Déclaration "Fiducia Supplicans" sur la Signification Pastorale des Bénédictions !

   



   

Face à ce sujet polémique qui vient mettre en danger certains des Dogmes de l'Église Catholique     , il nous est apparu URGENT de créer un sous-Forum consacré à cette Déclaration nommée Fiducia Supplicans de façon à suivre ce Dossier pour le moins explosif :

- http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/f218-fiducia-supplicans-et-la-benediction-des-actes-homosexuels

Dorénavant, tous les posts consacrés à ce sujet seront donc postés dans ce sous-Forum !

d'en prendre bien note !

L'Administrateur     

Quand on veut mélanger la chèvre et le chou...  !



L'Administrateur

Communiqué sur la réception dans l’EGCU (l'Église Greco-Catholique Ukrainienne) de la Déclaration du Dicastère de la Doctrine de la Foi concernant « Fiducia Supplicans » sur la signification pastorale des bénédictions :

En réponse aux nombreux appels d’évêques, de membres du clergé, de moines, de mouvements ecclésiastiques et de laïcs de l’Église gréco-catholique ukrainienne concernant la déclaration du Dicastère de la doctrine de la foi « Fiducia Supplicans » (18 décembre 2023) sur la signification pastorale des bénédictions, et après avoir consulté des experts et des institutions compétentes, je souhaite vous informer de ce qui suit :

 

La Déclaration susmentionnée interprète la signification pastorale des bénédictions dans l’Église latine, et non dans les Églises orientales catholiques. Elle n’aborde pas les questions de foi ou de morale catholique, ne se réfère à aucune prescription du Code des Canons pour les Églises orientales et ne mentionne pas les chrétiens d’Orient. Ainsi, sur la base du canon 1492 du CCEO, cette Déclaration s’applique exclusivement à l’Église latine et n’a aucune valeur juridique pour les fidèles de l’Église gréco-catholique ukrainienne.

 

L’Église gréco-catholique ukrainienne est l’une des Églises catholiques orientales et possède donc son propre patrimoine liturgique, théologique, canonique et spirituel, que tous les fidèles sont tenus d’observer et de chérir (CCEO, canons 39-41). Le sens du mot « bénédiction » est différent dans l’EGCU et dans l’Église latine.

   

Selon la pratique liturgique de notre Église, la bénédiction d’un prêtre ou d’un évêque est un geste liturgique qui ne peut être séparé du reste du contenu des rites liturgiques et réduit aux circonstances et aux besoins de la piété privée.
(Catéchisme de l’EGCU « Le Christ est notre Pâque », par. 505-509)

       

4. Selon les traditions du rite byzantin, le concept de « bénédiction » signifie une approbation, une permission, voire un ordre pour un certain type d’action, de prière et de pratiques ascétiques, en particulier certains types de jeûne et de prière. Il est évident que la bénédiction par un prêtre a toujours une dimension évangélique et catéchétique et ne peut donc en aucun cas contredire l’enseignement de l’Église catholique sur la famille en tant qu’union d’amour fidèle, indissoluble et féconde entre un homme et une femme, que Notre Seigneur Jésus-Christ a élevée à la dignité du Saint Sacrement du Mariage. Le zèle pastoral nous encourage à éviter les gestes, les déclarations et les concepts ambigus qui déformeraient ou dénatureraient la parole de Dieu et les enseignements de l’Église.

Que la bénédiction du Seigneur soit sur vous !

+ Sviatoslav
Primat de l’église greco-catholique ukrainienne

SOURCE :

https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t45343p210-le-pape-francois-et-le-droit-a-une-union-civile-pour-les-couples-homosexuels#505345

Voilà donc une Directive claire et nette et, surtout, SANS AMBIGUITÉ !



L'Administrateur

Les évêques du Cameroun prennent position « Face aux abus sémantiques »
destinés à fausser la valeur des réalités et le sens réel des notions de famille, de couple,
de conjoint, de sexualité et de mariage.

Face à la vague d’indignation, d’interrogation et d’inquiétude que suscite au sein du peuple
de Dieu, la Déclaration «Fidusia Supplicans» sur la question de bénédiction des couples de même sexe.

Pour Ia dignité humaine et le Salut de l'humanité tout entière en Jésus Christ.
Nous, Évêques du Cameroun, au sujet de l’homosexualité et de la bénédiction
des couples homosexuels, déclarons unanimement ce qui suit :

1. Dans la conformité de notre Déclaration de 2013 sur l'homosexualité, nous réaffirmons
fermement la vérité de l'Eglise, Mère et Educatrice, qui enseigne la sacralité de l’identité
sexuée de l'homme et de la femme créés à l'image de Dieu (Gn 1 ,26), celle de la dignité
de leur sexualité et du mariage qui fonde la famille. La personne humaine est créée homme
et femme : « Homme et femme, il les créa » (Gn 1, 26). Cette différence invariable qui fonde
leur relation et leur complémentarité s'accomplit dans les liens du mariage.

2. L’homosexualité falsifie et corrompt l'anthropologie humaine et banalise la sexualité,
le mariage et la famille, fondement de la société. Dans la culture africaine, cette pratique ne
fait pas partie des valeurs familiales et sociales. Elle est une violation flagrante de l'héritage
que nos ancêtres nous ont légué. Dans l'histoire des peuples, les pratiques d’homosexualité
n'ont jamais donné lieu à une évolution sociétale, mais sont les signes évidents de la décadence
implosive des civilisations. De fait, l’homosexualité oppose l’humanité à elle-même et la détruit.

3. L’identité profonde de la sexualité est méconnue, détournée et pervertie hors des rapports de
conjugalité de l'homme et de la femme. Par conséquent, les actes vécus dans le cadre de
l’homosexualité ne sont pas « sexuels » mais « des rapports contre nature » (Rm 1, 26)

4. Le mariage est une institution qui légitime les relations sexuelles et la filiation pour la fondation
d'une nouvelle famille. C'est l'union d'un homme et d'une femme qui s'engagent dans une vie de
couple, à fonder une famille et de vivre unis dans l'amour. L'union homosexuelle n'est pas un
mariage. Elle fausse le sens du mariage en le réduisant à un lien stérile, hédoniste et pervers :
« l'infamie d'homme à homme « (Rm 1,26).

5. L’homosexualité n'est pas un droit de la personne humaine. Mais une aliénation qui nuit
gravement à l’humanité parce qu'elle n'est fondée sur aucune valeur propre à l'être humain :
c'est une déshumanisation de l'amour, « une abomination" (Lev 18,22), La rejeter n'est en rien
une discrimination ; mais une légitime protection des valeurs constantes de l’humanité face
à un vice devenu sujet de réclamation de la reconnaissance légale et, aujourd'hui,
posé comme sujet de bénédiction.

6. Littéralement, « Bénir c'est dire du bien ». Et dire du bien pour procurer la grâce par un geste
de bénédiction d'un « couple homosexuel » reviendrait à encourager un choix et une pratique de vie
qui ne peuvent être reconnus comme étant objectivement ordonnés aux desseins révélés de Dieu.
Bien plus, différencier le cadre liturgique du cadre non liturgique pour appliquer la bénédiction aux
personnes de même sexe en « couple » relève d'un double langage hypocrite. Car, l'acte de
bénédiction, qu'il soit posé en assemblée liturgique ou en privé, demeure une bénédiction.
Nous déclarons donc non conforme toute forme de bénédiction en public ou en privé, qui tend
à reconnaitre les « couples homosexuels », comme un état de vie.

7. Fidèles à l'Enseignement pérenne de la Tradition ecclésiale qui déclare intrinsèquement
désordonnés et contraires à la loi naturelle les actes d’homosexualité (Catéchisme de l'Eglise
Catholique n. 2357), Nous, Évêques du Cameroun, réitérons notre désapprobation
de l’homosexualité et des unions homosexuelles,

8. Par conséquent, nous interdisons formellement toutes bénédiction des « couples homosexuels »
dans l'Eglise du Cameroun.

9. Etant donné que Dieu ne veut pas la mort du pêcheur, mais sa conversion pour la vie éternelle,
nous recommandons ceux qui sont enclins a l’homosexualité, à la prière et à la compassion de
l'Eglise, en vue de leur conversion radicale. Nous les invitons aussi à sortir de leur mentalité de
victimisation dans laquelle ils se complaisent à se considérer comme « victimes », « faibles »,  
« minorités »; afin de saisir l'occasion de conversion que Dieu leur donne dans les multiples
interpellations de sa Parole.

La déclaration des Évêques rendue publique à Yaoundé le 21 décembre 2023 porte la signature
de Mgr Andrew FUNYA NKEA, archevêque de Bamenda, président de la Conférence Épiscopale
Nationale du Cameroun.



L'Administrateur

par Jeanne Smits

18 décembre 2023

Pour les médias mainstream, l’affaire est dans le sac. « Le Vatican autorise la bénédiction hors-liturgie des couples de même sexe », proclame article après article ; BFMTV ajoute : « Une première. » L’idée que l’Eglise catholique accepte désormais de bénir les paires homosexuelles en tant que telles est dès lors acquise dans les esprits ; d’ailleurs Vatican News dit à peu près la même chose en titrant : « Une déclaration doctrinale ouvre la bénédiction à des couples irréguliers », en précisant dès le premier paragraphe de la dépêche que cela doit se faire hors liturgie : « Fiducia supplicans du dicastère pour la Doctrine de la foi, approuvée par le Pape, offre la possibilité de bénir les couples formés par des personnes de même sexe, en dehors cependant de toute ritualisation et imitation du mariage. La doctrine sur le mariage ne change pas et la bénédiction ne signifie pas l’approbation de l’union. »

La déclaration Fiducia supplicans (« La confiance suppliante du peuple fidèle de Dieu ») souligne, il est vrai, qu’il s’agit d’apporter une réponse pastorale à une « situation de péché ». « Même lorsque la relation avec Dieu est obscurcie par le péché, il est toujours possible de demander une bénédiction, en lui tendant la main, comme l’a fait Pierre dans la tempête », proclame l’un des tout derniers paragraphes de cette longue déclaration signée par le préfet du dicastère, le cardinal Victor Manuel dit « Tucho » Fernandez, récemment amené de Buenos Aires à Rome par le pape François qui ne cache pas sa proximité spirituelle et intellectuelle avec le prélat argentin. Le pape a d’ailleurs signé la déclaration qui lui a été présentée par le cardinal. Avec ses 45 articles et sa publication simultanée en italien, français, anglais, allemand et espagnol, on peut penser que Fiducia supplicans a été mûrement réfléchi ; il s’agit d’ailleurs d’une sorte d’exégèse des Responsa très bavards et passablement alambiqués adressés à deux des cinq cardinaux qui avaient présenté leurs premières questions, notamment au sujet de la possibilité de bénir les couples de même sexe, au mois de juillet.

Fiducia supplicans : la bénédiction des pécheurs ?

Pourquoi s’en plaindre ? Lorsqu’on s’approche du sacrement de confession, c’est la première chose que l’on dit : « Bénissez-moi, mon père, parce que j’ai péché. » Ce n’est pas le péché qui attire la bénédiction : cette bénédiction est demandée pour obtenir la grâce de se bien confesser, d’accuser ses fautes comme il se doit, et dans une disposition de de repentir et d’amendement de sa vie.

Mais comment prétendre qu’en recommandant aux prêtres de bénir « les couples » en « situation irrégulière » qui le demandent, de manière informelle si l’on veut, cet aspect pénitentiel soit au cœur de leur démarche ? Certes, c’est Dieu qui sonde les reins et les cœurs, mais le propos des couples concernés est clairement de poursuivre leur cohabitation, de s’endurcir dans le péché, de demeurer dans une situation où ils seront tentés de commettre des péchés graves, ces péchés mortels qui privent de la grâce sanctifiante, du salut éternel tant qu’ils ne sont pas confessés et n’ont pas été absous.

On notera que la Déclaration met sur le même plan les « couples en situation irrégulière », expression qui désigne traditionnellement les couples constitués d’un homme et d’une femme vivant ensemble en dehors des liens du mariage (le concubinage) ou malgré un mariage sacramentel antérieur valide et avec une autre personne toujours vivante (l’adultère institutionnalisé). Fiducia supplicans ne fait donc aucune distinction entre des relations « naturelles » et celles que la morale traditionnelle a toujours désignées comme étant « contre nature », c’est-à-dire directement contraires à la nature de l’homme et à son bien, et à la finalité de l’activité sexuelle.

La Déclaration distingue en revanche entre ce qu’on pourrait appeler les bénédictions liturgiques, avec leurs exigences de « conditions morales » comme celles « exigées pour la réception des sacrements », et les bénédictions pastorales, non codifiées, « non ritualisées », hors normes, que le prêtre doit pouvoir donner de manière « spontanée ». Comme le dit le paragraphe 38, « Dans la courte prière qui peut précéder cette bénédiction spontanée, le ministre ordonné pourrait demander pour eux la paix, la santé, un esprit de patience, de dialogue et d’entraide, mais aussi la lumière et la force de Dieu pour pouvoir accomplir pleinement sa volonté. »

Plus loin il est dit : « Par ces bénédictions, qui ne sont pas données selon les formes rituelles propres à la liturgie, mais plutôt comme une expression du cœur maternel de l’Eglise, semblables à celles qui jaillissent des profondeurs de la piété populaire, on n’entend pas légitimer quoi que ce soit, mais seulement ouvrir sa vie à Dieu, lui demander son aide pour mieux vivre, et invoquer aussi l’Esprit Saint pour que les valeurs de l’Evangile soient vécues avec une plus grande fidélité. »

La bénédiction des homosexuels en tant qu’ils vivent en couple

Mais ces réserves apparentes et ces protestations d’adhésion à l’enseignement traditionnel de l’Eglise suffisent-elles à justifier ces bénédictions ?

Certes non. Car ce qui est proposé, au nom de la « force inconditionnelle de l’amour de Dieu » (expression dangereuse, comme nous l’écrivions ici), c’est bien de bénir ces couples en couple et en tant que tels. Et donc leur relation gravement désordonnée ; contraire aux commandements de Dieu. On n’imagine pas un prêtre bénissant – par exemple – l’association de deux cambrioleurs de profession. Ou le partenariat de mafiosi, de fabricants de pilules abortives, de producteurs de films pornographiques.

La possibilité de donner une bénédiction aux couples divorcés remariés ou aux couples de même sexe signifie peu ou prou que leurs actes ne sont pas si graves ; que leur décision de vivre comme partenaires sexuels et leurs vies en tant que tels comportent des éléments positifs. La Déclaration proclame que la bénédiction « descendante » de ces couples vise ceux qui, « se reconnaissant indigents et ayant besoin de son aide, ne revendiquent pas la légitimité de leur propre statut, mais demandent que tout ce qui est vrai, bon et humainement valable dans leur vie et dans leurs relations soit investi, guéri et élevé par la présence de l’Esprit Saint ».

Or justement, ils ne peuvent bénéficier de la présence de l’Esprit Saint, de la charité divine dans leurs âmes, car ils l’ont rejetée : le péché mortel – ici revendiqué – entraîne la mort spirituelle, ferme les portes du ciel, prive le pauvre pécheur de la capacité de poser des actes méritoires pour son propre salut… Ce salut, les mérites infinis du Christ le lui offrent toujours et sont seuls à pouvoir le lui acquérir ; s’il le veut bien. Combien trompeuse et malveillante serait une « bénédiction » qui donnerait aux couples l’illusion que tout ne va pas si mal, puisqu’ils sont bénis ensemble !

Fiducia supplicans prône des bénédictions spontanées, sans conditions de la part des couples irréguliers

Voyez ce que dit le paragraphe 19 de Fiducia supplicans : « Dans son mystère d’amour, à travers le Christ, Dieu communique à son Eglise le pouvoir de bénir. Accordée par Dieu à l’être humain et octroyée par lui à son prochain, la bénédiction se transforme en inclusion, en solidarité et en pacification. » Or ce qui sert vraiment le bien et le bonheur de tout pécheur (et cela ne se limite évidemment pas à ceux dont la vie n’est pas conforme à la morale conjugale) est justement d’avoir conscience de sa faute et de n’être pas tranquille tant qu’elle n’est pas remise.

Mais Fiducia supplicans renverse la pression morale : elle est exercée contre ceux qui se « constituent en juges qui ne font que refuser, rejeter, exclure », pour reprendre les mots du pape François cités dans la Déclaration. Le paragraphe 25 ajoute :

« En outre, l’Eglise doit éviter de faire reposer sa pratique pastorale sur la fixité de certains schémas doctrinaux ou disciplinaires, surtout lorsqu’ils donnent lieu à “un élitisme narcissique et autoritaire, où, au lieu d’évangéliser, on analyse et classifie les autres, et, au lieu de faciliter l’accès à la grâce, les énergies s’usent dans le contrôle”. Par conséquent, lorsque des personnes invoquent une bénédiction, une analyse morale exhaustive ne devrait pas être posée comme condition préalable à l’octroi de cette bénédiction. Aucune perfection morale préalable ne doit être exigée de leur part. »

Certes, on lit au paragraphe 31 :

« Ces formes de bénédiction expriment une supplication à Dieu pour qu’il accorde les aides qui proviennent des impulsions de son Esprit – que la théologie classique appelle “grâces actuelles” – afin que les relations humaines puissent mûrir et grandir dans la fidélité au message de l’Evangile, se libérer de leurs imperfections et de leurs fragilités et s’exprimer dans la dimension toujours plus grande de l’amour divin. »

Mais cela supposerait en toute logique que les couples demandant la bénédiction cherchent précisément et concrètement à se mettre en règle – et cela n’est dit ni exigé nulle part. En interdisant de donner ces bénédictions à l’occasion de la célébration d’une « union civile », la Déclaration laisse entendre en creux que c’est bien la vie commune qui est en cause.

Le père jésuite James Martin, invité personnel du pape François avec droit de vote au synode sur la synodalité, a d’ailleurs rejeté l’analyse de ceux qui affirment que « rien ne change » avec Fiducia supplicans. Il a publié plusieurs messages sur X qui disent les choses très clairement :

« La nouvelle déclaration du Vatican Fiducia supplicans constitue une avancée majeure dans le ministère de l’Eglise auprès des personnes LGBTQ et reconnaît le profond désir de nombreux couples catholiques de même sexe de bénéficier de la présence de Dieu dans leurs relations d’amour. Il s’agit également d’un changement marqué par rapport à la conclusion “Dieu ne bénit pas et ne peut pas bénir le péché” d’il y a à peine deux ans. La déclaration ouvre la porte aux bénédictions non liturgiques pour les couples de même sexe, ce qui était auparavant interdit aux évêques, aux prêtres et aux diacres. A l’instar de nombreux prêtres, je serai désormais ravi de bénir mes amis vivant dans des unions homosexuelles. »

On dira qu’il prêche pour sa paroisse. Mais c’est une prédication que Rome ne contredit pas, que Rome écoute ostensiblement. Les ambiguïtés de Fiducia supplicans, même s’il ne s’agissait que de cela, sont gravissimes, et aboutiront nolens volens à favoriser le péché mortel.

Mais « les portes de l’enfer ne prévaudront pas » !



Jeanne Smits

SOURCE :

https://reinformation.tv/fiducia-supplicans-benediction-homosexuels-smits/

Dieu a permis que l’activité hérétique de Bergoglio devienne extrêmement évidente dans la déclaration doctrinale Fiducia Supplicans, qui légalise ecclésiastiquement la prétendue bénédiction des couples sodomites.

Quelle est la position de l’Écriture sur la sodomie ? L’Ancien et le Nouveau Testament mettent en garde toutes les générations contre ce péché scandaleux en les avertissant qu’ils seront châtiés. Pour ce péché, Dieu n’envoya pas de bénédiction mais un châtiment aux habitants de Sodome, à savoir le feu du ciel. Cela fut suivi par le feu éternel pour les sodomites impénitents.

Par le biais de ce document doctrinal, Bergoglio proclame officiellement l'anti-évangile sodomite, pour lequel, selon Galates 1 : 8-9, une personne est punie par l'anathème et les endurcis par le feu éternel (Jud 1:7).

Quelle méthode de manipulation Bergoglio utilise-t-il dans ce document ? Il divise astucieusement les bénédictions en bénédictions dites liturgiques et en autres bénédictions. Puis il cite l’enseignement de l’Église : « L’Église n’a donc pas le pouvoir de donner une bénédiction liturgique aux couples irréguliers ou de même sexe ». Il met ainsi à l’aise les véritables catholiques, leur faisant croire que le document respecte l’enseignement de l’Église. Mais il ajoute ensuite : « Il faut éviter le risque de réduire la signification des bénédictions… » (12). Il utilise cette manipulation afin d’approuver les bénédictions des couples sodomites et afin de légaliser le péché de sodomie.

La bénédiction des sodomites par l’Église est un scandale public envers les chrétiens et les non-chrétiens. Insister sur le fait que cette soi-disant « bénédiction » ne doit pas ressembler au rite du mariage, n’est qu’un alibi. Quel est l’intérêt de donner une bénédiction à des personnes qui ne veulent pas abandonner le chemin du péché et qui ne veulent même pas appeler le péché un péché ? Ils reçoivent en fait une bénédiction pour suivre le chemin menant à l’enfer. De plus, c’est aussi un grave péché commis contre le deuxième commandement.

En ce qui concerne la déclaration doctrinale de Bergoglio, quiconque reconnaît Jorge Bergoglio comme pape légitime se trouve dans une situation absurde. Il doit accepter ce document doctrinal comme étant contraignant. La sanction en cas de désobéissance au Pape est « l’anathème – qu’il soit maudit » – comme le prévoit le document Pastor aeternus, proclamant le dogme de l’infaillibilité papale du 18 juillet 1870.

Cela provoque un violent affrontement. Soit cette malédiction tombe sur Bergoglio pour son anti-évangile sodomite, soit sur la Parole de Dieu, qui interdit la sodomie, c’est-à-dire, par le fait même, sur Dieu. Cela a clairement révélé la rébellion officielle de Bergoglio contre Dieu. Ceux qui obéissent à Bergoglio et qui se soumettent à lui, sont complices de sa malédiction publique de Dieu, protégés par l'autorité ecclésiastique. Cette situation absurde est née du fait que la fonction papale est occupée par un archi-hérétique. La faute en revient aux évêques qui lui restent subordonnés et ne veulent pas se séparer de lui.

Chers évêques et prêtres, la déclaration doctrinale du pseudo-pape Jorge Bergoglio constitue un document officiel qui contredit l'essence de la doctrine catholique. Ce document est la preuve qu'il a été délivré par un hérétique manifeste, c'est-à-dire un pape non valable. Aucun évêque ou prêtre ne peut désormais rester passif. Ils doivent prendre la mesure radicale consistant à se séparer de l’archi-hérétique et de son système criminel d’autodestruction de l’Église.

Par conséquent, vous les prêtres, en signe de séparation, cessez de mentionner le nom de l'hérétique au cours de la messe. Vous les évêques, franchissez cette étape radicale de salut ce Noël. Séparez-vous du Vatican apostat et expliquez la raison de votre séparation dans votre lettre pastorale de Noël. Ce faisant, vous et vos fidèles vous libérerez de la malédiction spirituelle et des ténèbres spirituelles dans lesquelles vous maintient l’archi-hérétique Jorge Bergoglio. Alors ce Noël sera vraiment historique, tant dans votre vie que dans celle de votre diocèse. N'attendez plus et franchissez cette étape décisive du salut !

+ Élie
Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr         + Timothée OSBMr
Évêques Secrétaires
                                                                                       
Le 19 décembre 2023

SOURCE : Reçu via un courriel du Patriarcat Catholique Byzantin.

Le document du Vatican sur les "bénédictions" homosexuelles invite les prêtres à truquer à la fois la doctrine et la pratique. Les orientations autorisent les bénédictions pour les couples de même sexe mais découragent les rituels de type mariage et mettent en garde contre l'impression d'approuver les unions... bonne chance avec ça.


par Phil Lawler

19 décembre 2023

(Culture catholique) - Il est vrai que la déclaration faite lundi par le Vatican ne modifie pas l'enseignement de l'Église. Fiducia Supplicans insiste sur la distinction entre la bénédiction d'un couple homosexuel et la bénédiction de leur relation. Bonne chance pour transmettre cette distinction au monde.

Toute personne peut demander une bénédiction à un prêtre, cela n'a jamais été remis en question. Mais lorsque deux personnes demandent à un prêtre de leur donner une bénédiction en tant que couple, Comment l'Église peut-elle éviter de donner l'impression que le prêtre, en tant que représentant de la foi catholique, bénit leur union ?

La bénédiction, précise le document du Vatican, ne peut "être accomplie avec des vêtements, des gestes ou des paroles propres à un mariage". La bénédiction doit être spontanée, et non pas donnée sous la forme d'un rituel propre à une prière liturgique. Oui, mais..

À partir d'hier, les pasteurs seront approchés par des couples qui souhaitent non seulement une bénédiction spontanée, mais aussi une célébration plus publique : dans l'église, devant la famille et les amis, avec de la musique, tout le monde étant vêtu de ses plus beaux atours, avec une réception à la clé. Si l'on amène un jeune enfant à une telle cérémonie, cet enfant rentrera-t-il chez lui avec la conviction que l'Église n'a pas béni l'union ?

La déclaration du Vatican laisse les pasteurs décider eux-mêmes de la manière dont ils doivent répondre aux demandes des couples. Cependant, elle les met en garde contre la tentation de s'appuyer "sur la nature figée de certains schémas doctrinaux ou disciplinaires". Pardonnez mon cynisme, mais cela me semble être une invitation à truquer la question doctrinale, afin d'éviter tout désagrément qui pourrait survenir à propos de la condamnation par l'Église des actes contre nature.

Le Dicastère pour la doctrine de la foi permet (encourage ?) aux prêtres catholiques de maintenir une sorte de pureté rituelle, en disant qu'ils n'ont pas traité une union homosexuelle comme un mariage, alors qu'aux yeux du monde, c'est exactement ce qu'ils ont fait.

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/fr/opinion/le-document-du-vatican-sur-les-benedictions-homosexuelles-invite-les-pretres-a-falsifier-a-la-fois-la-doctrine-et-la-pratique/?utm_source=editions_menu&utm_campaign=usa

La plupart des évêques américains acceptent les "bénédictions" du pape François pour les couples homosexuels. Jusqu'à présent, la majorité des prélats ont cherché à défendre et à minimiser la nouvelle déclaration du pape François approuvant les "bénédictions" pour les couples homosexuels, malgré l'enseignement catholique immuable selon lequel l'Église ne peut pas bénir des relations pécheresses.


par Michael Haynes

19décembre 2023

(LifeSiteNews) - À la suite du nouveau document du pape François attestant que les prêtres sont autorisés à bénir "les couples en situation irrégulière et les couples de même sexe", la majorité des prélats ont jusqu'à présent cherché à défendre et à minimiser la signification du document, tandis que d'autres l'ont accueilli comme un signe de changement.

Dans l'ensemble de l'épiscopat américain, les réactions ont été jusqu'à présent très discrètes, les évêques cherchant à éviter ou à minimiser les déclarations du pape François et du cardinal Victor Manuel Fernández, le 18 décembre dernier. document Fiducia Supplicans, dans laquelle le Vatican a approuvé les "bénédictions" pour les couples de même sexe. La réponse nationale a été une déclaration de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis (USCCB), mais seulement d'un porte-parole et non d'un évêque représentatif.

Le texte est le suivant :

La déclaration publiée aujourd'hui par le Dicastère du Vatican pour la doctrine de la foi (DDF) établit une distinction entre les bénédictions liturgiques (sacramentelles) et les bénédictions pastorales, qui peuvent être données aux personnes qui désirent la grâce de l'amour de Dieu dans leur vie. L'enseignement de l'Église sur le mariage n'a pas changé, et cette déclaration l'affirme, tout en s'efforçant d'accompagner les personnes en leur donnant des bénédictions pastorales, car chacun d'entre nous a besoin de l'amour bienfaisant et de la miséricorde de Dieu dans sa vie.

Fiducia Supplicans a réitéré l'enseignement de l'Église sur le mariage comme étant uniquement l'union d'un homme et d'une femme, mais a ajouté que, sous certaines conditions, il existe "la possibilité de bénir des couples en situation irrégulière et des couples de même sexe".

Dans son préambule au document, M. Fernández - le nouveau préfet de la Congrégation (aujourd'hui Dicastère) pour la doctrine de la foi - a déclaré que l'enseignement de l'Église sur le mariage ne changeait pas, mais que la "contribution novatrice" et "l'élargissement" du document à la "compréhension des bénédictions" constituaient un "véritable développement par rapport à ce qui a été dit sur les bénédictions dans le Magistère et les textes officiels de l'Église".

Suscitant une consternation immédiate dans le monde catholique, le texte a été rapidement salué par les défenseurs des droits des personnes LGBT, notamment y compris Le père James Martin S.J., qui a déclaré qu'il serait désormais "ravi de bénir mes amis ayant contracté une union homosexuelle".

De nombreux catholiques traditionnels ont également été prompts à souligner l'importance du texte dans une position opposée, mais de nombreux efforts ont également été déployés par des clercs et des laïcs pour présenter le texte comme une source d'inspiration pour les catholiques traditionnels. Fiducia Supplicans comme n'étant pas en juxtaposition avec l'enseignement de l'Église.

Certains évêques ont fait valoir que le texte n'offrait aucune possibilité de bénédiction pour les couples de même sexe. L'évêque Robert McManus de la Diocèse de Worcester a écrit le document "réaffirme que l'Église n'a pas le pouvoir de donner une bénédiction liturgique aux couples irréguliers ou de même sexe, ni de bénir leur union".

Au lieu de cela, McManus a soutenu qu'elle offrait "un type de bénédiction qui peut être conférée à n'importe qui pour invoquer l'aide et la miséricorde de Dieu dans leur vie si les individus cherchent à être guidés par une plus grande compréhension du plan de Dieu pour l'amour et la vérité". Ces bénédictions sont offertes pour les personnes elles-mêmes, et non pour leur union".

En revanche, l'évêque Mark Brennan du Diocèse de Wheeling–Charleston était bien conscient de l'ouverture du document à la bénédiction des couples homosexuels. "Je pense que ce changement élargit le champ de notre conscience quant aux personnes qui peuvent recevoir des bénédictions", a-t-il déclaré. dit, en ajoutant :

Mais depuis le début, je pense que les gens ont reçu des bénédictions, quelle que soit l'union dans laquelle ils se trouvaient, hétérosexuelle ou homosexuelle... S'ils vivent une union dans laquelle ils sont sexuellement actifs, et s'il ne s'agit pas d'une union que l'Église peut reconnaître, alors ils ne devraient pas recevoir la Sainte Communion. Ils sont les bienvenus à la messe, ils sont les bienvenus à la prière.

Cette prise de conscience a été également exprimée par l'évêque Michael Fisher de l'Église catholique du Canada. Diocèse de Buffalo qui a fait remarquer qu'il ne fallait pas confondre la bénédiction d'un homosexuel avec le mariage, et dit:

Bien que nous n'ayons pas eu le temps d'étudier le document plus en détail, nous comprenons que les prêtres catholiques peuvent désormais bénir un couple de même sexe, ou d'autres couples non mariés, à condition qu'il ne s'agisse pas d'une bénédiction liturgique formelle et que la bénédiction ne donne pas l'impression que l'Église bénit l'union comme s'il s'agissait d'un mariage.

L'archevêque pro-LGBT John Wester, de l'Église catholique de Bruxelles, s'est montré particulièrement élogieux à l'égard du pape et du nouveau document de M. Fernández. Père Noël Fe. Il décrite le texte comme "une merveilleuse décision prise par le Pape, et je la soutiens totalement".

"Dieu nous aime tous. C'est ce que dit le pape", a ajouté M. Wester, avant d'affirmer que le document constituait une mesure préventive à l'égard du clergé "qui ne fait que nier, rejeter et exclure".

Selon les informations locales, le cardinal Daniel DiNardo de la Archidiocèse de Houston–Galvaston a déclaré qu'il n'avait "aucun problème" avec la proposition du document concernant les bénédictions qui ne ressemblent pas au mariage. La raison de cette position est "que je ne pense pas que quelque chose ait vraiment changé, si ce n'est que nous voulons être miséricordieux, toujours miséricordieux", a-t-il déclaré :

Dieu veut bénir tout le monde. Il existe ce que l'on appelle les bénédictions sacramentelles pour le mariage. Elles restent ce qu'elles sont. Les personnes dont l'union n'est pas valide ne peuvent pas être bénies, mais les êtres humains s'adressent à Dieu. Ils crient parfois vers Dieu, alors un prêtre qui dit une bénédiction pour quelqu'un, c'est très bien.

La province archidiocésaine de M. DiNardo comprend les régions suivantes Diocèse de Tyler, qui était jusqu'à récemment dirigée par l'évêque Joseph Strickland.

Jusqu'à présent, M. Strickland semble être la seule voix au sein de l'épiscopat américain à avoir condamné le document du Vatican. En publiant un déclaration vidéo Dans un entretien accordé à LifeSiteNews, M. Strickland a exhorté à résister à l'appel à délivrer des bénédictions aux personnes de même sexe.

Nous devons tout simplement être une voix unie pour dire "non", nous ne répondrons pas à cela", a déclaré M. Strickland. Nous ne l'intégrerons pas dans la vie de l'Église parce que nous devons tout simplement dire "non". Et il faut que ce soit une voix unie".

Mais l'accueil de la plupart des évêques américains a été largement similaire, certains attestant que Fiducai Supplicans ne propose pas de "bénédictions" pour les personnes de même sexe, certains se félicitant qu'elle le fasse, et d'autres notant que les "bénédictions" pour les personnes de même sexe sont autorisées, mais accueillant moins chaleureusement la nouvelle.

L'évêque Luis Zarama de la Diocèse de Raleigh pointé a repris la déclaration de l'USCCB, ajoutant qu'il étudierait plus avant le document du Vatican.

Les Archidiocèse de Mobile's L'évêque Thomas Rodi s'est montré tout aussi réticent ou réactionnaire, déclarant qu'il n'y avait "pas eu suffisamment de temps pour y réfléchir". Il a toutefois ajouté que "la réflexion et la consultation seront nécessaires pour déterminer la manière la plus appropriée de donner une bénédiction à un couple tout en évitant, comme le demande le document du Vatican, tout élément qui ressemble de près ou de loin à un rite de mariage".

"Il est également important de noter que l'archidiocèse de Mobile est toujours guidé par les enseignements du Saint-Père", a conclu M. Rodi.

L'archevêque Mitchell Rozanski de la Archidiocèse de St. Louis, dit que "les bénédictions servent à ouvrir sa vie à Dieu, à lui demander son aide pour mieux vivre et à invoquer l'Esprit Saint pour que les valeurs de l'Évangile soient vécues avec une plus grande fidélité".

Le document du Vatican, a-t-il déclaré, n'est pas une tentative "de valider le mariage homosexuel, que les catholiques considèrent comme une situation illicite. Cette annonce permet plutôt aux couples de même sexe qui recherchent la grâce de Dieu de recevoir une simple bénédiction d'un prêtre". Citant les lignes directrices publiées par le Vatican, qui mettent en garde les prêtres contre le fait de laisser ces "bénédictions" ressembler à des mariages, M. Rozanski a attesté que "pour ceux qui cherchent à ouvrir leur vie à Dieu et à invoquer l'Esprit Saint, ces bénédictions sont l'expression du cœur maternel de l'Église". En d'autres termes, cette annonce nous rappelle que nous entretenons et promouvons la proximité de l'Église avec les personnes dans toutes les circonstances où elles peuvent rechercher l'aide et la grâce de Dieu".

Malgré ces évaluations de la part de plusieurs évêques américains, leur point de vue n'est pas universellement partagé.

Les évêques allemands le président a accueilli le texte précisant que "la bénédiction peut être donnée aux couples qui ne peuvent pas se marier dans l'Église en raison d'un divorce, par exemple, et aux couples de même sexe".

Le président de la conférence épiscopale autrichienne averti que les prêtres ne seraient pas autorisés à refuser d'offrir des bénédictions aux couples de même sexe, et même le portail d'information interne officiel du Vatican - Vatican News -. résumé le document en question : "il sera possible de bénir des couples de même sexe, mais sans aucune ritualisation et sans donner l'impression d'un mariage. La doctrine sur le mariage ne change pas et la bénédiction ne signifie pas l'approbation de l'union".

SOURCE :

https://www.lifesitenews.com/fr/analysis/la-plupart-des-eveques-americains-sont-daccord-pour-que-le-pape-francis-benisse-les-couples-homosexuels/?utm_source=editions_menu&utm_campaign=usa

Journal "The Remnant" : Je suis aux côtés des évêques africains qui, en ce moment, sont les seuls à s'interposer entre nous et l'Agenda 2030. Comment cela se fait-il ? Pour répondre à cette question, je me penche sur le traité UE-ACP qui, s'il est adopté, imposera l'idéologie pro-mort, anti-chrétienne et LGBT de l'UE à tous les pays d'Afrique.

M. Matt

SOURCE :

https://magazinelavoixdedieu.wordpress.com/2024/01/02/journal-the-remnant-je-suis-aux-cotes-des-eveques-africains-qui-en-ce-moment-sont-les-seuls-a-sinterposer-entre-nous-et-lagenda-2030-comment-cela-se-fait-il-pour-repondre-a-cette-questi/