques pratiquants – car le texte de base du synode appelait d’ailleurs les catholiques et les non-catholiques déchus à contribuer – il a déclaré que :
Cette autre vision, si elle est légitimée, peut tout changer, la doctrine de la foi et la discipline de la vie morale.
Il a également fait valoir que, bien que certains l’accusent de promouvoir une « théorie du complot » – dont LifeSiteNews peut confirmer qu’elle s’est produite dans certains quartiers du Vatican – il y avait un plan prémédité derrière le synode.
Ils disent qu’il n’y a pas d’ordre du jour, mais cela offense notre intelligence, comment pouvons-nous oublier cette Note in Amoris laetitia après les deux synodes sur la famille ? Et cette délibération sur les « viri probati », même si elle n’a pas été incluse dans l’Exhortation post-synodale amazonienne ?
Il a également souligné l’exemple du Chemin synodal allemand hétérodoxe, faisant allusion aux similitudes entre les développements anti-catholiques qui s’y déroulent et le chemin projeté du Synode sur la synodalité.
« Écouter » pour évoquer la « compassion »
Le cardinal, âgé de 92 ans, a également vivement critiqué la manière dont se sont déroulées les phases continentales et les cycles d’écoute du Synode. Il a noté que les réunions du synode se sont concentrées – comme prévu – sur les personnes décrites comme n’ayant « pas de voix dans l’Église ». De tels témoignages « suscitent évidemment des émotions, des sentiments de compassion », a-t-il dit, notant qu’ils se concentrent sur « les minorités ayant des tendances sexuelles particulières, les situations de 'mariages' irréguliers, de sorte qu’ils ne sont pas acceptés, c’est-à-dire exclus, alors que l’Église devrait accueillir tout le monde ».
Zen a plaisanté en disant que la véritable intention des organisateurs du synode était peut-être de se concentrer sur les « minorités ayant des tendances sexuelles particulières », et donc « l’acronyme LGBTQ est entré pour la première fois, solennellement, dans un document de l’Église ».
Bien qu’il ait fait valoir que les organisateurs du synode ont probablement trouvé les deux étapes initiales insatisfaisantes, il a écrit que l’Instrumentum Laboris pour les réunions d’octobre 2023 présentait « un sentiment clair que les problèmes posés au discernement sont les structures de l’Église et les problèmes de l’éthique sexuelle ».
Mais le cardinal de Hong Kong a écrit que les réunions d’octobre au Vatican ont utilisé la même méthode que les étapes précédentes, « une méthode qui ne favorise pas la solution des projets ».
Il a critiqué la méthode synodale de « conversation dans l’esprit », citant un professeur de l’Université grégorienne de Rome pour révéler que la technique n’était pas applicable aux discussions synodales.
« Imposer cette méthode aux travaux du Synode est une manipulation visant à éviter les discussions. Ce n’est que psychologie et société, pas de foi et pas de théologie », a écrit Zen.
En ce qui concerne l’ordre donné aux membres du synode de garder le silence sur leurs discussions, il a écrit que « les fidèles ont été tenus dans l’ignorance d’un synode qui se voulait un modèle de synodalité ».
Électeurs laïcs lors d’un synode
Le cardinal Zen a également souligné les problèmes liés à la composition des membres du synode d’octobre au Vatican, affirmant que les choix personnels du pape pour l’événement étaient « évidemment dans le but d’équilibrer les deux côtés », à la lumière des choix faits par les conférences épiscopales locales.
Pourtant, il a noté « quelque chose de plus grave », à savoir l’inclusion d’électeurs laïcs au Synode, ce qui signifie qu’il « n’est plus un Synode des évêques ».
Il a appelé à ce que la prochaine réunion synodale d’octobre 2024 soit un véritable synode des évêques, réservé aux évêques et excluant les laïcs, évitant ainsi « une confusion dangereuse ».
Zen a également appelé à un mouvement pour examiner les questions soulevées au synode jusqu’à présent, afin que les évêques puissent revenir au synode en apportant – ici le cardinal a cité le pape François – « l’odeur de leurs brebis ».
« Eux seuls sont capables d’apporter au Synode la véritable situation de leur Église, le Pape ne peut pas avoir le nez pour toutes ses brebis dans le monde, surtout si c’est la périphérie », a-t-il déclaré. Dans de telles discussions, le document de 2014 Sensus fidei dans la vie de l’Église sera essentiel, a-t-il ajouté.
Fiducia Supplicans
Le cardinal Zen, l’un des cinq cardinaux dubia qui ont écrit à François au cours de l’été, a confirmé ses critiques antérieures à l’égard de Fiducia Supplicans, affirmant que le texte « n’a fait que développer cette réponse déjà longue » que les cinq cardinaux avaient reçue.
Les dubia ont été rendus publics le 2 octobre, après que les cardinaux aient reçu une première réponse de François qui était si « vague » qu’ils lui ont réédité leurs dubia. Zen a suggéré que la réponse en question avait été préparée à l’avance par les organisateurs du synode « pour répondre aux perturbateurs de leur agenda », une accusation qu’il répète aujourd’hui : « L’auteur ne pouvait pas être le Saint-Père, mais devait provenir de l’arsenal du Secrétariat du Synode prêt à contrer les opinions contraires. »
Non seulement Fiducia Supplicans a causé « une grande confusion », mais le Cardinal Zen a averti qu’il « menace d’une division sérieuse jamais vue auparavant dans l’Église ».
SOURCE :
https://www.lifesitenews.com/news/cardinal-zen-synod-agenda-confusion/?utm_source=daily-canada-2024-02-16&utm_medium=email
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